Écrits couture et viticulture. En Alsace, le Domaine Schoepfer choisit la Maison Trafalgar
La refonte du site internet de l’entreprise fut l’occasion pour la Maison Trafalgar, de faire vagabonder sa plume en Alsace, et plus précisément à Eguisheim, sublime petite bourgade médiévale, où se niche en son centre le Domaine Schoepfer. Vincent, dirigeant et représentant de la quinzième génération, ainsi qu’Étienne, son second d’exploitation, avaient à cœur de soigner la rédaction de cette histoire familiale, et de présenter leur philosophie de vigneron, autant que les coulisses de leur savoir-faire séculaire.
Jetzt geht’s los !
Retour client d’Etienne E., second d’exploitation :
« Trafalgar nous a offert une expérience unique et riche en émotions. Tout au long du projet, l’équipe s’est montrée à notre écoute et très impliquée pour cerner à la fois nos besoins, la philosophie de notre exploitation et la fibre familiale de notre histoire. Le résultat surpasse nos attentes. Bien loin des standards, les textes sont justes, profonds et harmonieux. Comme quoi l’écriture est aussi capable de sublimer l’agriculture. »
Extraits des trois Écrits couture :
Notre histoire
Dans le sillage de ses parents Michel et Marguerite – la belle fleur des champs –, c’est à Vincent, le représentant de la quinzième génération Schoepfer, qu’échoit à présent la perpétuation de l’excellence de ce savoir-faire. Et c’est peu dire qu’une enfance buissonnière passée avec eux, au milieu des treilles, surclasse toutes les grandes écoles en termes de bons conseils. C’est là que son grand-père Alphonse lui enseigna aussi cette philosophie viticole et les subtilités d’un geste auguste, sculptant la vigne au plus juste.
Notre domaine
Baignant au milieu des effluves d’acacias, de châtaigniers, de mousse et de sous-bois, se déploie notre vignoble sur une douzaine d’hectares. Véritable mosaïque d’une quarantaine de lots épars, exposés au sud-est pour la plupart, certaines parcelles demeurent peu domptées par la main de l’Homme : chez nous, c’est souvent la nature qui dicte ses dogmes. Dans cette riche variété géologique, sous l’égide d’un microclimat qui motiva la culture de la vigne depuis la Rome antique, s’épanouissent nos sept cépages sur nos deux grands crus : le pfersigberg – « la colline aux pêchers » –, et le eichberg, – « la colline aux chênes ».
Notre savoir-faire
Quand sonne l’heure des vendanges, c’est à la manière des anciens, avec nos bras pour seules mécaniques, que nous récoltons le raisin, concentré et unique. S’ensuit dès lors notre travail au chai pour une composition délicate et méticuleuse ; c’est au sein d’une cave séculaire, aux conditions idéales, que le jus des grappes s’agrippe au prochain sarment de son histoire vineuse. Maturant en cuve ou dans des fûts en bois de chêne, il s’enrobe peu à peu de cette structure tannique, forge sa substance tout en équilibre et en harmonie. Entre la passion que l’on embrasse et le temps qui passe sans hâte, se révèlent des nectars qui nous ressemblent, et pour peu que l’on contemple la grâce de leur robe, c’est toute l’Alsace qui s’y miroite.
Vivlio célèbre ses 10 ans et choisit Trafalgar pour mettre à l’honneur ses équipes
En confiant à la Maison Trafalgar la réalisation d’une galerie de Portraits écrits et photographiques des membres de leurs équipes, Guillaume Decitre et David Dupré, Président et Directeur général de la start-up française Vivlio, ont souhaité mettre à l’honneur ces talents aux profils hybrides, évoluant aussi bien dans la sphère littéraire que dans les nouvelles technologies. De la Responsable communication et marketing à la Responsable contenus et services, du Développeur en passant par le Product owner, le Directeur R&D ou encore le Sales manager, tous ont pu revenir sur ce riche quotidien qui a forgé l’avant-gardisme de l’entreprise lyonnaise sur le marché du livre électronique. Un terrain sur lequel elle a su se distinguer tant par son ADN de libraire que par l’excellence de ses solutions numériques !
