Artisans Baccarat. La célèbre Manufacture de cristal choisit la Maison Trafalgar !

Pour rendre un vibrant hommage à ses artisans, présenter la richesse de ses savoir-faire et susciter quelques vocations, Baccarat a convié les équipes de la Maison Trafalgar au sein de sa manufacture, en Lorraine. Talents passés maîtres dans l’alchimie de la joie, Meilleurs Ouvriers de France ou encore Chevaliers des Arts et des Lettres, qu’ils soient graveurs, doreuses, souffleurs, tailleuses, dessinateurs, dix artisans nous ont raconté avec bonheur leur métier, leur parcours et leur technicité, en se livrant sur l’habileté de leur tour de main. Une galerie de témoignages sincères et émouvants, agrémentés de plusieurs photographies ; une collaboration qui a déjà appelé d’autres réalisations. Car l’écriture de Portraits finement ciselés est à même de présenter les créations issues de collections d’exception. Si l’une célèbre le cristal et l’autre les mots, il va sans dire que la Maison Baccarat et la Maison Trafalgar présentent ces mêmes points de convergence : l’exigence et l’amour du Beau. 

“Chère Maison Trafalgar, chers tous,
C’est très beau, et pour la Maison Baccarat, ce sont des témoignages très précieux. Je suis très contente de savoir que nos artisans aiment également leur portrait. Merci infiniment à vous tous pour ce formidable travail !”


Extraits : Émilie ROZ

Portrait de la fondatrice : 

« Qu’il s’agisse de volumes déjà existants ou en passe d’exister, les bâtiments ont toujours su dialoguer avec Émilie RŌZ. Son penchant pour les ambiances marquées et les associations bien tranchées investissent désormais ces palaces que l’architecte d’intérieur repense à tous les niveaux, ces espaces qu’elle conçoit en partant de quelques traits de stylo. Chiner une trivialité dans les archives d’un hôtel de luxe, l’amplifier pour créer un écrin aux couleurs des années vingt ; rendre un subtil hommage aux origines d’un grand pâtissier en répliquant, au sein de sa boutique, des formes qui rappellent les églises rupestres d’Éthiopie ; transformer un pressing sans âme en une boulangerie haut de gamme : la fondatrice de l’agence ERŌZ révise des lieux en les connectant à un contexte, essaimant des détails qui sont autant de sous-textes. »

« En respectant la cohérence d’un récit fondamental, Émilie le traduit en langage architectural. Chaque projet devient alors porteur de sens et de symbolique, d’une histoire qui s’invente, se réapproprie et se raconte. Sur les rives d’Annecy, un établissement emblématique peut inviter à plonger pleinement dans toutes les facettes du lac : teintes et matériaux prennent en lumière à mesure des étages, comme une douce remontée jusqu’à la surface. Des écailles de poissons stylisées surgissent dans des éléments de décor irisés, rehaussent une tête de lit, donnent discrètement forme à un miroir. Derrière cette exigence intraitable et ces plans millimétrés tracés au porte-mine 0,7, c’est tout un univers qui se déploie. Un univers où le raffinement s’allie à l’audace d’une vision-bonbon, à l’insouciance de croire que le monde tourne toujours rond. Car dans les yeux d’Émilie, l’élégance peut très bien se plaire sous des néons roses ou solaires, et la sophistication naître d’un motif floral ou d’une comédie musicale. » 

« Détentrice d’un diplôme de professeur de yoga, Émilie maîtrise les intérieurs autant que l’intériorité. Et dans chacune de ses réalisations, les notions d’équilibre et d’alignement s’immiscent par un jeu de lumière, une mosaïque de fleurs, ou la réinterprétation de ce que la nature offre de plus spectaculaire. Si les déjeuners sur les chantiers et les réajustements de plans rythment aussi ses journées, le caractère d’une atmosphère doit moins à la fiabilité mathématique qu’à la puissance d’une émotion, d’une imagination en arborescence. Ainsi Émilie entame-t-elle chaque projet par une phase de divagation qui la voit voguer d’œuvres d’art en ouvrages, de fulgurances en croquis, ou simplement explorer les replis de sa mémoire. Elle peut alors tirer le fil de ces voyages qui l’emmènent en Asie sur un mode Robinson, à la découverte de la gastronomie locale et de la rivière Tatai. Elle se rappelle tout aussi bien l’une de ces portes d’entrée qu’elle ne peut se retenir de photographier par lubie, ses multiples déambulations dans ce salon du design à ciel ouvert qu’est Amsterdam, ou la performance d’un pianiste dans un amphithéâtre gallo-romain qui lui fit couler quelques larmes. »


L’architecte d’intérieur Émilie ROZ s’entoure de la Maison Trafalgar pour réaliser son Portrait écrit !

