Aujourd’hui, elle s’adresse à Benjamin, Portraitiste de la Maison Trafalgar.
Bonjour Benjamin, vos clients font-ils appel à vous à un moment particulier de leur histoire ou de l’histoire de leur entreprise ? Oui ! Mais il y a finalement trop de raisons pour qu’on la donne à l’une d’entre elles en particulier : ce qui précède le texte est-il jamais plus qu’un prétexte ? À de nombreux égards, le moment est toujours bien choisi pour frapper à la porte de la Maison Trafalgar.
Il y a ce collaborateur qui part à la retraite après avoir été là depuis les premiers temps, et à qui l’on souhaite rendre hommage par un Portrait à la hauteur de son engagement. Il y a le tournant du recrutement, qui démontre les limites de la culture de l’oralité, ceux de la croissance, où l’on craint à juste titre que l’histoire puisse se déliter.
Il y a cet anniversaire d’une marque déjà pluriséculaire, qui ne saurait se résumer à une triste frise temporelle, mais se doit au contraire de s’inscrire dans des lignes à l’épreuve du temps. Il y a cette transmission de l’entreprise familiale, ces liens qui transcendent de très loin les organigrammes et les filiales, les duos de dirigeants d’une start-up qui veulent passer à l’acte et voient leur Portrait croisé comme le plus beau des pactes d’associés.
Il y a aussi cette nouvelle phase dans le développement, qui appelle à un socle bien ancré, cette nouvelle collection, cette nouvelle expérience proposée à la clientèle, qui nécessitent un écrin littéraire tout en dentelles.
Qu’il s’agisse d’accompagner une cession, une création, une nomination d’ampleur, ou de travailler en profondeur sa marque employeur, le Portrait s’adapte à tous les besoins, réels ou enfouis, avec le même soin. Il est même un fidèle allié pour se présenter aux banques, convaincre des investisseurs, trouver ses premiers partenaires – pour parler de soi avec les formules justes, celles qui échappent aux banals formulaires.