La Maison Trafalgar réalise le Portrait vidéo du quartier de La Part-Dieu !

Comme vous le savez, la Maison Trafalgar est une Maison de Portraits complète !

En complément de nos Portraits écrits, photographiques, dessins, audio, nous poursuivons avec nos Portraits vidéo !

Aujourd’hui, nous sommes fiers de vous partager notre dernière réalisation : le Portrait vidéo d’un quartier de Lyon, reconnaissable à son emblématique crayon !

Une immersion saisissante et inédite dans une aire d’affaires de caractère qui rappelle que la production audiovisuelle ne saurait se passer d’écriture !

« Les amateurs de raccourcis diront que je ne suis qu’un pur produit de modernité, qui se décline en avenues goudronnées et tours surchauffées. Mais sur ma cuirasse de verre se projettent les âmes qui m’arpentent : je suis ce voyageur qui sort de gare, satisfait d’être arrivé, je suis cette amoureuse de mode qui s’égare, béate, dans les alvéoles de mon poumon commercial, je suis cet homme d’affaires qui surplombe son ancienne faculté, du haut de son perchoir chromé. »

Sollicitez à votre tour nos services dans le cadre de projets vidéo !

Réalisation écrite : Maison Trafalgar & Maxime Duranté
Voix : Virgile Deslandre
Réalisation vidéo : nos supers partenaires de EO Production !


Tribune : Le mot et l’aumone - le carton plein des littéraires

Métiers du livre – la machine à fabriquer mille Gaston Gallimard par an pour mieux les broyer ensuite ?

– Paul Fournel, La liseuse

L’ironie de cette citation recouvre une réalité quelque peu cruelle dont une vieille blague, douteuse s’il en est, familière à l’esprit de certains lycéens, étudiants ou préparationnaires de tous poils, se fait l’écho : « Les ingénieurs conçoivent les cartons, les commerciaux les vendent, les littéraires dorment dedans ». Une citadelle de papier vaut donc pour maison en carton. Pirouette, cacahuète.

Nombreux sont parmi nous ceux qui se souviennent de ce lourd débat familial qui glaçait l’ambiance d’un dîner, lorsqu’un élève en classe de seconde annonçait à ses parents qu’il souhaitait choisir la filière littéraire. Dans un fracas assourdissant, s’effondrait alors le monde tel que le concevaient père et mère, un monde de « sécurité financière », de « belle carrière », de « reconnaissance sociale ». Le lycéen s’y était préparé. Cette rengaine, il la connaissait, depuis le collège, où enseignants, camarades, conseillers d’orientation, oncles ou cousines éloignées faisaient valoir que le monde se divise en deux catégories : ceux qui réussissent, et ceux qui ratent – et que les littéraires faisaient immanquablement partie de la moins enviable des deux. Ainsi se fomentent les destins ; et le pouvoir redoutable des prophéties auto-réalisatrices de conforter nos sociétés dans cette voie, devenue inéluctable à force d’avoir été présentée comme telle.

L’image est plus terrifiante qu’il n’y paraît de prime abord, puisqu’elle signifie, symboliquement, que les scientifiques (qui sont-ils ?) incarnent le monde de l’esprit ; que les commerciaux (que sont-ils ?) représentent le monde strictement économique ; que les littéraires (c’est quoi ?) subsistent, non pas grâce à leur force et à leur agilité, mais grâce à la charité. Ne parlons pas même, à cet égard, des artistes et autres intermittents du spectacle.

S’il est exact qu’un tel point de vue existe, si la paranoïa n’y joue pas de rôle, il convient donc d’y mettre un ordre. À l’échelle de l’histoire de l’humanité, la séparation des arts, des lettres et de la science est chose tout à fait récente. Les économistes, par exemple, qui pour bon nombre tiennent leur pratique pour une science “dure”, parce que faisant usage d’outils mathématiques – souvent puissants et sophistiqués par ailleurs – portent peut-être trop peu d’attention au fait que la mathématisation de leur discipline ne date que de la toute fin du XIXe siècle, et qu’une bonne partie de la « littérature » économique, comme on la nomme si bien, est en grande majorité restée verbale. De façon plus générale, les mathématiciens et physiciens furent souvent philosophes, voire poètes ou musiciens – et parfois le sont encore.

