Avant le bus, le métro, le tramway et autres RER, il y avait le coche : un véhicule tracté par les chevaux. Et comme tout transport en commun qui se respecte, celui-ci passait à des heures fixes, il ne fallait donc pas rater, ou louper le coche, si l’on voulait être dans les temps à son rendez-vous. Si le coche a depuis longtemps quitté les chaussés, l’expression, elle, est restée pour signifier qu’une occasion a été manquée.