Depuis cette année, Marion et Bérengère sont engagées auprès de Romane Vianet et Jasmine Boutaghat-Matagne, les deux co-fondatrices de la marque Genre.
À la création de la Maison Trafalgar, Marion et Bérengère avaient 22 et 25 ans. Sept années plus tard, elles sont toujours aussi reconnaissantes des mentors qui leur ont permis de répondre à leurs questions, de trouver du soutien et de développer leur entreprise dans les meilleures conditions. Pierre Poizat, Roger Monnami, Marc Renart, Sacha Rosenthal, Agnès Sarrazin-Millet, Audrey Julienne…
À leur tour, elles ont souhaité prêter main-forte à un autre duo de jeunes femmes dirigeantes pour soutenir leur mission : redéfinir la Liberté Vestimentaire à travers une marque de vêtements minimalistes et androgynes, proposant des ensembles unisexes aux coupes inclusives et travaillées.
La parole est à Romane :
« Une expérience mentorale, c’est un peu comme un premier rendez-vous. La joie se mêle au stress, à l’excitation, et à l’impatience. Lorsque le Moovjee m’a informée que Marion Derouvroy, de la Maison Trafalgar, allait être ma mentore, je me souviens avoir sauté partout ! Après des mois d’attente, j’étais si reconnaissante que quelqu’un me tende la main ! Et puis j’étais fière qu’une si belle Maison, et qu’une dirigeante que j’estimais déjà, puisse croire en moi de cette manière, percevoir un avenir pour notre marque, une légitimité. En plus de nous ouvrir leur porte, Marion et Bérengère ont su tailler pour nous un accompagnement sur mesure, à la fois en termes de vie professionnelle, de vie personnelle, de vente et de posture. Nos perspectives et mon discours ont évolué au gré de nos rendez-vous, tout comme ma confiance en moi. J’ai appris à mieux me connaître, à mieux connaître l’entrepreneuriat, à considérer Genre comme une entité à part entière. L’expérience du mentorat n’en est qu’à la moitié, mais j’ai déjà bien conscience de tout ce que j’ai appris, et surtout éclairci. On se retrouve parfois seule lors de ses premiers pas dans l’entrepreneuriat ; Marion et Bérengère sont de jolis miroirs dans lesquels on peut projeter notre propre image, nos peurs, nos doutes mais aussi nos rêves et nos espoirs. Parce qu’elles sont aussi deux entrepreneures, et qu’elles sont passées par les mêmes étapes que nous, les clés apportées sont réelles, et leur soutien concret. Merci ! »
Elles sont jeunes,
Elles créent des entreprises,
Elles créent des emplois.
Soirée anniversaire du groupe LDLC : les réalisations de la Maison Trafalgar à l’honneur !
Toute l’équipe de la Maison Trafalgar est ravie de l’accueil qui a été réservé à ses créations, lors de la soirée fêtant les 25 ans du groupe informatique. Un jalon majeur dans son histoire, à la faveur duquel LDLC a mis en valeur les vingt-cinq collaborateurs dont nous avions réalisé les Portraits écrits et photographiques, mais aussi le Portrait du fondateur éponyme et de son frère Olivier, afin de retracer une aventure entrepreneuriale singulière.
Tous les talents qui se sont confiés aux bons soins de notre Maison ont apporté leur regard, leurs anecdotes et leurs aspérités, pour reconstituer cette fresque fidèle à l’humanité qui a toujours présidé chez LDLC. Notre Maison salue le travail d’installation magnifique effectué pour l’évènement, et remercie les invités qui nous ont fait parvenir leurs clichés après avoir reconnu la signature Trafalgar !
Les Landes. Le Portrait écrit et iconique de la Manufacture Navailles, confié à la Maison Trafalgar !
La Manufacture Navailles est reconnue pour son expertise en matière d’industrie et d’artisanat français. Depuis 1966, cette entreprise familiale implantée à Hagetmau poursuit son activité grâce au savoir-faire landais, maintenant un niveau d’exigence salué par le secteur médical. Désireuse de se développer dans le marché des particuliers et l’univers du bureau, la Manufacture s’est ainsi tournée vers notre Maison d’écriture afin de retranscrire avec fidélité ses origines et son histoire, mais également les fines intrications de son processus de fabrication, intégré de bout en bout. Une immersion au sein des univers de métaux et de textiles qui se combinent pour donner naissance à des sièges, un Portrait où se croisent de nombreux métiers, où se répondent les influences profondes de la région et l’apport de tous ceux qui participent à la pérennité de cette communauté de compétences – sans oublier l’esprit inimitable… et canaille, qui a toujours animé la Manufacture Navailles !
Extraits du Portrait :
« Vous savez que nous fabriquons à façon, mais pas toujours de quelle manière. Chez nous, on élabore des outils maison à partir d’une pièce un peu casse-tête ; chaque défi technique est un régal, puisque notre industrie artisanale a fait de l’autonomie un parti pris radical. Passés le tonnerre des entrechocs et les sifflements des chalumeaux, passées les odeurs du métal en fusion, l’exploration se poursuit sur le même site, avec un tout autre univers. Dans l’atelier couture, certaines travaillent en musique après les échauffements matinaux. Puis, tout à coup, les rouleaux de tissus s’alignent, feutrent les conversations, le « tactac » cadencé des machines de pose ficelle – avant que ne reprennent les franches rigolades, et ce même humour qui pétille de voir les commerciaux tenter de les manipuler. »
Dans ce Pays de Cocagne que sont les Landes, un certain goût du raffut et du labeur a toujours présidé. Lorsque la Seconde Guerre s’est abattue sur le territoire, un cycliste émérite du nom de Robert Navailles a prétendu qu’il s’entraînait en prévision du Tour de France, afin de berner les Allemands à la frontière, et de jouer les passeurs pour la Résistance. S’il paraîtrait même qu’il recueillit un parachutiste américain, et lui apprit à pédaler, il est avéré qu’à la libération, l’entrepreneur fixa son prochain point de chute en Argentine, où il créa une manufacture des cadres en partant de zéro. Et puisque le sport a sa façon de conjurer le sort, c’est en montant son affaire avec des marques italiennes remarquables que l’habileté de Robert finit par se faire remarquer. Il revint à Mont-de-Marsan, dans ce garage où il peignait à la main des fourches de vélo qui servaient aussi de piètements de chaises, jusqu’à ce que l’avènement de l’automobile ne lui fasse changer de fil conducteur – et que ses deux fils ne le rejoignent en 1966, pour fonder Navailles.