Transformation managériale - Le leader mondial Maped choisit la Maison Trafalgar pour conduire ses entretiens et réaliser, avec justesse, un solide socle textuel
Composé de plus de deux-cents talents en France, et mille-huit-cents à l’international, le groupe Maped, leader mondial des fournitures scolaires et de bureau, a tenu à ce que l’évolution de ses modes de management soit accompagnée par un solide socle textuel : des écrits allégoriques sur la souplesse d’une règle ou les vertus d’une gomme, en passant par une Ode à l’audace et à la créativité ou encore par les témoignages de plusieurs collaboratrices et collaborateurs. Afin d’expliciter avec justesse toute la portée de cette réflexion, la commission transformation managériale, ainsi qu’Antoine et Romain Lacroix, les deux frères et dirigeants du groupe, ont choisi la Maison Trafalgar pour penser, rédiger et formaliser un livre Blanc on ne peut plus coloré ! Si cette réalisation ancre les valeurs et la philosophie de cette entreprise à mission, elle s’éloigne volontiers des codes formalistes et corporate qui structurent habituellement ce type d’ouvrage. Le graphisme ludique et inventif, pensé dans ses moindres détails pour coller à l’univers de l’enfance, est porté par des photographies et un corpus de textes littéraires déjà très appréciés des équipes Maped.
“Nous venons de distribuer le Livre Blanc à une grande partie des collaborateurs. Les réactions sont vraiment positives ! De mon côté, j’ai tourné les pages, parcouru et lu avec beaucoup de plaisir et, je dois le dire, avec un peu de fierté et aussi d’émotion. Nous vous remercions encore pour la qualité du rendu général. BRAVO à vous, et à vos équipes pour cette plume inspirée et inspirante qui retranscrit à merveille ce qu’est Maped, ce qui nous réunit, et notre vision du management et du « travailler ensemble » pour les années à venir.” Thibault de Sacy, Directeur commercial France Maped
“Il est de ces projets dans lesquels la collaboration prend tout son sens, qui nous font grandir parce qu’ils nous sortent de notre cœur de métier et nous challengent.Trafalgar Maison de Portraits a été le partenaire idéal pour la réalisation de ce bel objet aussi riche qu’original. Nous avons officiellement sorti notre Livre Blanc, et on a vraiment hâte que tous les Mapediens s’y plongent et y trouvent des clés pour toujours mieux travailler ensemble.” Virginie Queyrel, Responsable Trade marketing et Communication Maped
Un grand merci aux équipes du groupe Maped pour leur confiance, ainsi qu’à nos talentueux partenaires. Romain Chambodut à la photographie et Loïc Cardon studio:mate à la conception graphique.
Écrits coutures
Extrait : La souplesse d’une règle
Il paraît que c’est l’exception qui confirme la règle. Face à une Twist’n Flex, tout Mapédien pourrait s’interroger : une règle doit-elle être droite ou tendre vers la flexibilité ? Est-elle pensée pour être rigide ou se contorsionner, pour instaurer l’obéissance ou faire preuve de souplesse en questionnant les limites et le sens ? Sa transparence autorise-t-elle à jouer avec, à détendre les positions, à faire que chacun adapte ses règles de conduite à sa façon ? Tour à tour antisèche ou catapulte, la règle rappelle ce penchant cher à l’enfance, à vouloir faire comme les grands mais pas comme les adultes. Force est d’admettre que les règles dépendent de l’enjeu : dans une moindre mesure, il s’agit de trouver le juste milieu. L’on peut être obligeant sans se sentir obligé, l’on peut être exigeant en étant affable et bienveillant. Qui a encore envie de se faire taper sur les doigts, juste pour que cela file droit ? Une fable contait déjà les vertus de la plasticité : ce qui plie ne rompt pas.
Extrait : Les vertus d’une gomme
Ronde, blanche ou colorée, en forme de parallélépipède ou d’animal à pieds palmés, si la gomme ne se tient jamais loin du crayon, c’est bien que recommencer est le propre de l’innovation. Plutôt que de l’utiliser, l’on pourrait se contenter de rayer à l’infini, mais puisqu’une gomme s’érode dès qu’elle se frotte au papier, c’est comme si elle refusait que l’on puisse faire fausse route indéfiniment. Il est humain de se tromper, d’avoir conscience de ses limites, le tout est de s’assurer que la gomme ne s’use pas plus vite que le crayon. Car à chaque fois que la paume donne un coup sec et mesuré, à chaque fois que le souffle repousse les pelures sur le côté, un enseignement indélébile imprègne le brouillon : l’on ne repart pas de zéro, les yeux fermés, mais bien sur un socle de réflexions chaque fois alimenté.