Émilie a fait appel à la Maison Trafalgar pour réaliser un Portrait écrit qui retrace sa trajectoire multiple et relève le défi d’inviter au cœur même de son univers créatif. Il ancre ainsi la cohérence de sa direction artistique et accompagne la montée en puissance de son agence ERŌZ, qui révise des lieux en les connectant à un contexte, essaimant des détails qui sont autant de sous-textes. En respectant la cohérence d’un récit fondamental, Émilie le traduit en langage architectural. Après trois ans d’existence, l’architecte d’intérieur et son équipe ont ainsi obtenu la confiance de différentes références dans l’hôtellerie de luxe et celle d’entreprises aussi prestigieuses que Ligne Roset Contract et le groupe AIRBUS. Explorant ses nombreuses influences, de ses inspirations à ses voyages, en passant par ses petites madeleines de Proust, le Portrait d’Émilie suit pas à pas sa démarche esthétique singulière. Le ton se fait volontiers musical, tandis que le récit immersif embarque dans les coulisses des audaces conceptuelles et des atmosphères poétiques qu’Émilie RŌZ insuffle à chaque intérieur.

« J’ai pris le temps nécessaire pour déguster mon portrait comme il se doit. Merci pour la qualité de vos mots et pour la justesse des anecdotes. J’ai senti tout le cœur que vous y avez mis. J’adore les rimes, l’élégance des phrases qui s’enchaînent, le rythme, les jeux de mots,  les clins d’œil… tout cela m’a beaucoup touchée. Bravo. »

Extraits

Portrait de la fondatrice : 

« Qu’il s’agisse de volumes déjà existants ou en passe d’exister, les bâtiments ont toujours su dialoguer avec Émilie RŌZ. Son penchant pour les ambiances marquées et les associations bien tranchées investissent désormais ces palaces que l’architecte d’intérieur repense à tous les niveaux, ces espaces qu’elle conçoit en partant de quelques traits de stylo. Chiner une trivialité dans les archives d’un hôtel de luxe, l’amplifier pour créer un écrin aux couleurs des années vingt ; rendre un subtil hommage aux origines d’un grand pâtissier en répliquant, au sein de sa boutique, des formes qui rappellent les églises rupestres d’Éthiopie ; transformer un pressing sans âme en une boulangerie haut de gamme : la fondatrice de l’agence ERŌZ révise des lieux en les connectant à un contexte, essaimant des détails qui sont autant de sous-textes. »

« En respectant la cohérence d’un récit fondamental, Émilie le traduit en langage architectural. Chaque projet devient alors porteur de sens et de symbolique, d’une histoire qui s’invente, se réapproprie et se raconte. Sur les rives d’Annecy, un établissement emblématique peut inviter à plonger pleinement dans toutes les facettes du lac : teintes et matériaux prennent en lumière à mesure des étages, comme une douce remontée jusqu’à la surface. Des écailles de poissons stylisées surgissent dans des éléments de décor irisés, rehaussent une tête de lit, donnent discrètement forme à un miroir. Derrière cette exigence intraitable et ces plans millimétrés tracés au porte-mine 0,7, c’est tout un univers qui se déploie. Un univers où le raffinement s’allie à l’audace d’une vision-bonbon, à l’insouciance de croire que le monde tourne toujours rond. Car dans les yeux d’Émilie, l’élégance peut très bien se plaire sous des néons roses ou solaires, et la sophistication naître d’un motif floral ou d’une comédie musicale. »

« Détentrice d’un diplôme de professeur de yoga, Émilie maîtrise les intérieurs autant que l’intériorité. Et dans chacune de ses réalisations, les notions d’équilibre et d’alignement s’immiscent par un jeu de lumière, une mosaïque de fleurs, ou la réinterprétation de ce que la nature offre de plus spectaculaire. Si les déjeuners sur les chantiers et les réajustements de plans rythment aussi ses journées, le caractère d’une atmosphère doit moins à la fiabilité mathématique qu’à la puissance d’une émotion, d’une imagination en arborescence. Ainsi Émilie entame-t-elle chaque projet par une phase de divagation qui la voit voguer d’œuvres d’art en ouvrages, de fulgurances en croquis, ou simplement explorer les replis de sa mémoire. Elle peut alors tirer le fil de ces voyages qui l’emmènent en Asie sur un mode Robinson, à la découverte de la gastronomie locale et de la rivière Tatai. Elle se rappelle tout aussi bien l’une de ces portes d’entrée qu’elle ne peut se retenir de photographier par lubie, ses multiples déambulations dans ce salon du design à ciel ouvert qu’est Amsterdam, ou la performance d’un pianiste dans un amphithéâtre gallo-romain qui lui fit couler quelques larmes. »


Portrait vidéo de Laurent - immersion dans le quotidien d’un pomiculteur.

