Abécédaire : Durable versus éphémère

Il y a ce mot délicat qui s’enfile comme un gant, celui dans lequel on se sent à l’étroit, plus distant. Il y a ce mot-valise, ce mot sur le départ qui ne nous dit trop rien, puis celui qui nous parle, à peine l’a-t-on croisé, et dont la nuance infime ne se laisse remplacer par aucun synonyme.

Durable versus immédiat : le « D » est à l’honneur dans notre Abécédaire !


Forbes France : Trafalgar dans le Calendrier de l'Avent 2021 !

« Vous avez l’aplomb, nous avons la plume. » Cette citation est la devise de Marion Derouvroy et Bérengère Wolff. Toutes deux passionnées par les mots qu’elles manient d’une plume de maître, les deux femmes ont fondé, ensemble, la Maison Trafalgar, la première Maison d’écriture haute couture spécialisée dans le portrait littéraire cousu main. Déjà plébiscitée par les plus grandes marques de luxe françaises, la Maison Trafalgar créée en 2015 s’est donné la mission de redonner ses lettres de noblesse aux hommes, à leurs histoires et à leurs émotions. C’est à peine sorties de leurs études de lettres et de communication, que Bérengère et Marion se sont lancées dans l’aventure rare d’entreprendre grâce à l’écriture : « ce qui pouvait passer pour un pari insensé ne l’étant plus, la Maison Trafalgar agite les réflexions quant à l’absurde séparation entre les études littéraires et le monde de l’entreprise. » Aux yeux des deux femmes, Trafalgar est la preuve que les mots ont encore leur place dans l’art et la communication à l’heure du digital et des conversations réduites en poignées de caractères : « nos clients se montrent prêts à contrer l’appauvrissement de la langue française et à prendre part à notre mission : valoriser l’expression écrite comme elle se doit de l’être. »

Pour elles, l’avenir de leur mission sera de maintenir Trafalgar comme une référence sur le marché du portrait écrit, afin que leur Maison puisse continuer à prospérer : « Chaque année, depuis six ans, notre croissance double et s’accompagne de nouveaux recrutements afin de la soutenir et de continuer à développer l’employabilité des talents littéraires. » Véritables militantes de l’entrepreneuriat littéraire, Marion et Bérengère développent à présent un pôle formation Trafalgar en plus de leurs engagements respectifs au sein d’associations d’éducation, d’emploi et d’insertion. « Les mots sont à tous, et nous sommes toujours aussi désireux de faire bénéficier le plus grand nombre des pouvoirs de la parole. » Les deux entrepreneures, à qui LVMH, le Ritz Paris, ou encore Veolia ont fait confiance, ont de belles déclinaisons opérationnelles concrètes comme la photographie, les voix off, etc.

Un grand merci à Eve Sabbah pour cet article et pour son intérêt.


Abécédaire : Visionnaire versus immédiat

Il y a ce mot délicat qui s’enfile comme un gant, celui dans lequel on se sent à l’étroit, plus distant. Il y a ce mot-valise, ce mot sur le départ qui ne nous dit trop rien, puis celui qui nous parle, à peine l’a-t-on croisé, et dont la nuance infime ne se laisse remplacer par aucun synonyme.

Visionnaire versus immédiat : le « V » est à l’honneur dans notre Abécédaire !


HEC Stories : l’inclusion des littéraires dans les entreprises

Virgile Deslandre, notre Directeur des Opérations, en charge des formations, des conférences et des ateliers dispensés par la Maison Trafalgar, s’exprime dans le magazine de son ancienne école Hec Stories. Ancien élève de l’ENS Lyon en Philosophie, accoutumé à mettre à profit ses compétences littéraires au service du monde des affaires, il saisit cette occasion pour revenir sur l’inclusion des littéraires dans les entreprises et mentionner les initiatives qui nous tiennent à cœur, à l’image de l’Opération Phénix.

Extrait :

« J’ai fusionné il y a quelques mois mes activités avec celles de la Maison Trafalgar, Maison d’écriture haute couture initialement spécialisée dans le Portrait littéraire, et désormais spécialiste du langage sous toutes ses formes. « Trafalgar », « Phénix » : des noms empreints d’Histoire et de mystère ; étrange Maison en effet qui sécurise les littéraires, internalise ces « Portraitistes » qui font partie intégrante de l’équipe et sont rémunérés à temps plein pour… écrire. Ce qui pouvait passer pour un pari insensé ne l’étant plus – la Maison prospérant depuis six ans et comptant nombre de références parmi ses entreprises clientes –, m’a incité, en tant que Directeur des Opérations, à agiter les réflexions qui précèdent quant à l’absurde séparation entre les études littéraires et le monde de l’entreprise. Je souhaitais les partager avec vous, et notamment avec ceux de mes camarades qui développent et/ou dirigent des entreprises car, à l’évidence, il n’est pas imprudent d’employer ceux que l’on tient, à tort, pour des brebis égarées ; il l’est sans doute encore moins, ce journal en soit témoin, que l’expression écrite soit valorisée comme elle se doit de l’être. »

Retrouvez l’article page 7 sur : https://hecstories.fr/wp-content/uploads/journal_11_complet.pdf