Restauration du patrimoine et monuments historiques. De l’écriture aux photographies en passant par le graphisme et l’impression, Trafalgar réalise le livre qui célèbre les artisans de la Maison Aurige !
En donnant la parole à des artisans issus de tous les métiers qui composent cette fresque d’entreprises aux savoir-faire d’exception, Aurige a permis à la Maison Trafalgar d’ouvrir les coulisses de plusieurs chantiers rares. À travers une vaste galerie de témoignages, Notre-Dame de Paris, le site gallo-romain de Cassinomagus, la maison de George Sand ou encore la manufacture de Sèvres se dévoilent par le regard des talents qui y ont œuvré. Soutenus par un récit de marque qui revient aux prémices de la Maison et de cette aventure familiale qui s’étend à présent sur trois générations, plusieurs Portraits de collaborateurs magnifient le geste. Ils sont tailleurs de pierre, conducteurs de travaux, ingénieurs, ébénistes, peintres décorateurs, sculpteurs, directeurs d’agence – comme une mosaïque, tous les récits Aurige inscrits dans ces pages révèlent un fragment de la Maison.
La Maison Trafalgar est fière d’avoir travaillé à leurs côtés pour rendre hommage à ces carrières d’exception, à ces transmissions de savoir-faire séculaires, à ces professions dont le lexique remonte parfois aux époques médiévales, et perdure tout de même dans ces pages. Entre les forteresses cathares, les palais princiers, les cathédrales et les musées, entre les anecdotes touchantes et parfois improbables et les tours de force techniques, cet ouvrage complet rassemble tout ce qui fait le charme de nos monuments : de l’adresse, de l’émotion, et beaucoup de sentiments.
Portrait iconique de marque, Portrait du fondateur et des associés, les architectes de l’Atelier Giffon confient leurs écrits socles à la Maison Trafalgar.
« Une fois le seuil de la Maison Trafalgar franchi, nous sommes accueillis par l’ensemble de l’équipe qui nous transporte dans une atmosphère créative, rassurante et sensible. Une parenthèse, un temps suspendu ponctué de petites attentions, d’échanges fluides et bienveillants. En résulte un travail méticuleux d’extraction et de compréhension de notre univers, traduit par une plume précise, dynamique et fidèle. Nous vous remercions sincèrement pour cette aventure qui nous offre un contenu généreux et ambitieux. »
Rémi Giffon, Président Atelier Giffon
Il ne suffit pas d’être une Maison pour rendre justice à l’architecture d’intérieur. En faisant appel à la signature Trafalgar, la sensibilité des lignes de l’Atelier Giffon se devait de rejaillir au-delà des plans. Dédié à l’art subtil de la conception, l’Atelier Giffon tisse déjà un fil narratif unique pour chacun de ses clients ; restait à emporter dans la multitude d’univers qui composent ces réalisations. Très loin des effets catalogues et des superlatifs qui galvaudent la précision inhérente au métier d’architecte, le Portrait iconique de l’Atelier Giffon s’attache à l’inventivité, à la cohérence recherchée entre la clientèle et le projet. D’un décor immersif de restaurant alpin à un prestigieux hôtel de Dakar, en passant par les chalets de luxe qui ont fait sa réputation, ce Portrait écrit retrace la genèse des espaces – mais aussi la pluralité de son équipe. Une équipe dont le trio d’associés exprime également toute sa singularité dans un Portrait croisé. Le Portrait de Rémi Giffon, fondateur éponyme, plonge quant à lui dans le foisonnement d’inspirations et de références à l’origine de l’Atelier. Qu’il s’agisse des courants architecturaux qui l’ont bercé, ou de cet imaginaire naturel que Rémi ressource par la course à pied, cet écrit étaye encore la philosophie de l’Atelier Giffon et donne une dimension supplémentaire à leur travail de création.
Le groupe Le Bon Marché a perpétué la tradition et a poursuivi sa collaboration avec la Maison Trafalgar ! Galerie de Portraits écrits et photographiques.
