Extraits : Influence Society
Portrait du fondateur :
Si son amour des nouvelles technologies et du digital est inconditionnel, Sébastien Félix a pris à rebours ses professeurs qui lui prédisaient une carrière d’ingénieur. Le fondateur d’Influence Society a su réduire les fenêtres de ses logiciels pour ouvrir en grand celles du secteur de l’hôtellerie. Qu’il s’agisse d’un établissement design, suspendu au ciel de Paris, ou d’un château en terres vigneronnes, Sébastien est chaque fois admiratif des pépites pour lesquelles il actionne son savoir-faire numérique, et sa connaissance du langage informatique. Et puisque le nombre d’étoiles ne suffit pas à assurer aux hôtels une place sur la Toile, Sébastien se lance en 2016 dans l’odyssée Influence Society. Au sein de ce marché d’ultra niche, l’entrepreneur accompagne des centaines de clients qui aspirent à l’indépendance dans le marketing digital, qu’ils soient as du cocktail à l’initiative de concepts innovants, ou esprits rêveurs ayant réaménagé des institutions pour fuir la standardisation.
Avant d’avoir un rôle à jouer dans les destinations d’excellence, c’est tout juste si le goût du voyage se cantonnait à l’assiette pour le natif des Vosges qui grandit à la confluence de deux cultures, entre le pâté lorrain et les pastéis de bacalhau. D’autres frontières se franchissaient aussi par son imaginaire de builder : du montage de Lego à l’assemblage de PC, le féru d’informatique bidouillait jusqu’à la pâte thermique de ses cartes graphiques. Par-delà les LAN enflammées de Quake III Arena, ses élans de curiosité l’ont amené à créer des mondes immersifs sur 3DS MAX pour les présenter sur les machines du lycée. Et les premiers programmes développés sur la base de tutos ont validé, quant à eux, un côté geek qu’il soigne encore : de la passion du jeu vidéo à son moniteur dont la taille « dépasse l’entendement », sans oublier cette approche rigoureuse du digital qu’il insuffle dans tout ce qu’il entreprend.
Quoi que lui réserve le futur, il est déjà prêt. Il restera cet explorateur infatigable qui imagine déjà la possibilité d’un hôtel en basse orbite, mais qui ne peut s’empêcher de participer à des réunions plus terre à terre sur le transfert d’un DNS ou le lancement d’un site. Qu’il lui faille entrer de plain-pied dans l’internationalisation ou s’étendre au marché de la restauration, Sébastien honore son esprit de conquête en continuant de battre en brèche les statu quo. Car celui qui fit ses armes de développeur par la conception de jeux d’échecs en 3D réfléchit les prochaines stratégies selon un seul adage : se positionner systématiquement avec un léger décalage.
Portrait de marque :
Sur les côtes océaniques ou des terres à l’accent plus bucolique, sur les sommets des métropoles ou bien sur ceux des Alpes, Influence Society épaule différents établissements établis, les institutions fortes d’une histoire de plusieurs siècles, les hôtels où l’empreinte familiale se devine, comme les architectures abritant une idée avant-gardiste. Dévoués à ces lieux de vie, nous embrassons, nous aussi, cet esprit boutique voulant qu’aucune chambre ne ressemble à une autre : nous savons que l’expérience doit s’ajuster à chaque hôte. (…) Influence Society est devenue cette agence de marketing hôtelier qui sait identifier les portes à déverrouiller ; plus que d’en fabriquer la clé, c’est avec confiance que l’on vous la remet.
Fidèles à notre habitude de ne pas suivre celles que le marché impose, la culture d’entreprise Influence Society nous a par ailleurs réunis autour d’un fonctionnement 100 % distanciel. Loin des effets de mode, le passage en full remote donne l’occasion à chacun de nous de se modeler un quotidien professionnel raccord à un style de vie, à un projet de mobilité ou de famille. Un choix qui a offert une plus large assise territoriale à notre agence partante pour œuvrer partout. Nous récoltons ainsi les insights, du bastion lyonnais aux boulevards de la capitale, des vallons alsaciens à la péninsule de l’Espagne.