En plus du patois qu’ajoute chaque village, si vous tendez l’oreille, vous comprendrez que les discussions dans notre Manufacture empruntent des expressions venues de lointains rivages. Les cagettes rapportées par les agriculteurs du coin côtoient les freelances qui collaborent avec Navailles depuis d’autres continents. « Crafted for work », « boostrapping » et « test and learn » cohabitent avec les plâtras de volailles préparées à l’ancienne, avec le foie gras, les magrets de canard, avec les pauses à l’ombre qui protègent du cagnard – avec toutes ces coutumes qu’il faudrait être fada pour oublier. D’ailleurs, il n’y a rien d’absurde à perpétuer la mentalité du Gascon : jusque dans les années soixante, les bergers se perchaient sur des échasses pour gagner en hauteur de vue. Résilient et même un tantinet canaille, c’est cette philosophie qui dirige toujours Navailles. »
La Maison Trafalgar rejoint le club des FFI !
« Vous voulez changer le monde ?
Faites-le avec votre entreprise ! »
C’est une nouvelle aventure dans l’aventure entrepreneuriale : Bérengère Wolff et Marion Derouvroy, les deux associées de la Maison Trafalgar, sont heureuses de s’engager aux côtés des FFI !
Les Forces Françaises de l’Industrie ?
Ce Club, fondé par Laurent Moisson, Gilles ATTAF et Emmanuel DELEAUa pour vocation de bâtir un réseau d’entrepreneurs engagés pour le territoire français. Un Club fondé par des entrepreneurs, pour des entrepreneurs, mais ouvert à tous ceux qui croient au made in France.
Nous sommes convaincus que l’entreprise peut être un puissant vecteur de changements concrets, rapides, opérationnels, durables et ce, à très court terme. Par des inventions qui changent la donne, par des valeurs de management plus inclusives, par une création de richesse mieux répartie, par une culture plus responsable et une volonté de s’engager dans un monde qui change, les entreprises ont une liberté, une rapidité et une puissance d’action immédiatement mobilisables sur les sujets qui comptent !
Un grand merci à Clémentine COLIN RICHARD et à Candice Genton de nous avoir ouvert le chemin des FFI !
Après notre première participation à Bourgoin-Jallieu, nous avons hâte des prochaines éditions à Lyon le 18 octobre, puis à Paris le 10 novembre prochain ; hâte de rencontrer de nouveaux adhérents et ambassadeurs de ce beau réseau prometteur !
Yannick Cartailler, Patrick CANCELLIER, Baptiste PLOQUIN, Jean-Pierre CAUCHY, Lydie FERRE, Christine Papin, Adrien Sfecci, Nicolas Donnaint, Raynaut Escorbiac, Amélie Prats !
Avec le Portrait écrit de sa créatrice, la Maison Trafalgar accompagne le lancement de la marque Kapush Paris !
La créatrice de la marque Kapush Paris, spécialisée dans la capuche haut de gamme, a souhaité mettre en lumière le parcours singulier qui l’a menée d’une première carrière dans la psychologie à d’autres façons de prendre soin de la tête de ses clients. Sollicitée pour écrire son Portrait, notre Maison a su déployer toute son expertise afin d’explorer les facettes de Debora O’hana, tant dans ses inspirations artistiques que dans la vision qu’elle insuffle à sa marque – tant dans ses expériences que dans le futur qu’elle réserve à ses accessoires. L’intuition de Debora se remarque également à ses partis pris audacieux, qui n’hésitent pas à privilégier l’excellence du made in France, à inscrire sa marque dans l’éco-responsabilité – à utiliser les stocks de matières à disposition et à monter la gamme « upcycling » à partir de chutes de tissus, dont les plus prestigieuses références sont issues. La vocation internationale de Kapush Paris allant de pair avec son objectif fièrement affiché de devenir le leader des extrémités, des modèles pensés selon les grandes métropoles du globe et de nouveaux coloris ne tarderont pas à faire leur entrée au catalogue.
Portrait vidéo de Yohann - immersion dans le quotidien d’un pomiculteur.
Pour répondre à la demande croissante de ses clients, la Maison Trafalgar a travaillé en profondeur une offre Portrait vidéo aussi singulière que sa signature textuelle. Un format « Portrait iconique », promettant une immersion complète dans l’histoire de chaque collaborateur, artisan, ambassadeur.
La création vidéo réclame aussi une écriture. Après avoir réalisé le Portrait écrit du Directeur général d’Agriconnect, qui revient sur l’histoire de Jose Sallés, jeune ingénieur bolivien déterminé à penser l’arboriculture du futur ; le Portrait du robot Cclair, un triptyque d’écrits aspirationnels, un pack de dix tribunes, un Manifeste engagé, ainsi qu’une galerie de témoignages collaborateurs, les équipes Cclair nous renouvellent leur confiance avec deux vidéos d’ambassadeurs ! Un grand merci pour leur fidélité.