Dans le sillage d’une collaboration débutée en 2020, le groupe Le Bon Marché a de nouveau mis en lumière les métiers et les savoir-faire de ses talents. D’une plongée dans le quotidien d’une Conseillère Relations Clientèle au savoir-faire d’une Coordinatrice de Présentation Visuelle, en passant par l’évolution interne d’un Chef d’équipe Logistique qui a démarré magasinier ; plusieurs nouveaux Portraits viennent enrichir cette grande fresque. Les parcours d‘Aleksandre, Alice, Isaure, Thouraya, Thomas, ou encore Rachid sont autant d’histoires et de trajectoires singulières. Nous les avons retrouvés à Paris pour leur faire vivre un instant suspendu dans le temps ; un moment qui leur a été consacré pour revenir sur leurs formations, leur parcours interne, leur mérite et leurs rêves.
« En contactant la Maison Trafalgar, nous avions à cœur de faire que nos collaborateurs se rencontrent autrement, et nous avons nous aussi été prises à notre propre jeu ! Travailler avec Trafalgar, c’est bien sûr une histoire d’élégance, de mots qui vous scotchent, de portraits cousus main qu’on se presse de découvrir, mais c’est aussi la rencontre d’une équipe à l’écoute, qui a su plonger dans nos univers pour mettre en valeur des détails insoupçonnés. »
– Mathilde B, Responsable Communication interne et Expérience collaborateurs
Extraits :
Rachid –
« Tandis qu’il scanne, étiquette, contrôle ou réceptionne, à pied d’œuvre sur cette grande mezzanine qui surplombe navettes et fenwicks, le Chef d’équipe Logistique sait que son action dépasse quotidiennement le cadre de son décor. En libérant le maximum de volume au sein de son entrepôt, il permet au Bon Marché de disposer d’assez de place pour réinventer en permanence ses espaces, de remettre les invendus en solde, préparer les collections d’hiver ou monter un pop-up en un temps record. Et puisqu’un article lui arrive en étant déjà passé par plusieurs étapes, il n’est pas un jour sans que Rachid ne sorte sa panoplie de Sherlock Holmes pour se livrer à tout un panel d’investigations. Garant de l’intégrité des produits qui passent sous ses yeux, il répertorie à la loupe les moindres imperfections, gère les anomalies dans les listings, relance les autorisations de retours, s’attèle au reconditionnement des emballages, sollicite des experts de tous les secteurs, du Bureau d’Achat au Service Traitement, en passant par les fournisseurs. Une quête de précision qui tend parfois à l’infime, car Rachid est aussi du genre à quantifier jusqu’au dosage de la caféine. »
Thouraya –
« Le sens du relationnel, Thouraya l’entretient depuis son enfance, passée dans sa Tunis natale. La jeune fille « très timide » se laisse tenter par l’enseignement, une fois son baccalauréat littéraire obtenu. Balayant ses doutes, aux voyages livresques, elle opte finalement pour ceux qu’elle proposera au sein d’une agence de tourisme locale. Dans ce nouveau domaine, Thouraya se prend d’une véritable passion à guider et à choyer les groupes de vacanciers, à côtoyer des cultures et des coutumes venues d’ailleurs. C’est décidé, dans la foulée, elle se lance dans une carrière d’hôtesse de l’air. De Chicago à Singapour, de Bangkok à Kuala Lumpur, elle arpente le globe d’escales en escales. Installée quelques années au Koweït, Thouraya y affine sa connaissance des langues étrangères, son anglais déjà entretenu à coups de cours du soir, autant que sa maîtrise de l’arabe littéraire. »
Alice –
« Si Alice dispose à présent d’une connaissance complète de la Maison, c’est au seuil de la vingtaine qu’elle intégra Le Bon Marché Rive Gauche, sans aucun bagage dans le domaine. Ne se doutant pas encore de la carrière qu’elle s’apprêtait à entamer, la jeune femme cherchait à l’origine un « petit boulot » pour assurer ses études en ostéopathie et sa chambre de bonne rue Oudinot. Se sentant bien vite en connexion avec les valeurs portées par Le Bon Marché et la philosophie du couple Boucicaut, une fois son diplôme en poche, cette « hyperactive assumée » opta pour une double approche. Avec un peu de souplesse et d’organisation, elle parvint à concilier son cabinet et ses fonctions. Il arrive même parfois, par tout un jeu d’aléas, que des visages familiers se croisent et se confondent : tantôt patientèle dans les allées du Bon Marché, tantôt clients dans la salle d’attente du cabinet. »
Orfite confirme une nouvelle fois sa singularité en s’entourant de la Maison Trafalgar - nouveau site internet, contes entrepreneuriaux, dessins, Portraits et galerie de témoignages ciselés.
