Les fondatrices de la Maison Trafalgar


J’ai provoqué l’occasion d’entamer une discussion qui m’a bousculée et m’a conduite par hasard, à dresser le portrait de l’audacieuse Maison Trafalgar. J’étais troublée car l’énergie qui s’est dégagée de notre échange était parfaitement alignée avec l’image que j’avais des fondatrices. Même si la transparence est le nouveau cool, il est assez rare de ressentir autant de sincérité lors d’une discussion.

Les associées de la Maison Trafalgar ne laissent pas indifférent. Pendant des heures, j’ai cherché mes mots. J’ai raturé des kilomètres de lignes qui me semblaient bien fades à côté des émotions ressenties. J’ai aussi pris conscience que dresser le portrait de celles qui l’ont réinventé est un immense défi. Bien sûr, je le voyais resurgir à travers la folie « selfie » qui envahit nos vies mais je n’imaginais pas qu’il puisse être conjugué à l’écrit. Et puis, un jour, j’ai découvert cette Maison d’écriture haute couture. Oubliez les images photoshopées qui lissent les défauts, cachent les fragilités et bâtissent l’image d’Épinal d’un héros fantasmé. Choisir de se faire écrire le portrait par la Maison Trafalgar, c’est choisir de se mettre à nu. Cette authenticité, cette approche sans concession, marquent sa signature. Pour réaliser l’ambition d’être la référence du Portrait écrit en France, elles ont fait le choix d’internaliser leurs Portraitistes pour ne pas distraire les créativités et faire chasse gardée d’un savoir-faire qui ne s’improvise pas.