L’expression vient de la coupe aux jeux de cartes ; une opération banale qui consiste à couper le paquet en deux afin de déterminer l’ordre dans lequel les cartes vont être distribuées. Au XVIIe siècle, certains joueurs étaient persuadés que d’autres avaient la coupe malheureuse. Puisque la coupe aux cartes avait une valeur magique, le joueur pouvait se trouver sous l’influence du coupeur.