Quelque artificielles que puissent être ces trois catégories : scientifique, commerciale et littéraire, en réalité calquées sur le baccalauréat, il est probable que le mépris parfois affiché à l’égard des littéraires tient plutôt ses origines de considérations économiques que scientifiques. En effet, les littéraires, on le dit parfois, ne produisent rien et, par conséquent, ne sont d’aucun apport pour le PIB. Le marché détermine ainsi un critère d’utilité à l’aune duquel, incontestablement, le monde littéraire fait pâle figure une fois comparé à celui de l’énergie ou à celui des nouvelles technologies. Si discutable que puisse être ce critère pour jauger l’avancement, le développement d’une société, il masque habilement une autre réalité : ni les nouvelles technologies, ni les entreprises spécialisées dans l’énergie ne peuvent faire l’économie des mots. Bien des entreprises se trouvent totalement désemparées lorsque vient l’inévitable moment de décrire verbalement leurs idées, de créer leur site internet, de rédiger leur plaquette de présentation, et se tournent alors vers les agences ou les rédacteurs indépendants.

Le marché de ces derniers est particulièrement intéressant à analyser. Un des portraitistes de la Maison Trafalgar a observé, et nous a fait observer des « offres » – le mot est sans doute un peu fort – adressées à ces indépendants : la capacité à tenir une plume se monnaye parfois… trois centimes le mot. Soit environ quinze à dix-huit euros la page en salaire brut, dont il faut retirer les charges. Il s’agit donc probablement, quand on mesure le temps qu’il faut employer pour parvenir à un texte de qualité, et compte tenu des éventuelles corrections exigées par le commanditaire, d’une des plus basses rémunérations de France, pour l’exécution d’un travail qui exige, pourtant, un niveau certain de qualification. Pirouette mais surtout, donc, cacahuètes. La Maison Trafalgar a fait, elle, le pari d’internaliser ses talents et de leur offrir une véritable sécurité psychologique et financière. Écrire serait donc, finalement, un travail – dans tous les sens du terme.

Il m’arrive aussi, et je m’y prête volontiers, d’être appelé pour des missions de formation en entreprises, missions visant à améliorer la capacité de rédaction des collaborateurs. Que leur niveau soit faible, élevé, remarquable ou préoccupant n’est pas ici le sujet. Ces appels symbolisent à mes yeux les besoins des entreprises. Or, s’il y a besoin, il y a un marché ; s’il y a un marché, c’est que les littéraires sont des entités économiques qui méritent toute considération et ce, même si l’on décide de prendre pour critère de considération des individus et de leurs compétences, leur participation au PIB. Il est dès lors curieux qu’on puisse observer ce qui suit.

J’ai pu moi-même proposer mes services de rédacteur. Quelles que soient les offres auxquelles je postulais, offres de rédacteur intégré à l’entreprise (plus que rares), offres de rédacteur indépendant (par légions), il n’y aura jamais eu de suite. Le statut de normalien littéraire, au moins en théorie, est pourtant censé garantir un certain niveau de maîtrise du langage. L’explication est peut-être autre : il est utile, au sens financier du terme, d’aller chercher des rédacteurs moins qualifiés, ou de proposer à des personnes qualifiées des gratifications ne reflétant pas leur niveau. Malheureusement, les rédacteurs sont d’autant moins motivés qu’ils sont souvent mal payés, et n’offrent pas la même qualité en termes de prestations, phénomène qui alimente ainsi la croyance selon laquelle les littéraires ne sont pas bien formés. La Maison Trafalgar a ainsi reçu la candidature d’une étudiante de niveau Bac+6, normalienne, se proposant d’y effectuer un stage, car elle était « tout à fait dépourvue d’expériences professionnelles » ; stage dont elle proposait qu’il fût “non rémunéré”, incertaine de pouvoir nous « servir à quelque chose ». Il va de soi qu’en dépit de ses indéniables compétences, ou plutôt, en raison même de celles-ci, les conditions qu’elle posait nous étaient irrecevables.