Trompettes Made In France. L’Atelier Jaminet choisit la Maison Trafalgar pour des écrits thématiques réglés comme du papier à musique !
Dans le petit monde des fabricants d’instruments de musique, Adrien Jaminet est une personnalité qui dénote ; l’ancien pensionnaire du Conservatoire a délaissé le solfège et les soli pour développer un savoir-faire bien particulier et redorer le blason du cuivre à la française ; plus particulièrement la trompette ! Qu’il la vende ou la répare, le jeune luthier a aussi développé son propre modèle en fer de lance. C’est peu dire qu’Alfred s’est depuis imposé comme une véritable référence, adoptée autant par les virtuoses que par les grands orchestres de France. Afin de répandre son message d’excellence au-delà de ce microcosme, Adrien Jaminet a confié à la Maison Trafalgar la réalisation de différents écrits thématiques dédiés à son histoire entrepreneuriale, à la finesse de son tour de main, ou encore à sa collaboration avec l’artiste Ibrahim Maalouf, en compagnie duquel il a créé la trompette ToMa. Un triptyque tout en lyrisme, sans fausses notes ni bémol, qui rappelle à tous qu’au-delà de l’instrument, la trompette est bien plus qu’un son – tout un symbole !
Extraits :
Histoire
“Les Ateliers Adrien Jaminet ont su redonner au cuivre à la française tout son panache ; il faut dire que le décor était planté dès l’enfance du fondateur. Bercé aux envolées de Maurice André, il fut cornaqué par son père corniste puis par son parrain, son premier professeur de trompette. Entre deux écoutes du Deuxième concerto brandebourgeois de Bach, Adrien ne quittait l’école que pour rejoindre un entourage de musiciens qui tapait le bœuf à ses heures. Les séances à l’harmonie municipale de Brétigny-sur-Orge finirent par sonner l’évidence : intégrer le conservatoire à l’adolescence.”
“L’idée de créer de toutes pièces une trompette lui trottant en tête depuis belle lurette, Adrien se lance dans une quête pour le moins baroque : restaurer ce son perdu, si caractéristique des œuvres de la Belle Époque. Pour ce faire, il s’abreuve à toutes les sources, s’enquiert de l’encyclopédisme de David Guerrier, fouille dans les archives, glane quelques astuces chez des facteurs allemands. Surtout, il s’en va prendre des notes auprès de la légende Roger Delmotte, qui lui relate l’histoire d’un certain Alfred Aubertin, facteur réputé d’après-guerre. Aubertin : un nom qui ne le quittera plus et qu’il retrouvera en détail dans les colonnes du vieux magazine spécialisé Brass Bulletin. Grâce à un ami collectionneur, voilà qu’il tient dans sa paume une trompette Aubertin. Avec sa permission, Adrien la désosse dans tous ses interstices, griffonne des plans, prend des mesures, tâtonne, analyse, interprète, assemble, décompose, esquisse. Ce point de départ amènera de nombreuses collaborations, au nombre desquelles figureront Ibrahim Maalouf et la marque Antoine Courtois, et même la Garde républicaine pour une trompette de cavalerie. Tout en sonnant la charge pour la suite, Adrien a connu entre-temps cette consécration : celle d’être adoubé par ces idoles qu’il ne pensait pas rencontrer hier, celles-là mêmes qui le faisaient rêver marmot, la trompette à la main pour quelques tralalas, les yeux rivés sur ses posters.”
Savoir-faire
“À Brétigny-sur-Orge ou à Lyon, quiconque pénètre dans ces échoppes verra d’emblée ces plafonds pavés de pavillons, ces murs rutilant d’instruments neufs ou d’occasion. Qu’il le vende, le répare ou le fabrique, l’Atelier Jaminet porte le cuivre au sommet, et sa fabrication contribue au spectacle. Dans ces cavernes d’Ali Baba ouvertes aux quatre vents, devant les yeux écarquillés du client, Adrien et ses équipes appliquent chaque jour une mécanique parfaitement calibrée. Si l’atelier brétignolais polarise désormais toutes les pièces qui composeront cet alliage de finesse et de métal, c’est que le savoir-faire qui s’y déploie n’a rien de banal. Pour ciseler de l’embouchure aux entrailles, pour peaufiner jusqu’au moindre détail des tubulures, les masses et marteaux percutent en rythme, les limes crissent, les chalumeaux sifflent, les ustensiles cocasses s’agitent – mandrin, brunissoir ou autre invention composite.”
