Expression explicitée : Le jeu n'en vaut pas la chandelle

Au XVIe siècle, l’électricité n’existait pas, et la chandelle était considérée comme un objet de luxe. Il était d’usage que les participants aux salles de jeux laissent de l’argent en partant, pour dédommager le coût de cet éclairage. Cette expression permet aujourd’hui d’exprimer quand il y a plus à perdre qu’à gagner car, lorsque les gains des joueurs étaient faibles, ils ne couvraient même pas le prix de la chandelle.


Reportage photographique Pothier Productions. Le groupe Poncin Métal renouvelle sa confiance envers notre Maison ! 

Après le Portrait croisé, en mots et en images, de son Président Jean-Charles Valet, et de son prédécesseur Pascal Mortreuil, le groupe Poncin Métal a souhaité nous confier le reportage photographique de l’une de ses entités : Pothier Productions. Réalisé in situ durant une journée complète, ce reportage tient sa promesse de plonger dans le décor industriel de l’usine et le quotidien des équipes qui y œuvrent ; des photographies qui soulignent ici les reliefs et la force des matières, distinguent là les gestes, les techniques et les métiers qui se trouvent au cœur de l’activité. Merci à notre client pour sa confiance renouvelée et pour cette belle aventure qu’il nous permet de vivre à ses côtés et aux côtés des talents de l’entreprise. 


Le Printemps des Poètes - Éloge de la poésie

« Je ferai, oui, l’éloge de la poésie. Sans restrictions. Sans états d’âme. Parce que la poésie n’est justement pas le lieu de la demi-mesure. Je le ferai d’une voix pleine, vive s’il le faut. Parce qu’on ne peut admettre plus longtemps, n’est-ce pas, que les poètes, malgré les révérences qu’on leur fait de loin en loin pour se disculper de la désinvolture et de l’indifférence avec lesquelles on les traite ordinairement, soient renvoyés à leur étrange petit commerce particulier qui n’aurait rien à voir avec les affaires du monde. Je veux faire l’éloge de la poésie pour tous, non pas, voyez-vous, comme un agrément, un ornement de l’existence ou le partage de je ne sais quelle distinction supérieure : comme une nécessité vitale. »

© Jean-Pierre Siméon – Petit éloge de la poésie


Expression explicitée : Jeter l'éponge

Cette expression vient de la boxe anglaise. À la fin du XIXe siècle, les entraîneurs rafraîchissaient les visages de leurs sportifs avec une éponge à la fin de chaque round. C’est cette même éponge qu’ils jetaient pour mettre fin au match et signaler à l’arbitre l’abandon, lorsqu’ils voyaient leur boxeur au bord de l’épuisement. Elle est reprise pour signaler que l’on abandonne une tâche avec la conscience de ne pas y arriver.


Ne pas louper le coche avec Henri Cochet

Ne pas louper le coche avec Henri Cochet.

Certains noms obligent au trait d’esprit ; le fameux tennisman Henri Cochet en fait partie. Alors que je travaillais un Portrait de marque, j’ai été « confronté » à ceux que l’on appelait « les Mousquetaires » de la grande époque – René Lacoste, Jean Borotra, Jacques Brugnon, et, donc, Henri Cochet. Comment ne pas louper le coche avec le dernier ? On aurait pu faire d’une pierre deux coups, on aurait pu, peut-être, imaginer que quelque chose clochait avec Henri Cochet, ou même qu’il avait fait office de cocher pour l’équipe française. Mais c’eût été trop « sur le nez », comme disent nos amis d’outre-Manche, alors j’ai opté pour un talent qui faisait des éclaboussures !