L’Opération Phénix, remarquable tout autant qu’elle est peu connue, répond depuis 2007 et à sa manière à cette situation. Elle consiste à faire recruter par de grands groupes les jeunes diplômés d’un Master 2 en Recherche Lettres, Sciences Humaines et Sciences. Les témoignages des employeurs comme de ces jeunes recrues sont, sans surprise, unanimes, et révèlent ce que l’intuition indiquait : que les responsabilités qui leur sont confiées, souvent bien au-delà de la rédaction, leur conviennent parfaitement.

Forte de ces constats, et sachant que cette Opération Phénix ne résulte qu’en l’élection d’un nombre très confidentiel d’étudiants, la Maison Trafalgar souhaite rappeler que les littéraires sont précieux au sein des entreprises ; qu’ils peuvent, doivent créer la leur s’ils ont en partage la fibre entrepreneuriale ; qu’ils peuvent, doivent conserver intacte leur passion, cet imaginaire livresque qui permet de mieux comprendre nos sociétés, le monde et les Hommes qui l’habitent. On les montrera alors parfois, dans le monde de l’entrepreneuriat, comme des originaux : s’il ne convient pas qu’ils se satisfassent longtemps de cette qualification, qu’à tout le moins celle-ci permette à d’autres littéraires d’en entendre parler, de s’inspirer d’eux. La Maison Trafalgar leur témoigne, ici, soutien et admiration.

Virgile Deslandre

Directeur des opérations de la Maison Trafalgar

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Tribune : Pourquoi une maison ?

« C’est une chance d’avoir une maison. Ma maison nous est indispensable. Quand je sors, ma maison me suit, de loin. Même en mer, je la vois. C’est elle, ma propriétaire. Et si je suis courtois, c’est à cause d’elle. Quand j’ouvre une porte, je la fais passer devant moi, je m’efface. »

— Pierre Dumayet, Brossard et moi


Naf-Naf, Nif-Nif et Nouf-Nouf n’ont pas eu à s’embarrasser d’une telle question. La maman des trois petits cochons avait été catégorique : trop pauvre pour entretenir plus longtemps ses enfants, elle les avait enjoints de quitter le domicile familial et de construire leur propre maison, en prenant soin que celle-ci fût assez solide pour les préserver des velléités carnassières du Loup.
Pour les besoins de la narration, il importait que chacun de ces sympathiques animaux construisît, chacun, son habitat, et que chacun de ces habitats soit structurellement distinct des deux autres : on ne saurait expliquer autrement, sauf à faire l’hypothèse d’une mauvaise entente entre les trois frères, qu’ils n’aient pas choisi de mettre leurs efforts en commun pour ériger leur domicile. Or, cette hypothèse ne tient pas, puisque le premier de ces quadrupèdes trouva refuge, aussitôt sa maison de paille soufflée par le Loup, chez son frère propriétaire d’une maison en bois, laquelle baraque fut tout aussi bien détruite par le même procédé, et que les deux rescapés échouèrent chez l’heureux bâtisseur dont la demeure était de briques conçue, et qui les recueillit volontiers.

À l’heure où l’écologie invite les architectes à se tourner de nouveau vers le bois et la paille pour penser des édifices plus durables, ce conte de notre enfance paraît un éloge quelque peu rétrograde à la méthode de bâti du mieux inspiré des trois petits cochons. Sans doute peut-on et doit-on interpréter différemment cette fable. On en conclurait en premier lieu qu’ils auraient mieux fait de rester unis et de continuer à vivre ensemble, comme ils y sont contraints, in fine, par les différentes tentatives du Loup de les dévorer. En second lieu, qu’on construit une maison pour que celle-ci soit solide.
 
