XEFI. Portraits de développeurs : une fois encore, et depuis 2019, le groupe renouvelle sa confiance envers la Maison Trafalgar !
Alexandre Patrocinio © Maison Trafalgar & Romain Chambodut
Grâce à une galerie de Portraits écrits et photographiques de développeurs, concepteurs et chefs de projet, aussi pointus que les langages qu’ils utilisent, aussi précis que les chaînes de caractères qu’ils manipulent, le groupe XEFI inscrit une fois de plus son haut niveau d’expertise. À travers ces écrits, jalonnés d’anecdotes professionnelles, parsemés de références culturelles – entre technique de code préférée et application de gestion automatisée, entre compositions musicales oniriques et soirées gaming stratégiques –, les profils se révèlent et incarnent une culture d’entreprise partagée par deux-mille collaborateurs. Après avoir réalisé différentes galeries de Portraits de talents, de commerciaux, directrices d’agence ou directeurs d’exploitation, notre équipe est heureuse de poursuivre cette belle aventure textuelle, amorcée en 2019 avec le groupe XEFI.
Un grand merci à Alexandre Patrocinio, Corentin Cousse, Alexis Lopez, Erwan Le Goff, Sarah Tahar et Tom Marigliani pour leur participation et leur confiance, ainsi qu’à Emma et Sacha Rosenthal pour leur fidélité.
FAQ - Le sujet en question
Aujourd’hui elle s’adresse à Maxime, Portraitiste de la Maison Trafalgar :
Bonjour Maxime, y a-t-il des utilisations de vos écrits qui vous ont particulièrement marqué ?
Oui ! Notre Maison est toujours ravie de constater l’ingéniosité de ses clients en termes d’utilisations. Bien sûr, un Portrait écrit Trafalgar peut vivre sur une plateforme web, nourrir de nombreuses publications sur les réseaux, inspirer plusieurs aspects du discours d’une marque, apparaître en filigrane et par extraits. Mais nos écrits se retrouvent aussi dans des endroits plus insolites que des adresses numériques. Certains sont affichés directement sur les murs, à l’accueil des entreprises, d’autres partent en forêt pour jalonner une course d’orientation dans le cadre d’un événement interne. Déployés sur d’immenses panneaux à l’occasion d’un évènement, glissés dans un sac vendu en boutique, sur les écrans disséminés dans les locaux, ou encore sertis au sein d’un livret d’accueil déposé dans toutes les chambres d’un hôtel, les écrits Trafalgar se prêtent à de nombreux contextes. Et comme nos lignes ne manquent jamais de sensibilité, elles ont pu prêter leurs mots à l’occasion de départs à la retraite ou d’anniversaires d’entreprises. Certains de nos clients ont aussi opté pour que nous donnions de la voix aux Portraits : dans des musées, il suffit de chausser un écouteur pour découvrir des versions entièrement pensées pour l’immersion. Preuve s’il en fallait que l’écriture n’est ni limitée aux pages des livres ni à celles des sites, et qu’elle a bien sa place partout où on l’invite !
Extrait : Domaine Olivier Leflaive
Extraits du récit chapitré, qui jalonne l’ouvrage anniversaire du Domaine Olivier Leflaive :
« Avec ses vignes et sa verdure, chez Olivier Leflaive, tout respire la Bourgogne, ses senteurs bucoliques et les grâces de Dame Nature.Cette dernière a cru bon d’abreuver ces terres paysannes ; dans ces vallons entrecoupés de collines et de forêts, deux fleuves et cinq routes des vins s’épanouissent. De la Côte de Beaune à la Côte de Nuits, territoires fertiles et propices, ce sont plus de vingt-huit-mille hectares de chardonnay et de pinot noir qui mûrissent. Certes, ces cépages sont ballotés par certains caprices, devant lutter tantôt contre le froid et le givre, tantôt contre la grêle ou le phylloxéra. Mais ainsi est la Bourgogne, on la prend tout entière. Qu’on y chemine en bras de chemise ou en moufles, ses horizons regorgent de surprises à couper le souffle : ses villages pittoresques, ses tourbières, ses abbayes millénaires, et sa roche de Solutré. Merveille géologique qui domine ces paysages parsemés de murgiers, ces étendues élégamment quadrillées où sommeillent encore quelques minuscules cabottes ; qu’on ne s’y trompe pas, c’est aussi parce que l’Histoire est ici majuscule qu’elle est riche en anecdotes. »