Extrait : L’adaptabilité du compas
Compagnon de la première heure des astronomes, des cartographes et des explorateurs, il est des symboles que peut revêtir le compas, dont les premiers exemplaires en laiton remontent jusqu’aux origines de Maped. Il s’inscrit dans nos valeurs comme dans notre histoire, et s’il accepte de ne pas tout savoir, il est cette boussole qui montre la voie, toujours à la pointe lorsqu’il s’agit de concevoir. Dans une ère où le management est une question centrale, quand le compas délimite des cercles vertueux autour de son axe, il prouve que l’équité préside à tout. Si l’on ne peut incliner l’une de ses jambes sans que l’autre ne se déplace selon le même degré, c’est bien que l’autonomie dépend de l’adaptabilité. Il faudra toujours que la première branche pique un point précis pour que la seconde brosse des ronds à l’envi. Et à trop les éloigner, l’instrument se met à plat, incapable de tracer quoi que ce soit !
Extrait : De la mission d’entreprise à la vision du management
Que vous soyez technicien, as de la conception, prem’s au support ou sur la ligne de production ; que vous soyez la turbulente, le résistant, le petit malin aux récits truculents, la timide du fond, l’éternel retardataire, l’attentif toujours partant pour aider, que vous soyez manager ou managé, adepte des initiatives verticales, transversales ou horizontales ; celui qui trouve tout génial ou qui doute de l’intérêt d’une telle évolution managériale, celle qui prône l’exemplarité, la méritocratie, l’autorité ou même l’entreprise libérée, celui qui se projette – persuadé que le changement se concrétisera –, ou celle qui ne croit que ce qu’elle voit : chacun chez Maped peut contribuer à l’avancée Technique, Humaine, Entrepreneuriale ou Organisationnelle, au renouvellement du management qu’il soit hiérarchique ou fonctionnel. Qu’importent le caractère, la couleur du col, le diplôme ou l’école, qu’importent les facultés, le métier, le niveau d’ancienneté, dès aujourd’hui et pour demain, la transformation managériale est entre vos mains.
Extrait : Ode à la créativité
Pour redessiner le monde, établissez un cahier des charges, mais avant d’en remplir les pages, autorisez-vous à griffonner dans les marges. Notez tout ce qu’il vous passe par la tête : des mots à la queue leu leu, des remarques que vous pensiez bêtes, des adages, des idées qui ne sont pas à l’abri de compter dans le prochain virage. On se fiche du prétexte ou du motif, ce n’est pas en restant sage que l’on devient audacieux et créatif ! Créatif, comme à l’âge où il était valorisé de lever la main pour participer, à l’âge des cartables et des craies ; audacieux, quand de la pointe d’un crayon indomptable, vous barbouilliez déjà au-delà des traits pour réinventer votre rapport à autrui. Vous vous plaisez aujourd’hui à transformer, crobarder, raturer, effacer, puis à refaire, loin des courants et au plus près des rêves d’enfant. Pour en remonter le flot : foncez tout droit, en pas chassés, en pas de travers, puis recommencez encore une fois, mais à l’envers.
10 ans du Fonds Decitre ! La Maison Trafalgar signe le Portrait iconique du Fonds Decitre, et une galerie de Portraits écrits et photographiques
Le dixième anniversaire du Fonds Decitre a été l’occasion pour ses équipes de retracer la fabuleuse démarche de la structure lyonnaise dans son ambition de faciliter l’accès au livre et à la culture pour tous. Le Portrait iconique du Fonds Decitre, comme les différents Portraits de personnalités et de bénévoles engagés, ont permis aux collaboratrices permanentes, aux bénévoles, aux bénéficiaires et aux mécènes, de se retourner sur dix années ponctuées d’actions – les Boîtes à Lire®, Les Maraudes Littéraires, le Prix du Petit Libraire, Lire & Sourire –, de moments partagés et d’expériences concrètes sur le terrain, pleinement dévouées à l’éducation, au plaisir, mais aussi aux nécessités de la lecture !
