FAQ - Le sujet en question

Aujourd’hui elle s’adresse à Marion, présidente associée de la Maison Trafalgar :

Bonjour Marion, depuis sa création, la Maison Trafalgar a pour mission de valoriser l’entrepreneuriat littéraire. Avez-vous des retombées positives à ce sujet ?

Oui ! Nous revendiquons d’être des entrepreneurs-littéraires, et avions justement eu l’occasion de prendre la parole à ce sujet, au Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche. Les recrutements de nos Portraitistes se poursuivent et leurs carrières se construisent. Nous avons désormais structuré notre production en un véritable atelier, un atelier dont nous ouvrons volontiers les portes aux écoles pour encourager toutes celles et ceux qui envisagent de faire de l’écriture leur métier. Nous constatons de plus en plus un engouement autour de ces filières encore décriées hier. Ces cursus sont désormais valorisés au même titre que les étudiants en lettres qui dirigent pour certains de belles entreprises comme White Mirror (Jane Fiori) ; d’autres portent de très belles start-ups littéraires, parmi lesquelles l’on retrouve En Cavale (Astrid Faure, Margaux Bruineaud), Epopia (Rémy Perla), Short Edition (Christophe Sibieude, Sylvia Tempesta) Gleeph (Khalil Mouna, Guillaume Debaig), Kube (Samuel Cimamonti, Anthony Darquey, Aurore Choanier), Bookinou (Guillaume Chanteloube, Vincent Gunther), Plume (Aude Guéneau), Les Mots – l’école d’écriture nouvelle génération – (Alexandre Lacroix, Élise Nebout) ou encore Onyo (Yann Garreau, Charlotte-Amélie Veaux) pour ne citer qu’eux. Et nous sommes toujours agréablement surpris quand certains dirigeants, et pas seulement dans le secteur des Métiers d’Arts, nous dévoilent des diplômes peu banals, tels qu’un doctorat en littérature médiévale ! Au fil des années, nos tribunes ont aussi trouvé leur résonance dans différents médias de référence tels que Maddyness – le média pour comprendre l’économie de demain. Il nous vient en tête “le mot et l’aumône, le carton plein des littéraires” ou bien “l’économie ne peut se passer de poésie”. Des prises de position tranchées, assumées, et surtout, de plus en plus partagées !


FAQ - Le sujet en question

Aujourd’hui elle est adressée à Bérengère, directrice associée de la Maison Trafalgar :

Bonjour Bérengère, en tant que dirigeante qui s’est lancée jeune dans l’entrepreneuriat, vous rappelez-vous les premiers conseils que l’on vous a donnés ?

Oui ! De faire confiance à mon instinct ; ce même instinct qui m’a guidée vers mon associée, vers ce choix de positionnement, vers ce développement, et qui nous permet aussi de continuer à être alignés dans chacun de nos recrutements. Mais je me souviens aussi des conseils que je n’ai jamais voulu écouter ! Les dix règles incontournables d’un business plan, les cinq clés pour monter une entreprise, les pronostics, les prophéties. Cela ne nous empêche pas d’assurer une croissance continue, depuis huit ans. Avec Marion, nous avons aussi été sensibles au fait de bien nous entourer. Sans jamais compter notre temps, nous nous sommes engagées et investies sur le territoire lyonnais où nos fondations s’enracinent : nous siégeons au Conseil Stratégique de la Métropole de Lyon ; nous avons été ambassadrices du Salon des Entrepreneurs et, à l’époque, du statut étudiant-entrepreneur, mentors pour le Movjee. Mais avant cela, Trafalgar a aussi bénéficié de ces initiatives qui maillent le tissu économique de la région rhônalpine, parmi lesquelles l’accélérateur Boost in Lyon, l’incubateur Manufactory et le Réseau Entreprendre. Et puisqu’une Maison n’est rien sans celles et ceux qui l’habitent, la nôtre a toujours mis un point d’honneur à limiter la sous-traitance, à développer son savoir-faire en interne, à ouvrir les réflexions à l’ensemble de son équipe pour que chacun puisse s’impliquer dans ce questionnement commun : où allons-nous porter Trafalgar demain ? C’est aussi à contre-courant de certaines préconisations que nous avons tenu à positionner notre Maison. Et bien que ce conseil se soit fait rare à une époque où les levées de fonds ont la cote, Trafalgar a toujours considéré son indépendance financière comme un critère capital.