Il fallait au moins cette solidité pour compenser la fragilité qu’évoque le nom Trafalgar, épisode tragique de l’Histoire de la flotte franco-espagnole et, sans doute, une des plus grandes défaites militaires françaises. Il fallait également parier sur la robustesse de ses murs, afin d’offrir à ses membres un espace créatif et protégé. Car, si certains rédacteurs tirent très bien leur épingle du jeu, nombre d’entre eux logent dans des cabanes d’anachorètes, eu égard auxquelles le puissant souffle des contraintes financières peut se changer à tout instant en Loup hargneux. Ces grains de sable esseulés sur le littoral des mots font l’aubaine des aquilons et autres tempêtes : une Maison nous protège de ces cataclysmes.

Édifier une Maison, c’est aussi, à l’instar de la fondation d’une famille, se prévaloir d’une histoire particulière et d’une complicité entre ses membres, qui s’appuie, pour ce qui nous concerne, sur la croyance forte et sincère que nous avons dans le bien-fondé de notre mission, dans le savoir-faire propre à la Maison Trafalgar ; dans notre signature, donc. Nos comités de lecture, par lesquels tous nos écrits doivent impérativement passer, rassemblent tout ou partie des membres de la Maison, afin que chacun puisse corriger, perfectionner, sublimer son travail – ce qui présuppose beaucoup de bienveillance mutuelle, et d’humilité : car une signature ne s’arrache pas, ne se vole pas, ne s’imite pas ; elle se construit chaque jour par un attachement de chacun d’entre nous à la pérennité des fondations et de la charpente de Trafalgar.

Le métier de portraitiste requiert beaucoup de calme et de concentration. C’est, avant tout, un métier de création. Écrire le Portrait d’un dirigeant, d’une dirigeante, d’associés, de collaborateurs, d’une entreprise, d’une marque, d’un lieu… toute écriture de Portrait ne peut se faire que dans un certain silence, pareil au silence de ces maisons de campagne où chacun peut se retrancher dans un imaginaire qui lui appartient. La Maison Trafalgar offre ce séjour à durée indéterminée, quand les indépendants peuvent, du jour au lendemain, ne plus être appelés pour quelque mission que ce soit, et même se voir retirer celles qu’on avait promis de leur confier. Et parce que l’image de cette demeure nous convient pleinement, vous sentirez, lorsque vous pousserez la porte de notre Maison, ces parfums de thé et d’ambre qui parlent de douceur de vivre et d’âtre crépitant.

Car la Maison Trafalgar aime à recevoir. Nous privilégierons sempiternellement l’accueil en nos murs plutôt qu’une rencontre brève dans un café, au son des trains qui fuient. Une telle rencontre, furtive, fait s’écrier au poète au sujet d’une passante qu’il ne la reverra sans doute plus que dans l’éternité, tandis que nous aimons vous inviter à suspendre le temps, pour qu’il cesse momentanément de vous piquer de son aiguillon. Tout passe, c’est un fait ; mais on peut passer sans s’arrêter, ou passer… un moment : un moment ensemble. Dans notre Maison, ceux qui viennent nous rencontrer pour la première fois ou vivre l’expérience de l’entretien d’extraction, ont eux aussi besoin d’arrêter durant quelques heures le cours des événements, et de considérer depuis la rive l’écoulement des jours.