Guillaume Decitre, ancien dirigeant du groupe de librairies et Président de Vivlio, confie son histoire à la Maison Trafalgar
Sensible à la mission littéraire de la Maison Trafalgar et à l’expérience singulière de l’entretien d’extraction, Guillaume Decitre a profité du double anniversaire – 10 ans du Fonds Decitre et 10 ans de l’entreprise Vivlio –, pour s’autoriser à arrêter le temps, vivre cet exercice de réflexion aux côtés de nos équipes, et leur confier la rédaction de son histoire. Afin de dépasser l’unique facette de dirigeant que l’on retrouve dans pléthore d’articles de presse, d’entériner l’entrée du patrimoine littéraire dans l’ère du tactile et du pixel, de ses premiers élans d’entrepreneur aux États-Unis à la création de Vivlio, en passant par la direction des librairies Decitre et ses engagements plus personnels, le Portrait de Guillaume Decitre s’attache moins à la chronologie qu’au fil rouge émotionnel qui a su coudre ses initiatives plurielles.
Extraits du Portrait de Guillaume Decitre :
Si le livre papier a longtemps imprégné sa fibre d’entrepreneur, lui a ouvert un parcours fait de reliures et de reliefs, le Président fondateur de Vivlio et du Fonds Decitre ne peut s’empêcher de suivre son goût pour l’initiative qu’il ne considère qu’au multiple ; traversées à la voile et projets philanthropiques, engagement écologique et détermination à transformer le secteur du livre. Durant son enfance, Guillaume furetait alors dans la bibliothèque parentale parmi des ouvrages qui promettaient une jolie pause, entre les vers et les proses ; s’immisçait avec quelques petits fours dans le repas des grands et y restait jusqu’au dessert, bercé par les anecdotes des écrivains à qui les Decitre proposaient gîte et couvert.
L’ancien spécialiste en capital-risque a de toute façon toujours mesuré les paris qu’il prenait en écoutant aussi bien les tendances et les indicateurs que les battements de son cœur. La frustration d’avoir perdu sa bibliothèque numérique en changeant de pays suffit d’ailleurs à amorcer l’odyssée Vivlio qui, depuis plus d’une décennie, s’assure que la légitimité de sa marque de liseuses et d’ebooks ne fasse plus aucun doute. Dans la même lignée, une virée épatante en parapente a mené Guillaume à sauver de la faillite le magazine référence de la discipline, et la disparition brutale de son ami d’enfance Christophe Mérieux, qui s’était consacré tout entier à la médecine, l’a marqué jusqu’à donner au deuil la forme d’un fonds de dotation. Il créa le Fonds Decitre pour rendre une part de ce qu’il avait reçu sans l’avoir demandé et faciliter l’accès au livre auprès d’un large public : personnes à la trajectoire cabossée par la rue, lecteurs en herbe ou qui s’ignorent, écoles, hôpitaux et établissements accueillant les seniors.
En dépit de sa discrétion et d’une retenue ne laissant pas souvent transparaître tout ce qui le passionne et le secoue de l’intérieur, c’est à travers cette promesse que la suite sera romanesque que l’esprit du dirigeant s’aligne, que l’homme se livre. Pour Guillaume, l’histoire se poursuit de la manière dont il anime ses conférences littéraires – habité qu’il est, chaque fois qu’il s’éloigne de la trame. Car aux récits rectilignes et aux périphrases qui tournent en rond, il préférera toujours le panache d’autres figures de style. Des partis pris qui s’évasent en oxymores à ces allégories, ces rêves un brin échevelés, son cheminement n’est autre qu’une gradation singulière, écrite à main levée.
Sortie du livre de Portraits écrits dédié aux 25 ans de FormaSup !
L’ouvrage 25 ans, la belle histoire est imprimé ! Un écrin élégant, tout en noir en blanc, qui valorise ces années consacrées à soutenir le développement de l’alternance dans l’enseignement supérieur, et s’intéresse au regard de celles et ceux qui ont participé à la construction mais aussi à la transformation de ce CFA d’exception. Un ouvrage qui se feuillette autant qu’il se dévore d’une traite, et que la Maison Trafalgar est fière d’ajouter à sa grande bibliothèque composée de livres qu’elle a écrits et élaborés.