Lorsque notre Maison a été sollicitée pour écrire les belles histoires de transmission de PME et ETI françaises qu’Orfite accompagne depuis plus de trente ans, nous ne pouvions que penser une approche à la hauteur de leur philosophie. Outre le Portrait de son fondateur, Daniel Janin, et la réalisation d’une galerie de témoignages ciselés présentant chaque collaborateur, la Maison Trafalgar a reçu la pleine confiance d’Orfite pour faire la part belle au format contes. Ce choix audacieux qui confirme une nouvelle fois toute la singularité d’Orfite rompt avec la prédilection du secteur envers les compte-rendus purement factuels.
Ces récits explorent également la dimension émotionnelle propre à ces aventures entrepreneuriales ; ils mettent en lumière le rôle essentiel d’Orfite, en soignant la discrétion qui caractérise son équipe depuis la création. Ce pas de côté s’accompagne d’illustrations dans un style minimaliste et tracé à la main, pour chacun des dirigeants qui se sont prêtés à l’exercice. Des réalisations qui, à l’instar du nouveau site internet d’Orfite, rappellent la passion et l’exigence qui se logent dans les moindres recoins de notre Maison d’écriture haute couture.
Pour lancer son projet artistique et culturel, l’euphoniumiste Hélène Escriva s’entoure de la Maison Trafalgar. Un triptyque d’écrits à la musicalité assumée !
Joueuse d’euphonium et de trompette basse à la renommée internationale, Hélène Escriva s’est toujours amusée avec les codes de la musique classique, en confrontant ses talents d’instrumentistes à d’autres disciplines artistiques. Celle qui a tourné avec James Thierrée a confié à la Maison Trafalgar la réalisation de trois écrits, à l’occasion du lancement de asH !, son nouveau projet artistique et culturel, visant à promouvoir et à coproduire des créations originales. À travers le récit retraçant le cheminement d’Hélène, de la naissance de sa vocation à ses performances données sur les scènes du monde entier ; à travers un Manifeste posant les fondements de asH !, ce triptyque d’écrits couture explore la démarche et l’univers d’une artiste complète, qui se plaît à mettre quelques coups de pied dans la fourmilière !
Évian-les-Bains. De l’Hotel Royal à l’Hotel Ermitage, face au lac Léman, la Maison Trafalgar écrit l’histoire de l’Evian Resort.
Ravie de se voir confier ce bel écrin dont l’histoire remonte à 1905, l’équipe de la Maison Trafalgar a réalisé les Portraits iconiques de deux établissements emblématiques : l’Hôtel Royal et l’Hôtel Ermitage. Du parcours de golf de renommée mondiale à l’atmosphère festive du Casino, du ressourcement holistique proposé par le spa aux enfants qui gambadent dans l’espace Kid’s, notre signature s’appose également en double langue sur différents écrits couture dédiés aux thématiques essentielles de l’Evian Resort. Au sein de ce projet d’envergure, l’on navigue entre les plats du chef étoilé Patrice Vander et le récit porté par l’architecture Belle Époque, l’on découvre l’arc lémanique à travers toutes ses activités et la diversité de son patrimoine.
Les 100 ans de La Grande Épicerie de Paris. La Maison Trafalgar retrouve ses équipes pour une singulière galerie de Portraits écrits et photographiques.
En parallèle d’une nouvelle galerie de Portraits de talents du Bon Marché, la Maison Trafalgar s’est vue confier différents Portraits de collaboratrices spécialement pensés pour célébrer l’anniversaire de La Grande Épicerie de Paris. Adoptant un axe d’écriture singulier, chaque écrit souligne le lien fort et tout particulier que Jina, Marie-Claudine, Olga et Valérie entretiennent avec l’institution centenaire. Cette galerie explore des carrières déployées sur plusieurs décennies ; certaines ont vu naître le comptoir de la Boulangerie dans les années quatre-vingt, d’autres ont vu évoluer les lieux et tout ce qui participe à son rayonnement. C’est en tirant le fil d’histoires toutes plus attachantes que La Grande Epicerie de Paris célèbre sa belle odyssée.