FAQ - Le sujet en question

Aujourd’hui elle s’adresse à Benjamin, Portraitiste de la Maison Trafalgar :

Bonjour Benjamin, les Portraitistes Trafalgar ont-ils tous étudié les lettres avant d’intégrer votre équipe ?

Non. Cette formation n’est pas un prérequis pour travailler chez Trafalgar. Nous sommes pour dire que toutes les lettres – L, ES, S – peuvent mener aux lettres ! Chacun chez Trafalgar apporte son bagage, ses expériences, ses adages, ses propres références. Dans notre équipe, certains talents ont étudié la physique et la chimie, d’autres ont d’abord œuvré dans le secteur juridique ou même culturel. Certains ont d’abord été entrepreneurs, indépendants, engagés dans l’associatif, ou dans d’autres secteurs d’entreprises, mais tous les profils de notre Maison ont ce goût des mots et des lignes ciselées que cultivent leurs collègues diplômés d’une formation strictement littéraire.


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Aujourd’hui elle s’adresse à Maxime, Portraitiste de la Maison Trafalgar :

Bonjour Maxime, y a-t-il des utilisations de vos écrits qui vous ont particulièrement marqué ?

Oui ! Notre Maison est toujours ravie de constater l’ingéniosité de ses clients en termes d’utilisations. Bien sûr, un Portrait écrit Trafalgar peut vivre sur une plateforme web, nourrir de nombreuses publications sur les réseaux, inspirer plusieurs aspects du discours d’une marque, apparaître en filigrane et par extraits. Mais nos écrits se retrouvent aussi dans des endroits plus insolites que des adresses numériques. Certains sont affichés directement sur les murs, à l’accueil des entreprises, d’autres partent en forêt pour jalonner une course d’orientation dans le cadre d’un événement interne. Déployés sur d’immenses panneaux à l’occasion d’un évènement, glissés dans un sac vendu en boutique, sur les écrans disséminés dans les locaux, ou encore sertis au sein d’un livret d’accueil déposé dans toutes les chambres d’un hôtel, les écrits Trafalgar se prêtent à de nombreux contextes. Et comme nos lignes ne manquent jamais de sensibilité, elles ont pu prêter leurs mots à l’occasion de départs à la retraite ou d’anniversaires d’entreprises. Certains de nos clients ont aussi opté pour que nous donnions de la voix aux Portraits : dans des musées, il suffit de chausser un écouteur pour découvrir des versions entièrement pensées pour l’immersion. Preuve s’il en fallait que l’écriture n’est ni limitée aux pages des livres ni à celles des sites, et qu’elle a bien sa place partout où on l’invite !


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Aujourd’hui elle s’adresse à Romane, Portraitiste de la Maison Trafalgar :

Bonjour Romane, au-delà de vos différentes offres, la Maison d’écriture Trafalgar est-elle en mesure de réaliser des livres complets pour ses clients ? Oui !

En plus de ses formats Portraits, la Maison Trafalgar accompagne, depuis sa création, plusieurs clients qui souhaitent se doter d’un écrin à la hauteur de ses écrits. Nous assurons alors toutes les étapes de l’ouvrage, du fil narratif à l’impression, grâce à nos partenaires d’exception. Des experts du maquettage aux amateurs de grammages, tous sont tenus par cette envie du sur-mesure dont Trafalgar a fait sa culture. Bien plus qu’un objet trônant sur une étagère au risque de prendre la poussière, les livres signés par la Maison Trafalgar sont de ceux que l’on dévore ou picore, qu’on rouvre encore et encore.


# ʁiche$sE typ0grAph!quE ¿

[Parce qu’au sein de la Maison Trafalgar, le Portraitiste est confronté à ce que la langue française propose de plus baroque, il ne peut se faire l’économie d’une parfaite maîtrise de la typographie ! Au-delà des ; et autres… pour le moins courants, il m’arrive encore par moments de découvrir quelques glyphes étranges & autres incongruités > par exemple : ` ou ˜ ou encore ¤. Bref, j’ai beau scruter à 360°, chercher le + et le – de toutes choses, je pourrais multiplier les (), faire défiler les § d’explications jusqu’à ma †, toute chose = par ailleurs, je continue d’en apprendre…] : – )


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Aujourd’hui elle s’adresse à Bérengère, Directrice associée de la Maison Trafalgar :

Bonjour Bérengère, les retours clients sont nombreux chez Trafalgar et ne concernent pas uniquement le style ou l’écriture. Cela signifie-t-il que l’on vient chercher d’autres aspects que votre signature ? Oui !