En ligne, déjà, vous aurez pu arpenter nos pièces qui sont autant de chambres d’humeurs et d’inspirations. Notre Maison est à la fois coupée du monde en ce qu’il a de trop véloce, et tournée vers vous, construite pour vous. Nous nous donnons pour mission de faire en sorte qu’au bien-être des portraitistes Trafalgar réponde le vôtre. Foin des grandes Maisons qui, de l’être trop, ont dilué leur âme dans d’infinis couloirs, foin des Maisons de paille qu’un vent balaye, que le feu consume, la nôtre offre à nos portraitistes la possibilité d’une île, sinon paradisiaque, du moins paisible, une île que l’expérience des confinements récents aura fait déserter, au profit d’un acquis d’expérience : ceux qui ont pris goût au travail à domicile ne sont pas tenus de venir chaque jour. Nous comprenons très bien qu’il puisse être confortable, agréable de travailler depuis chez soi. On ne rallie pas de force une maison de campagne, on vient y retrouver ceux avec qui l’on a décidé de se réunir. En sorte qu’au sujet de Trafalgar, à l’heure du télétravail, entre travailler à la maison ou travailler à la Maison, la différence est à la fois majuscule… et infime.
 

Bérengère Wolff & Marion Derouvroy

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La Maison Trafalgar célèbre ses 6 ans !

Pour célébrer les 6 ANS de notre Maison d’écriture, nous avions mis en place, durant la semaine du 22 novembre, un quiz anniversaire ! 6 JOURS pour revenir sur 6 ANNÉES d’entrepreneuriat, et tester les connaissances de nos abonnés et clients fidèles sur l’aventure Trafalgar, en répondant à 6 QUESTIONS.

Durant cette semaine entière, nombreux ont été les participants à jouer le jeu et nous avons été particulièrement touchés de constater leurs connaissances à l’égard de notre aventure ! Pour les remercier de leur participation à la belle histoire Trafalgar, Laurine, la Responsable Communication de notre Maison, avait tenu à faire une vidéo surprise en partageant les explications relatives aux 6 QUESTIONS de notre quiz des 6 ANS !

Avec 5 personnes ex æquo sur la première marche du podium, nous avions procédé à un tirage au sort et ce fut Alcée Montfort qui ressortit gagnante de cette édition 2021, avec 6 bonnes réponses sur 6. Elle remporte trois poétiques tablettes Le Chocolat de Poche ! Des volumes à croquer : « En reprenant les codes du livre-papier en format poche, ces tablettes invitent à la rêverie gustative. Du chocolat de dégustation à la couverture illustrée, au texte imprimé dans l’emballage, chaque tablette célèbre les plaisirs du palais avec ceux de l’esprit. »

Nous avions beaucoup aimé passer toute la semaine dernière à vos côtés et nous espérons nos participants et clients aussi fidèles pour les 6 prochaines années.


Podcast : Trafalgar, la Maison lyonnaise d’écriture haute couture, s’installe à la table du Gratton

Considérant qu’il n’est de bonne ripaille sans esprit et sans gouaille, la Maison Trafalgar s’est associée au podcast C’est l’heure du Gratton pour donner la parole aux entrepreneur(e)s lyonnais(es). À la finesse des questions posées à micro ouvert se conjugue désormais la passion pour le verbe. Ainsi, tout au long de l’année, Marie Esquelisse, fondatrice du podcast, et Bérengère Wolff, associée de la Maison Trafalgar, rejoignent un(e) dirigeant(e) lyonnais(e) dans un restaurant de la ville pour co-animer un entretien d’autant plus savoureux qu’il se veut hors des sillages et des creux. C’est dans un cadre intimiste et chaleureux, entre la poire et le fromage, que les deux épicuriennes distilleront volontiers dans le Gratton quelques questions qui grattent : business, éducation, société, environnement, politique, spiritualité… Des parcours de vie dont on ose parler : tout est concocté pour donner de l’énergie aux auditeurs et inspirer la prochaine génération d’entrepreneurs ! 