La Maison Trafalgar est une Maison complète : découvrez nos Portraits vidéos ! Pour répondre à la demande croissante de ses clients, la Maison Trafalgar a travaillé en profondeur une offre Portrait vidéo aussi singulière que sa signature textuelle. Un format « Portrait iconique », promettant une immersion complète dans l’histoire de chaque collaborateur, artisan, ambassadeur.

La création vidéo réclame aussi une écriture.Après avoir réalisé le Portrait écrit du Directeur général d’Agriconnect, qui revient sur l’histoire de Jose Sallés, jeune ingénieur bolivien déterminé à penser l’arboriculture du futur ; le Portrait du robot Cclair, un triptyque d’écrits aspirationnels, un pack de dix tribunes, un Manifeste engagé, ainsi qu’une galerie de témoignages collaborateurs, les équipes Cclair nous renouvellent leur confiance avec deux vidéos d’ambassadeurs ! Un grand merci pour leur fidélité.

Retrouvez cette magnifique production sur notre chaîne YouTube, et sollicitez à votre tour nos services dans le cadre de productions vidéos !


Expression explicitée : Trier sur le volet

Le volet dont il est question n’est pas celui qui nous plonge dans le noir, mais une sorte de tamis qui permettait de trier les graines. Au Moyen-Âge, le volet était un simple voile ; il prit la forme au XVe siècle d’une tablette en bois, sur laquelle on ordonnait les fèves et les pois. L’expression trier sur le volet est donc restée pour évoquer une sélection méticuleuse, qui tient compte de critères exigeants.


FAQ - Le sujet en question

Aujourd’hui, elle s’adresse à Benjamin, Portraitiste de la Maison Trafalgar :

Bonjour Benjamin, je me demandais… est-ce possible d’offrir l’expérience du Portrait Trafalgar ? Oui !

Certaines occasions se prêtent naturellement à ce cadeau. Que vous ayez à cœur d’accompagner un collaborateur de longue date dans le prochain chapitre de sa vie, ou un dirigeant qui s’apprête à partir à la retraite et à céder son entreprise, que vous ayez envie de donner à un engagement une sensibilité qui aille plus loin que de banals paraphes, grâce à un écrit qui signe votre différence paragraphe après paragraphe, la Maison Trafalgar réserve à chacun le même accueil – y compris à ceux qui ignorent jusqu’au dernier instant qu’ils vont en franchir le seuil ! 

Au-delà du Portrait en tant que tel, c’est bien ce temps suspendu qui est offert, cette possibilité de tisser une bulle singulière, hors de l’effervescence du quotidien. Nos entretiens d’extraction ont leurs points communs avec les domaines les plus précieux : ils savent faire remonter ce qui pouvait patienter dans les replis de la mémoire, appréhender les complexités dans toutes leurs facettes. 

Soutenus par des compositions musicales choisies tout spécialement, et par d’autres morceaux, qui ravissent les palais ou revisitent la madeleine de Proust, ces moments d’exception sont confectionnés avec cette même attention au détail qui se ressent dans nos phrases.


Expression explicitée : Agiter un miroir aux alouettes

Cette expression fait référence à une ancienne technique de chasse permettant de capturer des alouettes. En fixant des bouts de miroir sur un support en bois, les chasseurs provoquaient des reflets en le faisant tourner. L’effet lumineux attirait alors les oiseaux qui, en venant mirer d’un peu trop près, se laissaient prendre au piège ! Ce qui est trop séduisant peut parfois être trompeur.


Ces mots qui n’ont pas de rime

Utilisée avec parcimonie et sagacité, la rime possède une puissance lyrique incomparable. Mais chaque pot ne dispose pas forcément de son couvercle, et il en va de même pour certains mots qui, en matière de rimes, restent à sec. Ainsi, on pourrait s’escrimer pendant des “siècles”, quitte à être payé des milliers de “drachmes”, on ne pourrait extirper le “goinfre” de la “jungle” de ses agapes. Mais il ne faut jamais désespérer : longtemps, je pensais que le mot “triomphe” n’avait aucune rime. C’était alors dans l’ignorance de l’existence de la “gomphe”. Si en l’espèce, je me voyais mal introduire ce cousin de la libellule dans mes Portraits pour des raisons tenant de l’évidence, j’ai en acquis certaines certitudes : elles peuvent toujours être bouleversées.


Expression explicitée : Compter pour des prunes

Durant les croisades du XIIe siècle, les chrétiens ont assiégé Damas, mais la tentative fut vaine tant la ville fut défendue avec hargne. Forcés de se retirer, les croisés ne pouvaient se consoler qu’en croquant dans une prune, un fruit abondamment produit dans la région. Compter pour des prunes marque encore aujourd’hui le peu de considération pour un résultat jugé médiocre.