Beckett : Deux hommes attendent la fin du confinement qui n’arrivera jamais.
Ionesco : Le confinement attend la fin de l’homme.
Zola : Raconte avec précision le quotidien d’un ouvrier d’Amazon contraint de travailler.
Flaubert : raconte l’ennui d’une jeune femme confinée avec son mari.
Balzac : raconte l’histoire de la fabrication du canapé où son héros est assis.
Proust : Son héros tond pendant le confinement. L’odeur de l’herbe coupée lui remémore son passé.
Maupassant : Son héros confiné, a des hallucinations et devient fou.
Feydeau : Un mari, sa femme et l’amant de celle-ci sont confinés ensemble, des quiproquos en perspective.
Duras : Confinée. Se confiner. Je crois que ça va durer 14 jours. Ou peut-être plus. Promener mon chien. Absence de chien. L’attestation était pourtant prête sur la table.
King : Un alcoolique repenti, confiné, est torturé par le fantôme de son frère jumeau mort à 8 ans qui le pousse à tuer sa femme obèse et fanatique religieuse.
Pascal : Confiné, l’humain lance une appli de paris en ligne à propos de la date de fin du confinement ou de la date de fin du monde.
Kafka : Un homme confiné s’ennuie, regarde une mouche courir sur son plafond… À la fin, c’est la mouche qui le regarde, courir sur les murs.
Camus: Le confinement ne fait qu’accentuer l’esprit étroit de l’homme et enferme ses questions dans des bocaux sans réponses.
Lamartine : Un seul cas de coronavirus et tout est dépeuplé.
Pennac : L’adulte confiné retrouve son âme d’enfant et plonge dans des aventures imaginaires.
@Leprofdeletre