Patricia ou l’équité

Pour ce cinquième épisode, Patricia Gros-Micol, la fondatrice d’Handishare, est conviée à la table du Gratton. Souvent évoque-t-on ces entreprises qui s’accordent à placer l’humain au centre de leur politique managériale ; au-delà du slogan, c’est peu dire que Patricia a su graver ce concept dans l’ADN même de sa société, fondée en 2011. Depuis une décennie, Patricia se livre dans un combat d’autant plus délicat que la très grande majorité des handicaps ne se voient pas. Convaincue que nous sommes tous détenteurs de compétences et de savoir-faire, là où bon nombre évoqueraient un handicapé, au-delà des apparences et des préjugés, l’œil bienveillant de Patricia préférera toujours voir un handicapable ! Capable, Patricia prouve qu’elle l’est aussi, chaque fois qu’elle ramène sur le chemin de l’emploi celles et ceux, qui, à son instar, furent un jour frappées d’un accident de la vie : « Vignerons, aide-soignantes, pâtissiers… Ils ont dû faire le deuil de leur santé, mais ont su développer une résilience exceptionnelle ! » Des hauteurs de la Croix-Rousse aux rizières de Madagascar, celles-là mêmes qui, tout au long du podcast, lui auront inspiré à pousser la chansonnette, c’est tout en anecdotes et en humour que Patricia livre un parcours dont on pourrait ainsi résumer la teneur : battre en brèche les préjugés en distribuant du bonheur.

Après Émilie Legoff (Troops), Karim Duval (humoriste), Laurent de la Clergerie (LDLC), découvrez l’épisode consacré à Patricia Gros Micol (Handishare).

En collaboration avec Rushmix, ATS Studio, et nos généreux restaurants partenaires : Têtedoie, La Maison Perla, Veronatuti et Le Bistrot Abel, Un Tour en Vignes.

Retrouvez l’intégralité des podcasts « C’est l’heure du Gratton » sur Ausha, Spotify, Deezer, Itunes, Podcast addict.


Virgile, Directeur des opérations de la Maison Trafalgar, initie le premier concours d’éloquence interuniversitaire de la ville de Lyon

Dans le sublime cadre du péristyle du Fourvière Hôtel, dont le prestige ne pouvait que mieux incarner les origines antiques de l’amour du verbe porté au pinacle, a été accueillie ce 23 juin 2021 la finale du premier concours d’éloquence interuniversitaire de la ville de Lyon : Eris.

Il était très important pour nous de convier tous les étudiants de la ville, sans aucune distinction entre eux, à participer : ce concours se veut à la fois tourné vers l’excellence, et farouchement opposé à toute forme de discrimination ou d’élitisme. Ce concours a également pour vocation de s’inscrire dans la démarche patrimoniale de la ville de Lyon. – Virgile Deslandre

Les candidats ont été pré-sélectionnés sur la base d’un discours écrit consacré à une citation de Marc Aurèle : « Il ne faut pas en vouloir aux évènements. » Après avoir répondu au sujet de la demi-finale : « Les humains sont sauvages, brutaux et dérisoires. Qui donc les enseigna ? Qui prit soin d’eux ? », c’est sous l’œil bienveillant et attentif de Virgile Deslandre, Directeur des opérations de la Maison Trafalgar et fondateur du concours, que les six étudiants en lice ont su rivaliser de prestance ; les envolées lyriques se drapant de prophéties quasi mystiques, car le thème énigmatique, de la finale s’y prêtait volontiers : « L’Homme est le rêve d’une ombre ». Si la gagnante se détacha du nombre par la force de son propos et la puissance de son discours, chaque candidat a su faire honneur aux exigences de cette rencontre. 

Dans le sillage de cette initiative, sous l’égide de Virgile Deslandre, virtuose de l’éloquence et formateur de longue date dans ce domaine – dont le prénom n’est d’ailleurs pas sans rappeler quelques lointaines références romaines –, la Maison Trafalgar ouvre désormais sa porte aux professionnels, de tous horizons, dans le cadre de formations spécifiques liées à la rhétorique. Ainsi, au-delà du Portrait littéraire qui constitue le cœur de son savoir-faire, la Maison Trafalgar s’adjoint une nouvelle corde à son art : celle de la superbe de l’oratoire. 