« S’inscrivant dans le sillage des dix-sept générations qui l’ont précédé, Olivier perpétue un héritage familial ancré dans le terroir. Et si la vie l’a longtemps mené vers d’autres territoires, depuis qu’il est enfant, c’est bien la Bourgogne qui bouillonne dans son sang : « Cela commence par le plaisir de boire du bon vin, et se prolonge en une envie d’élaborer le meilleur breuvage possible. Nous produisons nos vins comme nous les aimons ; chez nous, ce sont eux qui dictent la loi ! » Établi dans le Domaine éponyme à Puligny-Montrachet depuis 1984, passé virtuose dans la production viti-vinicole, Olivier s’est forgé sa place parmi les disciples de Dionysos. Réputé pour ses crus d’excellence, ses talents d’entrepreneur et sa gouaille. »
« Quand approche vendémiaire et que le raisin frétille d’impatience, le Domaine Olivier Leflaive s’apprête à accueillir une centaine de volontaires venus de toute la France et d’ailleurs. Quels que soient leur âge, leur métier ou leur nationalité, pendant quelques semaines, les paysages de Puligny-Montrachet seront leur affaire quotidienne. Période cruciale s’il en est, les vendanges mobilisent les ressources du domaine à temps plein ; alors qu’Olivier, Patrick, Julie et Jean veillent à la bonne organisation et au confort de tous, la joyeuse troupe de vendangeurs se déploie et progresse au rythme des courbures, et des sécateurs qui font « clic ». Muni d’un seau ou la hotte sur le dos, on rit et on chante ; et pendant qu’on coupe, tous s’accordent sur un répertoire, sarabandes de scouts, chansons fleuries ou refrains campagnards. Le vendangeur y va ainsi de son mouvement, de son style ; il y a le méticuleux qui hésite devant la maturité de certaines grappes et en laisse quelques-unes dans son sillage, il y a celui qui coupe à tout-va et s’en remet aux compétences de la table de tri. Indépendamment des techniques de cueillette, il demeure des moments précieux et poétiques où chacun se recueille : la contemplation d’un soleil matinal qui teinte d’ocre les horizons, le revigorant casse-croûte de neuf heures, la courte sieste méridienne, la satisfaction d’une belle journée et la généreuse tablée en tout point méritée. Le soir, certains devisent au coin du feu avec guitares et djembés, d’autres enchaînent les agapes jusqu’à potron-minet. »
Pour Olivier Leflaive, la Maison Trafalgar distille un ouvrage à la mesure de son histoire.
La Maison Trafalgar a ciselé, pour le fondateur éponyme du domaine viticole, un ouvrage dans lequel les chapitres de sa vie, les grands crus et les paysages de Bourgogne s’enchevêtrent. Pour retracer le parcours rocambolesque de cet homme qui a été tour à tour entrepreneur, musicien, épicurien et viticulteur, pour décrire ses vins comme sa philosophie viticole si caractéristique, la Maison Trafalgar s’est appuyée sur sa palette de savoir-faire stylistique. En français mais aussi in english, les odes et les textes lyriques succèdent aux passages biographiques ou plus didactiques, tandis que page après page se dévoile toute une galerie de témoignages.
Olivier Leflaive, volontiers fantasque, souhaitait un livre qui ose les jeux de mots et l’humour ; un opus qui respire davantage les vignobles de la Bourgogne et les facéties d’une cour d’école que les discours institutionnels et les protocoles. Pour honorer la Maison Olivier Leflaive Frères qui fêtera cette année ses quarante ans, la Maison Trafalgar a tenu à partager des écrits intemporels autant destinés à la famille, aux proches, aux partenaires qu’aux clients. Tout au long de l’ouvrage, l’on croise Olivier, mais aussi ses parents, sa fratrie, ses enfants, ses amours et ses amis. L’on y évoque sa jeunesse, ses tourments et ses victoires ; l’on y parle de vignes, de vins, de vendanges, de Climats, de Champagne, de tonneaux et de terroirs. L’on y raconte ses années d’internat, sa passion pour la guitare et sa collection de panamas ; puis un verre de vin blanc à la main, l’on découvre au gré des mots le pittoresque village de Puligny-Montrachet, en plein coeur de la Côte de Beaune.
Mais comme un grand cru se déguste avant tout avec les yeux, la Maison Trafalgar s’est aussi attelée à un travail graphique et de mise en page des plus méticuleux ; une direction artistique où chaque photographie rend à la vigne et aux travailleurs du raisin un vibrant hommage. À l’aune de cette lecture, se révèlent tant l’empreinte d’Olivier, tenant de la dix-huitième génération Leflaive, que tout ce qu’il compte transmettre à l’avenir ; un ouvrage à l’issue duquel demeure un refrain qui entête : « Je prendrais bien un billet pour la Bourgogne, ça a l’air chouette ! »