Alsace. Des vers pour sublimer la maîtrise du verre : Verrissima choisit la Maison d’écriture Trafalgar !
Ancrée dans le bassin alsacien du verre depuis plus d’un siècle, Verrissima a fait appel à la Maison Trafalgar pour inaugurer sa Ligne Signature. Élevant la porte d’entrée au rang d’œuvre d’art, cette collection se devait d’être écrite avec élégance et poésie. La Maison Trafalgar a composé une ode en alexandrins, mêlant éloge à la matière, et immersion dans la symbolique de l’entrée – oscillant entre intérieur et extérieur, entre ce qui est caché, et ce qui est révélé. La Ligne Signature était aussi l’occasion pour Jonathan Metz, président de l’entreprise familiale, d’apposer la sienne sur un éditorial spécialement confectionné. Par des créations couture destinées à tisser des univers autour de chacune des pièces, la Maison a également relevé le défi de rendre honneur à la virtuosité de Verrissima, et prouvé une fois de plus combien l’écriture ciselée est au service des entreprises EPV.
Extraits : ESP Groupe
Extraits du Portrait de dirigeant :
« Demba déploie des agents aux quatre coins de l’Hexagone ; dans les gares, les salles de concert, les sièges sociaux, les hypermarchés, et tout autre site sensible devant être hyper sécurisé. Ses équipes quadrillent aussi bien le Parc des Princes que le Vélodrome, elles sont présentes aussi bien sur la terre battue de Roland Garros que sous le ciel du salon du Bourget. Mais avant d’officier pour des événements d’ampleur et des personnalités foulant le tapis rouge comme les plus prestigieuses pelouses, Demba a enfoncé quelques portes pour sortir de Trappes. Le groupe Euro Sûreté Protection a beau siéger dans la ville voisine de Montigny-le-Bretonneux, ce déplacement de quelques kilomètres lui a demandé un cheminement de quinze ans. Car dans le quartier de la Commune, Demba arpentait un univers de ciment et de béton ; les constructions et le manque de confiance obstruaient les opportunités comme les horizons. »
« Démarrant dans une médiathèque, Demba ne perd pas une occasion de se former à de nouvelles certifications. Tantôt dans un centre commercial à guetter les vols à l’étalage, tantôt à la conformité d’une usine où la gestion des problèmes devient élémentaire : déversement de produit chimique, inondations et départs de feu. Les heures s’écoulent aussi au ministère des Armées, où il restera planté droit comme un piquet. Elles peuvent aussi prendre une tout autre dynamique, quand il doit gérer des forains prêts à lui faire sa fête. Les a priori sur son cœur de métier auraient sans doute voulu que l’adepte de jiu-jitsu brésilien règle ses affaires en mode gros bras-gros pecs, mais Demba mène ses combats avec la tête. Agent volant pouvant prendre la relève de « n’importe qui, dans n’importe quelle équipe » le jeune homme explore la profession en enchaînant deux pleins-temps. »
« Le dirigeant débutant se plonge dans les coulisses, s’acclimate aux règles de la comptabilité et de l’Urssaf, s’accoutume aux défis de la communication et des ressources humaines. Surtout, Demba reprend le b.a.-ba de la croissance : chercher, contacter, rencontrer, convaincre et signer. Le chef d’entreprise engrange rapidement des expériences mémorables en s’occupant de la sécurité des plateaux de cinéma dans la capitale ou des tournées d’artistes de renom comme la Sexion d’Assaut. Pour autant, ces réussites ne suffisent pas à ce que les déficits soient épongés. Six ans durant, il conserve son poste d’agent de nuit chez la concurrence ; six ans durant, il se démène pour donner à sa société plus de consistance. Demba fait le tour du cadran et conserve en vue la lumière au bout du tunnel, même si elle fait encore la taille d’un pixel. ESP recolle au score et fait la différence durant l’Euro 2016, lorsqu’un client demande à Demba de sécuriser la gare du Nord. L’habituel costume cravate des agents détonne avec l’environnement, le dirigeant a donc une idée inédite – créer une unité d’élite.»
Extraits : Lavorel Hotels
Extraits du Portrait iconique de marque :
Les destinations d’exception font règle au sein du groupe Lavorel Hotels ; ses cadres insolites passionnent autant ses collaborateurs que sa clientèle. Observer le Château de Bagnols et ses tours en pierre dorée, s’émouvoir des huit siècles qu’elles ont traversés ; franchir les douves, s’arrêter devant la verrière, puis mener l’exploration parmi les cent-six cerisiers. S’enfoncer en pleine forêt domaniale, descendre l’avenue cavalière du Grand Pavillon Chantilly ; prendre une pause sur les berges de la petite rivière qui y coule, écouter le bruit de l’eau, comme celui des oiseaux. Ou bien emprunter le chemin jusqu’à Courchevel ; contempler les toits enneigés du Chabichou, découvrir une cuisine naturelle et toutes les anecdotes qu’elle révèle. Par son architecture iconique, son histoire, son caractère unique ; par son patrimoine, cette volonté de défendre le beau, et de le faire bien, chacun des établissements Collection est un lieu écrin.