Photographie : Jules Azelie


Le groupe Bon Marché remporte le LVMH Inclusion Index Award 2021

Félicitations à nos fidèles clients et à tous les membres de notre équipe ! Le groupe Bon Marché reçoit le LVMH Inclusion Index Award 2021.

Un prix qui récompense l’exemplarité de ce programme interne, et le travail de fond que nous menons à leurs côtés. Chaque année, une singulière galerie de Portraits écrits et photographiques, mais aussi l’écriture du Manifeste L’Effet Marguerite, inspiré par l’emblématique fondatrice Marguerite Boucicaut !

« Vous avez consacré du temps, de l’énergie, votre créativité pour donner du cœur à L’Effet Marguerite. Un grand merci, car cette récompense est aussi la vôtre, merci de nous avoir aidés à donner vie à notre projet. Nous sommes au début de l’histoire de L’Effet Marguerite, et nous comptons écrire la suite ensemble. »
– Mathilde BARBARA Responsable Communication Interne GROUPE BON MARCHÉ

Parmi les plus de 148 projets, seulement 7 ont été sélectionnés pour leur impact social, leur efficacité et leur approche innovante. Parmi ces projets, l’Effet Marguerite s’est démarqué !

Merci Romain Chambodut de nous accompagner dans chacune de ces galeries !


Les associées de la Maison prennent part à L'Odyssée Utopiste !

Par des passeurs et passeuses, à destination des héros et héroïnes du quotidien.

Joyeusement animé par Marie Durand, « LOdyssée Utopiste«  est un cycle de rencontres pour se relier et semettre en mouvement. Des récits d’inspiration et d’échanges intergénérationnels pour favoriser les rencontreset le développement d’un réseau qui contribue à un monde humaniste et écologique.

Des rdv bi-mensuels, les soirs, entre 19h00 et 20h15, via Zoom.

Après Elisabeth Roman, fondatrice et directrice de publication de Lukid et Tchika, Élodie Parmentier, co-fondatrice de la société Nuits Noires, et Stéphane Couchoux, Responsable secteur Fondations Mécénat etentreprises à impact, au cabinet Fidal, Bérengère et Marion répondent à l’appel pour le récit 4 !

« Portraits & métiers de lécritureelles détonnent !

Des bancs de lécole à la création de leur métier surmesure, Bérengère et Marion nous partageront leurexpérience et leur chemin pas à pas vers ce métier passion. Incubateurs, prix, prises de parole, ellesretraceront ce parcours de jeunes entrepreneuses et la force de leur binôme. De la création de ces momentssuspendus pour entendre, comprendre, découvrir lautre, elle nous partageront le processus créatif. Ellesévoqueront aussi leur passion pour le portrait à un moment celuici na jamais aussi bien rempli sa fonctionimmédiate de représentativité.

La sensibilité, la fougue, la simplicité et le pragmatisme, rien que ça

UN RDV EN 3 TEMPS  

Le témoignage de leur parcours

Un temps dintelligence collective

Une conclusion qui décoiffe et qui met en mouvement. »

Ce récit vous intéresse ?

– Inscrivez-vous sur via ce lien.
– Soyez au rendez-vous le jeudi 11 mars 2021 à 19h !

Fond’Action Declic :

L’Odyssée est proposée à prix libre pour permettre à chacun.e de participer. Selon la valeur que vousaccordez au cycle et les moyens financiers que vous pouvez mobiliser, vous pouvez contribuer en faisant undon au Fond’Action Declic ! Le Fonds œuvre pour l’émergence d’une société consciente, confiante et active ensoutenant des initiatives engagées.


Retour sur un tournage avec nos nouveaux partenaires

Les équipes Ôhm, premier écosystème d’affaires dédié à la réussite du dirigeant, nous retrouvent à Lyon pour un tournage consacré aux raisons de notre nouveau partenariat !