Extraits
Marie-Claudine
Bien avant de célébrer ses cent ans, quand la boulangerie de La Grande Épicerie de Paris Rive Gauche ne consistait qu’en quelques corbeilles de pains, une jeune vendeuse de vingt-deux ans découvrait tout juste le coin. Marie-Claudine ne se doutait pas qu’elle proposerait bientôt une myriade de saveurs ; que ce comptoir encore naissant attirerait les foules du matin au soir, sans oublier le quatre heures. Tout commença par une virée à moto entre copines. Elle était bouche bée devant chaque merveille de la capitale, et s’engouffra au hasard dans une file d’attente, rue du Bac.
Olga
Olga apprécie aussi la scénographie de cette institution désormais séculaire, qui se renouvelle et offre toujours mieux, renforçant le plaisir de ceux qui goûtent d’abord avec les yeux : la « fresque » chamarrée de l’espace maraîcher, qui joue des formes et des couleurs au rythme des saisons ; l’impressionnant mural d’eau où cohabitaient des bouteilles de tous horizons, et puis ces huiles qui magnifient l’olive, sans oublier la façade végétale du magasin qui l’enjolive. De même qu’elle surprend sa famille et ses amis avec une petite friandise, elle raffole des shortbreads qui ravissent le tea time, des oursons en guimauve, elle distribue pour les occasions spéciales des paquets de nonnettes, des boîtes de macarons et des chocolats au piment d’Espelette.
Jina
Au début des années quatre-vingt-dix, les allées de La Grande Épicerie de Paris Rive Gauche présentaient déjà des produits du monde entier, et étaient traversées par ce même esprit de quartier. Trente ans que Jina arpente le grand magasin centenaire de fond en comble, devenant au fil du temps un repère auquel l’on se réfère. Cette Hôtesse d’accueil qui a toujours le bon mot, et dont l’approche soignée sait faire la différence. Qu’elle les guide parmi les comptoirs et les denrées, qu’elle peaufine un paquet cadeau ou gère la création des cartes fidélité, Jina met du cœur et connaît le sens de chacune de ses actions. Ne pas suremballer une bouteille de vin mais l’habiller d’un élégant ruban de soie, disposer un sachet de chips à la truffe sans en casser aucune. D’ailleurs, elle n’a pas son pareil pour préparer les fameux paniers garnis permettant aux clients d’emporter chez eux ce qui fait « l’harmonie et la poésie des lieux ».
Valérie
L’attachement de Valérie à La Grande Épicerie de Paris commença en tant qu’Attachée commerciale au Service traiteur. En tant qu’ambassadrice naturelle, elle participait déjà à ce que le savoir-faire de la Maison rayonne dans les plus prestigieux sièges de la France – au Sénat, à l’Assemblée nationale ou au ministère des Finances. Et bien qu’elle officiait le plus souvent hors les murs, Valérie emportait toujours avec elle cet esprit d’ouverture qui permit au magasin de s’ériger, depuis sa naissance, en repaire du bon goût et de la découverte ; un brin de malice et toujours le cœur à la fête. Contribuant activement au développement d’un département jusqu’alors réservé aux commandes, Valérie vit en effet La Grande Épicerie de Paris grandir bien au-delà du VIIe arrondissement.
Écrits couture. La Maison Trafalgar accompagne Le Domaine des Moriers dans la confection de son socle textuel.
Dans le vin comme dans l’écriture, tout commence par un terreau de qualité. La Maison Trafalgar est ravie d’avoir été sollicitée par les deux associés du Domaine des Moriers, pour réaliser un triptyque d’écrits, et accompagner les premières prises de parole au-delà d’une clientèle de fins connaisseurs. À leurs côtés, nous avons accepté de relever plusieurs défis : expliciter les bienfaits de la démarche bio sur les parcelles sans tomber dans la litanie technique, présenter des vins aux épicuriens, souvent pantois face aux descriptions œnologiques ; faire la part belle à la trajectoire et à l’amitié entre les deux fondateurs du Domaine, à cette association un tantinet improbable entre Dominique Cor, ancien haut cadre de l’industrie vidéoludique, et François de Nicolaÿ, gérant du domaine familial Chandon de Briailles. Si les deux hommes partagent bien évidemment une passion pour les vins de Bourgogne, leur démarche provient initialement d’une tendresse envers des appellations dont la réputation est malmenée. Ce triptyque revêt ainsi une dimension de Manifeste, inscrivant le tournant opéré du Beaujolais nouveau au renouveau du Beaujolais !