Un grand merci à la direction de FormaSup ARL pour leur confiance, ainsi qu’à nos talentueux partenaires : Romain Chambodut à la photographie et Loïc Cardon studio:mate à la conception graphique.
Retours de l’équipe FormaSup :
“Je redoute de ne pas avoir le propos approprié pour exprimer toutes les émotions suscitées par le livre des 25 ans depuis notre échange dans votre Maison, jusqu’à la réception de l’exemplaire dans mon bureau. Le tout est simplement magique ! J’ai été très touchée par ce portrait, c’est vraiment de la haute couture, d’une beauté extraordinaire. Je souhaite témoigner que vous êtes les maïeuticiens discrets et ô combien bienveillants de cette « Betty insoupçonnée ». J’ai surtout été agréablement surprise par les réactions unanimes de mon environnement familial et professionnel. J’ai le désir ardent d’exprimer à toute la talentueuse équipe de la Maison Trafalgar, ma sincère gratitude.” Betty Ba
“L’exercice était vraiment très intéressant, car il permet une vraie prise de recul sur sa personne et sur son parcours. Tout est fidèle, vous êtes très doués ! L’expérience m’a beaucoup touché.” Jacques Comby
“Chapeau et félicitations pour ce portrait que je n’attendais pas ! Je ne me permettrais pas de toucher à la moindre pierre de cet édifice. C’est ce que j’ai dit en confiance au portraitiste, c’est ce qu’il a entendu et transcrit ; c’est vrai, et cela doit rester ainsi. J’ai hâte d’avoir votre livre entre les mains !” Max Marcadet
“Ces témoignages et portraits sont excellents : touchants, sincères et engagés. Bravo à vous pour votre travail sur cet ouvrage fantastique !” Abdeltif Mezziouane
“Just one added thing : Trafalgar has won this magnificent battle ! Remembering our history…” Olivier Marion
FormaSup célèbre son 25e anniversaire avec l’écriture d’un livre de Portraits Trafalgar !
Pionnier de la création et de la promotion de parcours d’apprentissage dans l’enseignement supérieur, FormaSup Ain-Rhône-Loire a confié à la Maison Trafalgar la réalisation d’un ouvrage anniversaire dans le cadre des vingt-cinq ans du CFA. Afin de prendre le contrepied du recueil historique, ce livre de Portraits et de témoignages dresse une fresque vivante, et surtout émouvante. Fondateurs et collaborateurs, anciens présidents ou nouvelle équipe dirigeante, partenaires économiques ou académiques, professionnels aguerris formés en apprentissage, ou alternants fraîchement diplômés – tous participent à la construction de cette singulière épopée. Un ouvrage qui ancre des histoires individuelles, en donnant du sens et de l’épaisseur à celle qui a démarré il y a déjà un quart de siècle.
Retours de l’équipe FormaSup :
“Je redoute de ne pas avoir le propos approprié pour exprimer toutes les émotions suscitées par le livre des 25 ans depuis notre échange dans votre Maison, jusqu’à la réception de l’exemplaire dans mon bureau. Le tout est simplement magique ! J’ai été très touchée par ce portrait, c’est vraiment de la haute couture, d’une beauté extraordinaire. Je souhaite témoigner que vous êtes les maïeuticiens discrets et ô combien bienveillants de cette « Betty insoupçonnée ». J’ai surtout été agréablement surprise par les réactions unanimes de mon environnement familial et professionnel. J’ai le désir ardent d’exprimer à toute la talentueuse équipe de la Maison Trafalgar, ma sincère gratitude.” Betty Ba
“L’exercice était vraiment très intéressant, car il permet une vraie prise de recul sur sa personne et sur son parcours. Tout est fidèle, vous êtes très doués ! L’expérience m’a beaucoup touché.” Jacques Comby
“Ces témoignages et portraits sont excellents : touchants, sincères et engagés. Bravo à vous pour votre travail sur cet ouvrage fantastique !” Abdeltif Mezziouane
“Chapeau et félicitations pour ce portrait que je n’attendais pas ! Je ne me permettrais pas de toucher à la moindre pierre de cet édifice. C’est ce que j’ai dit en confiance au portraitiste, c’est ce qu’il a entendu et transcrit ; c’est vrai, et cela doit rester ainsi. J’ai hâte d’avoir votre livre entre les mains !” Max Marcadet
“Just one added thing : Trafalgar has won this magnificent battle ! Remembering our history…” Olivier Marion
Après le succès d’une première galerie de 10 Portraits de talents, le groupe Bon Marché poursuit sa collaboration avec notre Maison !