“Du néophyte au super soliste, tous se retrouvent d’ailleurs sur les qualités d’un son clair, brillant, espiègle, héroïque, ou plus simplement canaille. Tout en pep’s grâce à ses petites perces, à la forme cylindrique de son tube, son pavillon étroit et sa coulisse d’accords conique, Alfred se décline en ut ainsi qu’en si bémol. Musique du monde ou de kiosque, ses élans se prêtent autant aux concertos en mode redingote qu’aux jam-sessions entre potes, et rappellent même les merveilles de la Belle Époque. De Bizet à Desenclos en passant par Stravinsky ou Ravel, son souffle restitue à leurs opus leur lustre originel. En ayant reforgé les canons de son artisanat, l’Atelier Jaminet a ravivé une esthétique française qui détonne – un patrimoine qui résonne.”
Collaboration avec Ibrahim Maalouf
“Si l’artiste Ibrahim Maalouf collectionne les récompenses musicales les plus prestigieuses, ce touche-à-tout sans cesse à la recherche de nouvelles sonorités pouvait parfois se languir d’un instrument proche de l’idéal, capable de produire ce quart de ton typique du registre oriental. Dès qu’il fit la connaissance d’Adrien Jaminet, ils eurent l’envie de se retrouver autour d’une même table : chacun excelle dans l’art de la trompette, à la nuance que l’un les fabrique et que l’autre joue avec. (…) Avant les premiers concerts où Adrien se rendait en qualité de mélomane, tous deux avaient connu une jeunesse en terre essonnienne biberonnée par le son des cuivres. Tous deux vibraient déjà d’un même amour pour leur instrument, et surtout, chacun arpentait les rues de Brétigny-sur-Orge à sa façon : Ibrahim pour visiter sa famille, et Adrien pour concrétiser dans son atelier ses idées qui fourmillent. Entre deux réparations, les esthètes mûrissent la perspective d’une association future, qui trouvera ses prémices en 2018 avec le développement d’une embouchure : le modèle Maalouf.”
“À la faveur d’un crochet, Ibrahim découvre le premier modèle d’Alfred qui le séduit d’emblée. De ce moment d’eurêka à l’idée de concevoir une trompette signature, il n’y avait plus qu’un pas ! Mais il fallut aussi de la résilience pour mettre au point la trompette ToMa, il fallut de l’ingéniosité pour ajuster ce quatrième piston, et de la diligence pour répondre au défi d’achever le prototype avant le prochain show d’Ibrahim à Bercy. Invité dans l’intervalle à un autre de ses concerts, Adrien eut la belle surprise d’y voir son compère improviser avec une ToMa au bout des doigts. Le son était là, il claquait dans toute sa rondeur. Il ne suffira plus que de quelques ajustements pour définitivement doter la Trumpet of Michel Ange de toute sa palette de couleurs ; ce timbre généreux, riche, polyvalent et chaud, qui a depuis conquis de nombreux aficionados.”
Extraits : Les Ateliers Adrien Jaminet
Histoire :
Les Ateliers Adrien Jaminet ont su redonner au cuivre à la française tout son panache ; il faut dire que le décor était planté dès l’enfance du fondateur. Bercé aux envolées de Maurice André, il fut cornaqué par son père corniste puis par son parrain, son premier professeur de trompette. Entre deux écoutes du Deuxième concerto brandebourgeois de Bach, Adrien ne quittait l’école que pour rejoindre un entourage de musiciens qui tapait le bœuf à ses heures. Les séances à l’harmonie municipale de Brétigny-sur-Orge finirent par sonner l’évidence : intégrer le conservatoire à l’adolescence.