Le groupe honore toujours sa promesse : contrer la standardisation de l’hospitalité, donner du panache aux adresses. Cette tendance à sortir du lot ne vient pas seulement des orientations stratégiques ; elle se consolide à chaque fois qu’un collaborateur suggère une piste d’amélioration, qu’il présente un projet pouvant dynamiser la valeur perçue ou dynamiter les préconçus. Ce management collaboratif se double d’une priorité donnée aux promotions internes, ce système pulse dans tous les établissements ; il est câblé proposition et axé solutions. Ici, on favorise la discussion franche, on étudie la faisabilité, on tranche, puis on se retrousse les manches. Chez Lavorel Hotels, le fait qu’il n’y ait pas de route toute tracée permet d’accueillir toutes celles et ceux qui veulent déborder des cases, et faire valoir leur débrouillardise.
Parce qu’il s’investit dans tout ce qui en vaut la peine et le convoque, le groupe participe activement au développement durable, aux enjeux sociaux de son époque. La Green Team Lavorel Hotels symbolise cette ambition que tous les établissements soient labellisés Clef Verte. Elle œuvre à diminuer l’impact de leurs activités sur la planète – allant jusqu’au recyclage des chutes de savon pour qu’elles ne finissent pas au fond d’une baignoire, mais qu’elles soient refondues au besoin, et distribuées à des foyers.
Extraits : Literie Bonnet
Extraits du Portrait iconique de marque :
« Si Literie Bonnet emmène au pays des songes chacun de ses dormeurs, sa Manufacture a elle-même franchi le seuil de bien des demeures. Du Moyen-Orient au soleil sablonneux d’Ibiza, de la Bulgarie à la Corée, en passant par les versants du Val d’Isère, elle s’affranchit de l’endroit pour réinventer la manière. Sur une lovebox un rien fantaisiste, sur un agencement spécial de forme polygonale, ou sur six-cents couchages pour le plus grand palace d’Europe, sa signature s’appose dans le respect de la qualité hexagonale. »
« Le geste de l’ébéniste qui trace, sur son panneau, un décor venant coiffer le sommier ; celui qui suit à la scie, et construit avec minutie. […] Le geste du tapissier vient patiemment habiller les surfaces avec des textiles issus des grandes traditions : laines de nos pâturages, tissus confectionnés dans les anciennes Flandres et ses hameaux, soie sauvage ou encore étoffes en poils de chameau. Pour atteindre son but, Literie Bonnet démarre presque des matériaux bruts. Et afin de tout lier, il faut encore le geste du matelassier, sans lequel le lit ne serait guère plus douillet qu’un banc en acier. »
« Le coup de cœur de ce couple pour le secteur débuta à Besançon, par la meilleure école qui soit : la vente en magasin, afin de guider chaque particulier parmi une myriade de choix. Rapidement, leur sens du service leur permet de passer responsables dans la même rue, à quelques numéros d’écart ; ils compteront une dizaine de franchises, du Grand Est jusqu’en Bourgogne-Franche-Comté. Et bien qu’associés avec un géant de la distribution, les entrepreneurs voudront dépasser la dimension du seul commerce. Sélectionnant des produits un brin expérimentaux, en dehors des catalogues, ils redessinent les collections aux côtés des fabricants, déterminés à envisager la profession autrement. »
FAQ - Le sujet en question
Aujourd’hui elle s’adresse à Benjamin, Portraitiste de la Maison Trafalgar :
Bonjour Benjamin, les Portraitistes Trafalgar ont-ils tous étudié les lettres avant d’intégrer votre équipe ?
Non. Cette formation n’est pas un prérequis pour travailler chez Trafalgar. Nous sommes pour dire que toutes les lettres – L, ES, S – peuvent mener aux lettres ! Chacun chez Trafalgar apporte son bagage, ses expériences, ses adages, ses propres références. Dans notre équipe, certains talents ont étudié la physique et la chimie, d’autres ont d’abord œuvré dans le secteur juridique ou même culturel. Certains ont d’abord été entrepreneurs, indépendants, engagés dans l’associatif, ou dans d’autres secteurs d’entreprises, mais tous les profils de notre Maison ont ce goût des mots et des lignes ciselées que cultivent leurs collègues diplômés d’une formation strictement littéraire.