De la vente au rayonnage, du marketing à l’efficacité énergétique en passant par la formation, il affleure des parcours et des aspirations qui appartiennent à l’histoire de chacun et renforcent l’âme et le bouillonnement de ce premier grand magasin parisien. Après une première galerie de dix Portraits, qui a valu au Bon Marché de recevoir le LVMH Inclusion Index Awards, le travail de fond mettant en lumière les talents et les savoir-faire insoupçonnés du Bon Marché Rive Gauche et de la Grande Épicerie de Paris se poursuit ! En complément de cette seconde galerie de Portraits, l’équipe de la communication interne nous a également confié la rédaction d’un Écrit couture tout à fait singulier. L’Effet Marguerite, Manifeste inspiré par l’incontournable fondatrice Marguerite Boucicaut, ancre ses mesures pionnières, mais aussi l’esprit d’initiative qui a toujours su se déployer sous le dôme du Bon Marché.
French Tech Tremplin 2021 : la Maison Trafalgar forme des entrepreneurs issus de la diversité à l'art oratoire et à la conception de pitch
La semaine dernière, la Maison Trafalgar assurait la formation d’entrepreneurs issus de la diversité en conception de pitch et en art oratoire au Centre d’Entrepreneuriat Lyon Saint-Etienne dans le cadre du French Tech Tremplin 2021.
Virgile Deslandre, notre Directeur des opérations, s’est chargé – lors d’une journée de formation dédiée – de leur apporter aisance et confiance dans la présentation orale de leur projet d’entreprise et de les conseiller sur la manière de construire celle-ci.
Au terme de la journée, les visages témoignaient de la satisfaction des participants, que nous ont confirmée leurs retours d’expérience :
« Virgile, c’est un formateur que l’on aimerait voir bien plus souvent. Il nous a aussi donné des outils pour progresser seuls, c’est très précieux ! »
« C’était une formation concrète, dont l’aspect personnalisé apporte une vraie valeur ajoutée. »
« J’ai eu l’impression d’avoir beaucoup progressé en une seule journée, y compris dans la reformulation de mon pitch. Ça nous a donné envie de travailler encore plus avec lui sur le fond ! »
« La formation dispensée a permis aux entrepreneurs de l’incubateur de travailler sur les blocages inhérents à la prise de parole en public. En une journée, la formation et les exercices leur auront fait reprendre confiance : il y a eu un avant et un après dans leur posture ! L’envie de capter son auditoire, un ton percutant, le souci de choisir les bons mots… des qualités indispensables dans leur futur rôle de dirigeants. » – Dorian Truglia, Chargé de projet Entrepreneuriat pour tous
Bravo aux participants : Jaafar Greinch, Denis DOTSE, Ahmad Esmaeel, Nadia I. Itidar, Bilel Zidi, Hocine H., Jonathan Abassi, Sabrina Fernandez, Thibaut Boudaud, Chanfi Ibrahim, Thierry Crassard, Lara Chehade, Amin Kantar, Galina Indoitu, Alaaeddine Gharbi et Viktor Antoine Noël Bajard.
Merci aux équipes du Centre d’Entrepreneuriat Lyon Saint-Etienne pour leur confiance renouvelée et à Candice Farel – Chef de projet DiversiTech.