Dans notre Maison de Portraits, nous sommes revenues sur la genèse de notre histoire, le développement de notre activité, la manière dont nous allons contribuer à Ôhm, et tout ce qui nous a motivées à rejoindre cet ambitieux projet !

Un grand merci à Adrien Masse, Kevin Janas, Florian Brochot et Charles Cara !

« Celui qui a la ferveur de croire en des avenirs possibles est capable de les réaliser et d’entraîner les autres avec lui. Nous tenons quelque chose d’essentiel dans la nature du dirigeant, l’une des capacités qui le rendent indispensable, non pas pour engranger les bénéfices quand tout va bien, mais pour lever le regard vers les avenirs possibles quand plus personne n’y croit. » 

« Il y a une allégorie qui maccompagne dans mon parcours. Celle de la Reine Rouge de Lewis Carroll dans De l’autre côté du miroir. Terrible situation que la sienne, et pourtant notre époque peut se reconnaître dans le pays de la Reine Rouge : tout le paysage est sans cesse en mouvement, expliqueton à Alice, donc simplement pour rester au même endroit, il faut courir en sens inverse, tout le temps, sinon on est emporté. Souvenonsnous de cette Reine Rouge qui, en permanence avance, marche. »

« Essayer de comprendre un dirigeant, c’est embrasser l’ensemble de ses domaines, des sujets les plus manifestement extérieurs à sa personne, à son intimité la plus protégée. Le beau est un refuge. Je devais entrer. »

« Ce sont toujours des moments à part lorsque l’on parle de beauté, des rencontres émotionnelles. Si l’art est un produit, la beauté est un sentiment. Placer la beauté au cœur de sa vie est une chose, la faire entrer dans son entreprise en est une autre. »

« Le courage, c’est cela. C’est une capacité à rester fidèle à ses convictions, à ses principes, au nom de valeurs, au nom d’une identité. C’est le refus de laisser bafouer sa singularité. »

– Extrait de l’Autopsie du Dirigeant, ouvrage écrit par Christian Pousset, Président de We’ll Group et du projet Ôhm.


La Maison Trafalgar rejoint le premier écosystème d’affaires dédié à la réussite du dirigeant

Après l’installation en mai dernier de notre propre Maison de Portraits rue du Président Edouard Herriot (2ème arrondissement de Lyon), notre équipe est heureuse d’annoncer son arrivée dans l’immeuble du 156 boulevard Haussmann (8ème arrondissement de Paris) ; un lieu de partage d’expertises dont nous attendons l’ouverture prochaine avec impatience.

« La proximité avec les dirigeant(e)s est l’une des pierres angulaires de la Maison Trafalgar ; s’engager aux côtés du premier écosystème dédié à leur réussite semblait donc tomber sous le sens. Au-delà d’applaudir la création d’une vénérable adresse au service de la réflexion, nous partageons avec Ôhm l’attention portée à l’unicité de chaque expertise, à l’excellence de chaque savoir-faire. Qu’il s’agisse de l’élégance du positionnement, de la sincérité de la démarche ou de l’état d’esprit de nos nouveaux partenaires, nous sommes fières de cette labellisation qui fait la part belle à la science des accords !« 
– Bérengère Wolff et Marion Derouvroy, associées de La Maison Trafalgar.

 

« En 2021, Ôhm accélère. Avec bien évidemment l’ouverture de l’espace parisien, et avec une forte montée en puissance de la commercialisation. À ce titre, nous sommes très heureux d’accueillir la Maison Trafalgar. Leur histoire, leur positionnement et leur excellence viennent d’ores et déjà enrichir la proposition de valeur de Ôhm. En montant dans ces étages, vous pouvez croiser des consultants, des financiers, des communicants, des juristes, des rédacteurs, des journalistes, des coachs, des réalisateurs… des personnes expertes de leur discipline qui se sentent bien chez Ôhm et l’ont choisi pour être plus fortes ensemble et vous accompagner au plus près, au mieux. »
– Christian Pousset, président de We’ll Group.