Bonjour Bérengère, connaissais-tu déjà ton associée Marion avant d’envisager la création d’une telle entreprise ? Oui !
Les premiers signes de Trafalgar résident dans les Portraits que Marion signait sur son blog, durant ses années d’études en double master lettres modernes et Commerce à l’iae Lyon. Issue d’un cursus de communication à l’EFAP Paris, j’y ai perçu bien plus qu’un énième épiphénomène lifestyle, bien plus qu’un énième relais d’activité startup ou de presse économique : un réel potentiel de différenciation stratégique.
Je me souviens lui avoir rédigé un mail du type « j’adore ce que vous faites ! » Notre intuition pour ce que l’écriture allait permettre avait rencontré notre goût pour les belles lettres ; les canaux virtuels aboutirent vite à un café place des Terreaux, auprès de la célèbre fontaine au char triomphal. Un moment gravé dans notre mémoire à toutes les deux, et qui préfigurait une association alignée dans ses objectifs.
De fil en aiguille, les atomes crochus allèrent d’ailleurs plus loin qu’une origine commune en Haute-Savoie, et la volonté de créer une entreprise s’imposa tout naturellement. Déterminées à développer le concept du Portrait écrit auprès des professionnels, autant qu’à développer l’employabilité des talents littéraires à l’époque où le secteur de la rédaction avait déjà effectué son uberisation, nous n’avons pas eu besoin de longues réflexions pour lancer Trafalgar.
Tous les plans de la Maison avaient déjà été esquissés ; il ne restait plus qu’à la bâtir, mais surtout à l’habiter !