L’idée de créer de toutes pièces une trompette lui trottant en tête depuis belle lurette, Adrien se lance dans une quête pour le moins baroque : restaurer ce son perdu, si caractéristique des œuvres de la Belle Époque. Pour ce faire, il s’abreuve à toutes les sources, s’enquiert de l’encyclopédisme de David Guerrier, fouille dans les archives, glane quelques astuces chez des facteurs allemands. Surtout, il s’en va prendre des notes auprès de la légende Roger Delmotte, qui lui relate l’histoire d’un certain Alfred Aubertin, facteur réputé d’après-guerre. Aubertin : un nom qui ne le quittera plus et qu’il retrouvera en détail dans les colonnes du vieux magazine spécialisé Brass Bulletin. Grâce à un ami collectionneur, voilà qu’il tient dans sa paume une trompette Aubertin. Avec sa permission, Adrien la désosse dans tous ses interstices, griffonne des plans, prend des mesures, tâtonne, analyse, interprète, assemble, décompose, esquisse. Ce point de départ amènera de nombreuses collaborations, au nombre desquelles figureront Ibrahim Maalouf et la marque Antoine Courtois, et même la Garde républicaine pour une trompette de cavalerie. Tout en sonnant la charge pour la suite, Adrien a connu entre-temps cette consécration : celle d’être adoubé par ces idoles qu’il ne pensait pas rencontrer hier, celles-là mêmes qui le faisaient rêver marmot, la trompette à la main pour quelques tralalas, les yeux rivés sur ses posters.
Savoir-faire :
À Brétigny-sur-Orge ou à Lyon, quiconque pénètre dans ces échoppes verra d’emblée ces plafonds pavés de pavillons, ces murs rutilant d’instruments neufs ou d’occasion. Qu’il le vende, le répare ou le fabrique, l’Atelier Jaminet porte le cuivre au sommet, et sa fabrication contribue au spectacle. Dans ces cavernes d’Ali Baba ouvertes aux quatre vents, devant les yeux écarquillés du client, Adrien et ses équipes appliquent chaque jour une mécanique parfaitement calibrée. Si l’atelier brétignolais polarise désormais toutes les pièces qui composeront cet alliage de finesse et de métal, c’est que le savoir-faire qui s’y déploie n’a rien de banal. Pour ciseler de l’embouchure aux entrailles, pour peaufiner jusqu’au moindre détail des tubulures, les masses et marteaux percutent en rythme, les limes crissent, les chalumeaux sifflent, les ustensiles cocasses s’agitent – mandrin, brunissoir ou autre invention composite.
Du néophyte au super soliste, tous se retrouvent d’ailleurs sur les qualités d’un son clair, brillant, espiègle, héroïque, ou plus simplement canaille. Tout en pep’s grâce à ses petites perces, à la forme cylindrique de son tube, son pavillon étroit et sa coulisse d’accords conique, Alfred se décline en ut ainsi qu’en si bémol. Musique du monde ou de kiosque, ses élans se prêtent autant aux concertos en mode redingote qu’aux jam-sessions entre potes, et rappellent même les merveilles de la Belle Époque. De Bizet à Desenclos en passant par Stravinsky ou Ravel, son souffle restitue à leurs opus leur lustre originel. En ayant reforgé les canons de son artisanat, l’Atelier Jaminet a ravivé une esthétique française qui détonne – un patrimoine qui résonne.
Collaboration avec Ibrahim Maalouf :
Si l’artiste Ibrahim Maalouf collectionne les récompenses musicales les plus prestigieuses, ce touche-à-tout sans cesse à la recherche de nouvelles sonorités pouvait parfois se languir d’un instrument proche de l’idéal, capable de produire ce quart de ton typique du registre oriental. Dès qu’il fit la connaissance d’Adrien Jaminet, ils eurent l’envie de se retrouver autour d’une même table : chacun excelle dans l’art de la trompette, à la nuance que l’un les fabrique et que l’autre joue avec. (…) Avant les premiers concerts où Adrien se rendait en qualité de mélomane, tous deux avaient connu une jeunesse en terre essonnienne biberonnée par le son des cuivres. Tous deux vibraient déjà d’un même amour pour leur instrument, et surtout, chacun arpentait les rues de Brétigny-sur-Orge à sa façon : Ibrahim pour visiter sa famille, et Adrien pour concrétiser dans son atelier ses idées qui fourmillent. Entre deux réparations, les esthètes mûrissent la perspective d’une association future, qui trouvera ses prémices en 2018 avec le développement d’une embouchure : le modèle Maalouf.
