Reportage photographique Pothier Productions. Le groupe Poncin Métal renouvelle sa confiance envers notre Maison !
Après le Portrait croisé, en mots et en images, de son Président Jean-Charles Valet, et de son prédécesseur Pascal Mortreuil, le groupe Poncin Métal a souhaité nous confier le reportage photographique de l’une de ses entités : Pothier Productions. Réalisé in situ durant une journée complète, ce reportage tient sa promesse de plonger dans le décor industriel de l’usine et le quotidien des équipes qui y œuvrent ; des photographies qui soulignent ici les reliefs et la force des matières, distinguent là les gestes, les techniques et les métiers qui se trouvent au cœur de l’activité. Merci à notre client pour sa confiance renouvelée et pour cette belle aventure qu’il nous permet de vivre à ses côtés et aux côtés des talents de l’entreprise.
Le Printemps des Poètes - Éloge de la poésie

« Je ferai, oui, l’éloge de la poésie. Sans restrictions. Sans états d’âme. Parce que la poésie n’est justement pas le lieu de la demi-mesure. Je le ferai d’une voix pleine, vive s’il le faut. Parce qu’on ne peut admettre plus longtemps, n’est-ce pas, que les poètes, malgré les révérences qu’on leur fait de loin en loin pour se disculper de la désinvolture et de l’indifférence avec lesquelles on les traite ordinairement, soient renvoyés à leur étrange petit commerce particulier qui n’aurait rien à voir avec les affaires du monde. Je veux faire l’éloge de la poésie pour tous, non pas, voyez-vous, comme un agrément, un ornement de l’existence ou le partage de je ne sais quelle distinction supérieure : comme une nécessité vitale. »
© Jean-Pierre Siméon – Petit éloge de la poésie
Expression explicitée : Jeter l'éponge

Cette expression vient de la boxe anglaise. À la fin du XIXe siècle, les entraîneurs rafraîchissaient les visages de leurs sportifs avec une éponge à la fin de chaque round. C’est cette même éponge qu’ils jetaient pour mettre fin au match et signaler à l’arbitre l’abandon, lorsqu’ils voyaient leur boxeur au bord de l’épuisement. Elle est reprise pour signaler que l’on abandonne une tâche avec la conscience de ne pas y arriver.
Ne pas louper le coche avec Henri Cochet

Ne pas louper le coche avec Henri Cochet.
Certains noms obligent au trait d’esprit ; le fameux tennisman Henri Cochet en fait partie. Alors que je travaillais un Portrait de marque, j’ai été « confronté » à ceux que l’on appelait « les Mousquetaires » de la grande époque – René Lacoste, Jean Borotra, Jacques Brugnon, et, donc, Henri Cochet. Comment ne pas louper le coche avec le dernier ? On aurait pu faire d’une pierre deux coups, on aurait pu, peut-être, imaginer que quelque chose clochait avec Henri Cochet, ou même qu’il avait fait office de cocher pour l’équipe française. Mais c’eût été trop « sur le nez », comme disent nos amis d’outre-Manche, alors j’ai opté pour un talent qui faisait des éclaboussures !