« Un exemple extraordinaire de réussite d’une entreprise dédiée à l’écriture haute couture. Bravo et merci pour votre talent, votre savoir-faire unique et pour ces textes magnifiques qui mettent en évidence de manière remarquable le travail que nous essayons de faire au Domaine des Moriers.«
– Dominique Cor, Domaine des Moriers
Haute Lunetterie. À Chamonix, le créateur Pascal Mathieu choisit la Maison Trafalgar ! Élaboration d’un Portrait de marque bilingue.
Des études polytechniciennes menées par son fondateur éponyme à ces lunettes confectionnées à Chamonix, l’aventure de la marque Pascal Mathieu méritait d’être mise en mots avec acuité. Pour accompagner une refonte globale de tous ses supports, pour rendre justice à la précision apportée à la conception des montures et pour immerger les clients dans les références du créateur, notre Maison a élaboré un récit où les techniques et les cheminements artistiques s’entremêlent. Ce ne sont pas moins de soixante-dix-huit étapes qui jalonnent la fabrication d’une paire de lunettes Pascal Mathieu ; il convenait donc faire la part belle aux nombreux métiers qui se relayent dans les ateliers. Afin de donner corps à la vision multifacettes que prône Pascal Mathieu, ce Portrait de marque embrasse des univers variés, à la mesure de toutes les potentialités que les lunettes permettent de révéler. Et puisque le logo orne les branches des modèles, la signature se devait de conserver une légèreté tout à la française – y compris dans sa déclinaison anglaise.
« Avec une plume affûtée, Trafalgar a habilement orchestré un récit où les techniques et les cheminements artistiques s’entremêlent. Le portrait de notre marque communique avec justesse et délicatesse les valeurs qui nous animent. Sensible à toutes nos demandes, l’équipe Trafalgar a su embrasser nos aspirations. Nous leur exprimons notre profonde gratitude pour la subtilité et la perspicacité de ce récit, qui donne vie à la vision multifacette chère au fondateur. »
FOCUS. Les cheminées iconiques confient à la Maison Trafalgar leur Portrait de marque et le Portrait personnifié de l’emblématique GYROFOCUS !
Afin de retracer l’histoire aussi dense que passionnante de cette réussite artistique et entrepreneuriale, l’équipe de la Maison Trafalgar a eu le plaisir de se rendre sur plusieurs sites. Ces deux Portraits ne pouvaient, en effet, déployer toute l’atypicité d’une marque comme FOCUS sans une immersion complète dans l’usine de Cavaillon ; sans rejoindre également la petite cité médiévale de Viols-le-Fort, où Dominique Imbert créa en 1968 la première cheminée suspendue et pivotante. Le Portrait écrit de la marque FOCUS expose cette vision artistique, plus d’une fois récompensée et couronnée par le monde du design. En plus de ces cinq décennies de développements et d’engagements, le récit s’attache à ancrer l’esprit un brin frondeur de cette entreprise qui a su capter l’air du temps, sans jamais dévoyer le legs de son fondateur.
Le Portrait personnifié du GYROFOCUS, quant à lui, donne la parole à cette cheminée élue plus bel objet du monde et au design reconnaissable entre mille. Avec fierté, et un peu d’espièglerie, le GYROFOCUS se raconte – de sa naissance improbable au pied des Cévennes à cette ascension qui le porta dans les plus grands musées du monde. Cet écrit tient la promesse d’incarner la démarche de FOCUS hors des sentiers battus, et d’inscrire son savoir-faire unique, au croisement de l’art, de l’industrie et de l’ingénierie. Dans le sillage de ces deux réalisations textuelles réussies, de nouveaux projets avec cette marque des plus inspirantes voient déjà le jour ; une collaboration sublime et pérenne, dont nous ne manquerons pas de vous donner des nouvelles…
« J’ai lu avec délectation vos textes, je trouve cela merveilleux. Je ne suis pas étonnée que l’esprit de Dominique vous ait accompagné. Je pense qu’il aurait été fier de vous. »