À la faveur d’un crochet, Ibrahim découvre le premier modèle d’Alfred qui le séduit d’emblée. De ce moment d’eurêka à l’idée de concevoir une trompette signature, il n’y avait plus qu’un pas ! Mais il fallut aussi de la résilience pour mettre au point la trompette ToMa, il fallut de l’ingéniosité pour ajuster ce quatrième piston, et de la diligence pour répondre au défi d’achever le prototype avant le prochain show d’Ibrahim à Bercy. Invité dans l’intervalle à un autre de ses concerts, Adrien eut la belle surprise d’y voir son compère improviser avec une ToMa au bout des doigts. Le son était là, il claquait dans toute sa rondeur. Il ne suffira plus que de quelques ajustements pour définitivement doter la Trumpet of Michel Ange de toute sa palette de couleurs ; ce timbre généreux, riche, polyvalent et chaud, qui a depuis conquis de nombreux aficionados.
Expression explicitée : Avoir du pain sur la planche
Jusqu’à la fin du XIXe siècle, cette expression représentait une perspective rassurante et réconfortante : elle faisait référence à cette planche de bois fixée au plafond et sur laquelle les paysans stockaient de larges quantités de pain. S’il y avait du pain sur la planche, c’est qu’il y avait assez de pitances pour affronter les jours à venir. Ce n’est que bien plus tard que l’expression prit la tournure qu’on lui connaît aujourd’hui : avoir beaucoup de travail à abattre. Chacun conviendra que le métier de boulanger demande de l’ardeur à la tâche, et l’on imagine que s’il y a du pain sur la planche à enfourner, c’est qu’il y a encore à faire !
L’esprit dépasse la matière
Même si la science a prouvé que la pensée était une onde, voilà une expérience qui procure une étrange sensation : en pleine rédaction, au moment précis où je m’apprête à écrire un mot qui n’a pourtant rien de courant dans une conversation banale, voilà qu’il fuse, sans crier gare, de la bouche d’un de mes camarades portraitistes. Si cela ne se produit pas forcément tous les jours, la relative récurrence de ce phénomène a de quoi me laisser pantois. Télépathie, forces mystiques, manifestation de l’esprit ? J’ignore si un lien particulier me rattache à mes pairs, j’ignore si eux-mêmes se trouvent parfois traversés de cette même sensation, la seule certitude que cela m’inspire, c’est bien que l’esprit dépasse la matière.
La Maison Trafalgar, partenaire du Festival des Lumineuses et de sa grande dictée caritative !
Après deux éditions couronnées de succès, c’est peu dire que le Festival des Lumineuses s’est depuis imposé comme un événement majeur de la place lyonnaise. Né du constat que la performance féminine manque de visibilité, les Lumineuses investissent la ville pour soutenir, produire et accompagner différentes initiatives visant à valoriser ces performances sous toutes les formes d’expression : sport, culture, économie, entrepreneuriat, action sociale, jeunesse, ou encore éducation. Pour cette édition 2023, Marie-Sophie Obama, la présidente des Lumineuses et présidente déléguée du club de basket LDLC ASVEL Féminin, a tenu à confier à la Maison Trafalgar la réalisation d’un exercice qui ne pouvait que ravir ses équipes : la rédaction d’une dictée caritative, dont les bénéfices seront intégralement reversés aux associations Docteur Clown et Les Bonnes Fées.
Ainsi, de la première majuscule au point final, nous nous sommes attelés à ciseler un texte original, tout en lyrisme et en légèreté, parsemé çà et là de quelques subtilités dont notre langue a le secret… Avec le concours du comédien lyonnais Jérémy Charbonnel qui prêtera sa voix et sa diction, différents binômes issus d’entreprises lyonnaises répondront présent le lundi 06 mars prochain au sein du grand amphithéâtre du campus HEP Lyon René Cassin. À travers cette grande dictée solidaire, les participants auront le plaisir de retrouver le souvenir des lignes studieuses, dont l’esprit fait pleinement écho au combat des Lumineuses.
