Bonjour Maxime, Trafalgar se présente comme une « Maison d’écriture haute couture »… travaillez-vous uniquement pour un certain type de client ? Non ! Évitons les conclusions hâtives en répondant par la négative : c’est bien notre processus qui est haute couture, car il s’oblige au sur-mesure.

À une époque où le prêt-à-poster se recycle en interminables copier-coller, il était urgent de revenir à un style qui ose la signature. Notre démarche a été reconnue par les grandes Maisons de luxe, mais elles ne sont pas les seules à nous avoir accordé leur confiance : parce que nous savons que tout le monde a droit à des écrits d’exception, parce que notre combat s’attache à la démocratisation de l’écriture, nous voulons aussi l’emmener au-delà des endroits où on l’attendait déjà.

Ainsi, la Maison Trafalgar travaille autant auprès de l’industrie métallurgique que des laboratoires à l’avant-garde de la science, autant auprès des artisans au savoir-faire séculaire que des jeunes pousses parées à bousculer leur secteur. Quel que soit le cas, nous ne saurions niveler par le bas ; et qu’il s’agisse d’un ouvrage totalisant des centaines de pages ou d’un concentré littéraire, la Maison conserve cette même exigence, cette même allure.