Épicerie fine & chocolaterie. Le Comptoir de Mathilde commande à notre Maison le Portrait de son dirigeant, ainsi que le Portrait iconique de la marque
Le Comptoir de Mathilde a fait appel à la Maison Trafalgar pour rendre honneur à cette épopée qui, d’un souvenir familial, a vu naître un réseau d’épiceries fines et chocolateries qui fleurent bon la nostalgie. Grâce au Portrait du fondateur, Richard Fournier, et au Portrait iconique de la marque, nous avons exploré l’histoire, le concept et l’univers du Comptoir de Mathilde selon deux axes de narration. L’audace entrepreneuriale et la construction parfois rocambolesque de l’enseigne font ainsi écho au Portrait de Richard, dans lequel se dévoilent les coulisses d’une aventure peu connue, et le cheminement d’un entrepreneur qui ne manque pas de panache. Quant au Portrait iconique du Comptoir de Mathilde, il explore par un récit immersif et sensoriel l’imaginaire gourmand développé par la marque. Il rappelle aussi son ADN de créateur et fabricant français de produits emblématiques – pâtes à tartiner et autres babas au rhum. En couplant ces deux écrits, un univers textuel singulier émerge, entre secrets de cuisine et expériences olfactives.
Extraits du Portrait iconique du Comptoir de Mathilde :
Qu’elles s’étalent sur la clameur d’une rue passante ou se nichent dans le tumulte d’une avenue marchande, nos boutiques ont le don d’encapsuler tout un monde au point d’en faire oublier celui qui gronde. Le Comptoir de Mathilde compte assez de divines sucreries, et de mets d’épicerie fine, pour que le visiteur presque tenté devienne un habitué patenté. Passée l’entrée, il est catapulté dans une époque qui lui semble familière, comme monté à bord d’une machine à remonter ce temps qu’il aurait aimé connaître. Une atmosphère nostalgique enveloppante, habituellement réservée aux mamies gâteaux, aux commerçants qui empaquettent les francs en rouleau, aux musiques doucement désuètes, aux airs de polka, au charme des polas, aux bonbons, caramels et chocolats. Derrière la caisse de chacun de ces magasins, un trompe-l’œil différent saisit encore le nôtre. Habillés des menus détails de ces peintures à la main, les murs portent fièrement l’emblème de la ville, l’icône des environs ; à Lyon, l’atmosphère du quartier de Saint-Jean répond au somptueux passage Pommeraye de Nantes, et le téléphérique du Mont Faron se dessine à Toulon quand le pont se voit croqué à Avignon.
Du côté des boutiques du Comptoir de Mathilde, on ne vend que ce que l’on élabore ou fabrique. Les classiques régressifs ravivent même les goûters d’autrefois, et réunissent les enfants d’aujourd’hui autour d’un quatre heures d’euphorie. Les saveurs venues d’ailleurs, elles, parfument les paniers cadeaux, étoffent les retrouvailles improvisées autour d’un apéro, les repas où s’invitent les envies partagées et les moments de vie à graver. Quant aux épicuriens les plus curieux, sûr que leur audace trouvera satisfaction à l’ombre de quelques innovations maison, de ce vinaigre à la mangue à ce chocolat crépitant sous la langue. Dès lors, promesse est faite que d’une bouteille ou d’un pot vide, naisse le désir de pousser à nouveau la porte du Comptoir de Mathilde.
Extraits du Portrait de Richard Fournier :
Le verbe franc en vigueur et le tutoiement de rigueur, Richard est de ceux qui ne sauraient camoufler leurs affects, pas même dans les affaires. Et parce que sa loyauté tient plus de la bonhommie que des discours de bonimenteur, c’est avec un seul BEP compta que Richard est devenu quelqu’un sur qui l’on peut compter. Fidèle à ses premiers fournisseurs, il les sollicite et les garde dans son cœur, quand bien même il pourrait trouver moins cher ailleurs. Un homme qui fédère et qui a aussitôt permis à chacun de trouver en son Comptoir une raison d’y croire.
L’effet de la réussite entraîna Richard et « la poignée de fadas » dans des journées rythmées par des zestes de citrons de Menton épluchés par montagne, des déjeuners partagés arrosés d’un peu de vin, et des au revoirs de courtes durées. La signature gustative soigneusement emballée comme à l’ancienne attira d’emblée des petits commerçants prêts à rejoindre, en toute franchise, le modèle original. Richard doubla ses fonctions d’entrepreneur en y ajoutant celles de franchiseur. Les élans insouciants devinrent pragmatisme sourcilleux, et Le Comptoir de Mathilde essaima sa bonne humeur par-delà la Drôme, de sorte que ses devantures sont désormais autant de points cartographiant l’Hexagone.