Il y a bien sûr la fraîcheur bienvenue du lac et la hauteur de vue de la montagne, mais c’est encore pour des menus qui tiennent au corps que Benjamin se plaît à tracer la route jusque dans les terres annéciennes. Qu’importe la canicule : du reblochon de Thônes à cette fondue qui tonne, de la charcuterie locale à la raclette artisanale, c’est entre midi et deux qu’il a su apprécier au mieux les arts savoyards.