En s’immergeant dans l’univers d’une marque, en découvrant les aspérités d’une personnalité, en s’imprégnant d’un parcours entrepreneurial, le Portraitiste Trafalgar ne mobilise pas encore l’écriture, mais bien sa capacité d’écoute. C’est aussi ce recul que viennent chercher les clients ; une prise de recul, un regard extérieur. Nos entretiens d’extraction suscitent de nombreux retours poignants : à une époque où beaucoup s’adressent à des murs de publications, ceux de notre Maison accueillent un moment qui se fait rare – une conversation. Loin des interviews de surface, ces échanges se délestent des titres et des costumes, des mots coquilles et de leurs carapaces. À ceux qui opposeraient le rire et les émotions à l’efficacité, notre Maison répond qu’ils sont la marque d’un Portraitiste connaissant précisément son métier.


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Aujourd’hui la question s’adresse à Marion, Présidente associée de la Maison Trafalgar :

Bonjour Marion, Trafalgar a remporté plusieurs prix au cours des dernières années, y’en a-t-il un qui vous a particulièrement marqué ? Oui !

Lorsque nous avons remporté le prix de la meilleure entreprise au service du client. Ce prix me touche particulièrement, et touche particulièrement notre équipe, car il confirme ce soin que nous portons envers tous ceux que nous recevons. Bien sûr, nous sommes exigeants dans notre travail d’écriture, dans nos comités de lecture où l’on interroge, ausculte chaque virgule, chaque intention ou interprétation, jusqu’à être certain d’avoir peaufiné le moindre recoin de chaque texte. Bien sûr, il y a le grain de nos photographies, le talent des comédiens que nous dirigeons pour donner à nos réalisations une nouvelle dimension sonore, la vidéo, le dessin, les ateliers en art oratoire, et d’autres expertises encore. Mais puisque la retouche fait partie intégrante de la haute couture, c’est aussi le temps de perfectionnement, la profondeur de nos entretiens d’extraction, la qualité d’accueil de notre Maison, et cette empathie indispensable à notre métier que nous avons eu le bonheur de voir récompensés. De nombreux clients ont été surpris et touchés de voir qu’aucun détail n’a été négligé, que ce soit par la précision des questions qui sortent du prêt-à-répondre, ou par les références à leur histoire. Une chanson dans nos couleurs qui évoque des souvenirs entrepreneuriaux, une madeleine de Proust qui ramène à des moments forts – tout est pensé, étudié, préparé pour eux, avec la plus grande attention.


Dans le creux des mots

Lorsque nous avons le plaisir de collaborer avec des entreprises du patrimoine vivant, explorer les subtilités des techniques, apprendre le nom des outils, des matériaux – toutes ces connaissances théoriques s’acquièrent souvent auprès des artisans. Mais c’est encore une autre expérience de les voir en action. Ayant eu l’occasion de retrouver un Meilleur Ouvrier de France tapissier sur un prototype de fauteuil, j’ai pu remarquer tout ce que les mots pouvaient aussi dire au détour d’un geste. De quelle manière ils appuyaient une réflexion, s’arrêtaient, reprenaient après un saut de cabri, accompagnaient la main. Ce n’est pas tous les jours que l’on a l’opportunité de tisser des liens de visu, entre les mots qui nous sont confiés et ceux qui sous-tendent le geste.


FAQ - Le sujet en question

Aujourd’hui la question s’adresse à Romane, Portraitiste de la Maison Trafalgar :

Bonjour Romane, vos clients ont-ils tous une sensibilité littéraire ? Non !

Si la Maison Trafalgar abrite de nombreux amoureux des mots, elle brise volontiers les clichés des littéraires perchés dans leurs métaphores altières. Elle réunit les hémisphères que d’autres trouvent incompatibles, construit une passerelle entre les esprits cartésiens et plus artistiques. Et parce que le mot est une matière que nous savons modeler dans toutes ses nuances, notre Maison maîtrise le ton : tantôt ludique, tantôt solennelle, lyrique, énergique, didactique ou espiègle, la plume Trafalgar peut autant chatouiller la culture générale que faire le choix de la légèreté. En témoigne ce livret réalisé pour le groupe Maped, où la gomme, la règle et le compas dispensent des sagesses inattendues. Le choix du sujet peut déconcerter, il n’appelle pas du tout à disserter ! Plutôt à savourer ce que la langue française offre d’espace pour s’amuser. Les sportifs de la marque Decathlon ont pu redécouvrir leurs iconiques sous un nouveau jour, lorsque Trafalgar a personnifié une tente, un filet de ping-pong et même un masque de plongée !