Soutenez l’équipe à l’origine du festival, Marie-Sophie Obama, Nathalie Pradines, Carole Dufour, Lydia Delbosco, ainsi que ses autres partenaires, L’équipe des Lyonnes, Les premières Aura, Femmes Battantes, et retrouvez le programme sur www.les-lumineuses.fr
FAQ - Le sujet en question
Aujourd’hui, elle s’adresse à Gilles, Portraitiste de la Maison Trafalgar :
Bonjour Gilles, la Maison Trafalgar réalise-t-elle uniquement des Portraits écrits ? Non !
La Maison d’écriture Trafalgar se plaît à ce que ses mots puissent aussi prendre une autre texture, grâce au travail de ses voix et de leur tessiture. Déployés à bon escient et même augmenté par des environnements sonores propices à leur découverte, nos Portraits audio permettent de tisser des bulles immersives au sein d’un musée d’entreprise, le temps d’une expérience vécue dans le noir, ou déclamés avec verve, face à un auditoire. De quoi savourer la tonicité de la versification, le rythme, les assonances, les allitérations.
La perspicacité de notre signature textuelle s’allie à la perception de nos Portraits photographiques. Pour trouver l’angle, la manière, pour capter cette étincelle, et cette malice, qui séparent les clichés qui ont du cachet des instantanés qu’on finit par vouloir cacher, l’image s’anime aussi dans des Portraits en vidéo ou se développe dans tout son sens, toutes ses nuances, à travers des Portraits dessins.
Quel que soit le format sur lequel on requiert ses services, la Maison Trafalgar échappe aux réponses formatées ; elle continue de soigner sa différence, d’esquisser son pas de côté.
FAQ - Le sujet en question
Aujourd’hui, elle s’adresse à Maxime, Portraitiste de la Maison Trafalgar :
Bonjour Maxime, la Maison Trafalgar va-t-elle au-delà des Portraits écrits de personnes physiques ? Oui !
Si nos lignes épousent régulièrement les contours et les visages, des dirigeants, des associés, et des collaborateurs, Trafalgar donne une nouvelle dimension à l’expression « Maison de caractères ». Les pierres sont des observatrices discrètes dont nous aimons solliciter la mémoire : Portraits de résidences, de marques hôtelières, de châteaux enracinés dans leurs terres viticoles, Portraits de couvents, de moulins ayant maintes fois changé de mains au fil des siècles, ou bien de quartiers emblématiques.
Mais notre écriture va plus loin que de prêter des oreilles aux murs. Et si l’on a fait le tour de l’endroit, il reste encore des témoins à qui donner une voix. La Maison Trafalgar connaît les destins incongrus, les péripéties mystérieuses et les aventures étonnantes de différents objets. Une roue métamorphosée en luminaire ; la trajectoire d’une étoffe en soie à travers toute une filière ; les préceptes d’une règle, d’une gomme, d’un compas ; une machine agricole pour les pomiculteurs…
Et puis l’impalpable peut aussi gagner un phrasé. Qu’il s’agisse d’une collection ou d’un simple concept, chacun a pu voir que l’histoire des idées doit faire l’objet d’une discipline, et d’un savoir-faire qui se manifeste. Les défis auxquels répondent les portraitistes de la Maison Trafalgar sont grands – même un vêtement pourrait leur jeter le gant !
Une pensée pour les clients de la Maison Trafalgar qui pourront en témoigner : Géraldine Frémi, Marie Sibuet Maisons et Hôtels Sibuet, chateau darche Caroline Rihouet, Guillaume Barathieu, Pierre Jamet, SARL HUILERIE BEAUJOLAISE, Pascal DANGER, Jose Sallés, Cclair by AgriConnect, Maped, Virginie Queyrel, Thibault de SACY, Romain Lacroix, Nicolas Busnel et bien d’autres… !