La Maison Trafalgar signe le Manifeste et le Portrait iconique de la marque Lafuma Mobilier !

Marque iconique du savoir-faire français, son Dirigeant Arnaud du Mesnil a souhaité que Lafuma Mobilier se dote d’un Portrait à la hauteur de ses engagements. Notre Maison a été sollicitée pour unifier une histoire riche d’innovations, et qui, depuis sa genèse, reste fidèle à la commune d’Anneyron. Si la rétrospective de cette aventure entrepreneuriale a été nourrie par le précieux témoignage de Jean Lafuma, membre de la famille fondatrice, ce Portrait s’est aussi appuyé sur la réflexion de son Directeur général, de son Directeur marketing et collections, puis de son Responsable développement produits. Fibre industrielle, audace technique, implications sociales et environnementales sont autant de socles de cette réalisation, qui fait la part belle aux différentes étapes menant des ateliers de fabrication, tout d’acier et de toile, aux intérieurs de la clientèle Lafuma Mobilier. Il a également été confié à notre Maison l’écriture d’un Manifeste dédié au bien-être et à la durabilité – deux vertus cardinales qui s’expriment à la fois dans la conception même du mobilier, et dans les actions concrètes de l’entreprise.

Extraits du Portrait iconique Lafuma Mobilier :

Dans les années trente, trois frères conjuguèrent leur ingéniosité et commencèrent leur affaire avec le sac tyrolien. L’intégration des armatures a permis de suivre l’arrivée des congés payés et l’expansion du tourisme pédestre. Puis ce fut l’avènement du « septième jour », qui amena tant de campeurs et de flâneurs endimanchés sur les routes. Les partenaires de la marque appréciant l’excellence des matières et ses manières de faire, ils lui posèrent le défi de répondre à une habitude qui se dessine : élaborer du mobilier tenant dans le coffre d’une Renault Dauphine. Si cet esprit d’aventure et d’audace a d’abord fait loi, en 1954, voilà que Lafuma Mobilier est créée pour répondre aux attentes de consommateurs en quête de praticité et de fiabilité. Cette idée d’avant-garde devint synonyme d’une marque de liberté, qui a saisi l’essor des loisirs. D’innombrables familles purent alors baguenauder à Deauville, ou tirer l’escapade jusqu’à Saint-Tropez par la mythique Nationale 7, et profiter des réjouissances des années soixante. C’était l’époque où Belmondo trônait de tout son flegme sur l’un de nos fauteuils Dagobert, où la couleur « bronze or » distinguait Lafuma Mobilier des concurrents dans la mise au vert ; c’était l’époque de toutes les conquêtes, jusque sur la Lune, l’époque où Miss France était l’égérie d’une marque tricolore qui s’affirmait déjà dans l’imaginaire populaire.

Derrière le mobilier que vous voyez, et le Label Origine France Garantie, l’on ne saurait manquer de sentir l’implication émotionnelle présente partout, dans les deux sites de production et de conception, dans les six ateliers constituant une fresque complète de métiers. Après y avoir pénétré, quelques pas suffisent pour découvrir ces couturières appliquées à leur ouvrage de haute précision et à la finition des ourlets, ces soudeurs concentrés sur leurs opérations de suture, ces collaborateurs qui millimètrent le fixage des balancelles deux par deux, et ceux qui équilibrent la ouate, la mousse, convaincus qu’on ne fait pas meilleur instrument que les comparses du pouce. Ceux-là qui nous rappellent que les capteurs de sécurité et le digital ne remplacent ni la vigilance, ni la main, ni le cœur. Chez Lafuma Mobilier vous pouvez aussi rencontrer ceux qui découpent l’acier et l’aluminium, les écrasent, les cambrent, les poinçonnent ; ceux qui les nettoient, les poudrent, les passent au four ; ceux qui les emboutissent pour que chaque pièce aboutisse.

Extrait du Manifeste :

Fière de son histoire qui a su durer, et de son développement durable,

Lafuma Mobilier a très tôt questionné, contesté la culture du jetable.

Outre l’association du tube et de la toile, duo que rien ne remplace,

L’écologie s’est inscrite dans les gènes, elle y tient toute sa place.

La durabilité est dans l’acier, mais aussi dans d’autres matières grises :

Ce sont plusieurs générations de talents fidèles à notre entreprise

Qui nous ont permis d’élaborer des techniques respectueuses,

D’économiser les matières, de promouvoir une alchimie vertueuse.


Passation. La Maison Trafalgar réalise le Portrait croisé du président de Poncin Métal, et de son prédécesseur

En confiant leur Portrait croisé à notre Maison, Jean-Charles Valet, président de Poncin Métal, a tenu à ancrer sa vision de l’entreprise tout en rendant hommage aux années de travail et d’investissement de Pascal Mortreuil, son prédécesseur. De leur attachement commun au continent africain à leur parcours entrepreneurial, en passant par leurs personnalités qui parfois les dissocient mais souvent les réunissent, ce récit entrelace tout ce que les deux présidents successifs de Poncin Métal ont apporté pour construire, et parfois reconstruire, cette réussite industrielle française. Ces deux cheminements impriment en creux tout ce qui fait la singularité du groupe au sein de son secteur. Une conception iconoclaste de la métallurgie et ce désir d’être toujours là où on ne l’attend pas.

Extraits du Portrait croisé :

Fidèle à sa propension de tailler un avenir aux larges proportions, Jean-Charles lança des chantiers d’envergure sitôt qu’il prit officiellement les rênes de Poncin Métal ; avec un rachat en pleine crise sanitaire, il brava un timing que d’aucuns jugeraient intimidant. Aux côtés des plieurs, du BE et des deviseurs, soutenu par l’engagement des monteurs-soudeurs, des laséristes et autres directeurs de site, c’est en emmenant avec lui tous les collaborateurs que l’adepte des sports de contact changea de statut ; que le « sensible aux causes perdues » exprima ce caractère combatif tatoué à même les bras, sous les traits d’un célèbre samouraï et d’une citation d’Albert Camus. Entre celui qui intériorise sans jamais se relâcher et l’épicurien au sang chaud de dix ans son aîné, les affinités et les cheminements semblent se répondre en miroir, sans laisser refléter le décalage de l’âge et ces tempéraments qui s’opposent parfois comme le blanc et le noir. 

S’ensuivirent huit années durant lesquelles les deux hommes apprivoisèrent une relation de confiance que les mots et les bas n’étiolèrent pas. Huit années, surtout, durant lesquelles, chaque fois qu’une flèche était décochée, Jean-Charles ne fléchissait pas devant ce « mentor » au management qui ne faisait pas dans le ménagement. Montant dans la hiérarchie comme au capital, prenant peu à peu la main sur la gérance et les dossiers qui étaient jusqu’ici l’apanage de Pascal, l’actuel Président de Poncin Métal refondit l’identité de marque du groupe et renforça le développement commercial. Cette transmission sur la durée donna matière à changer progressivement la perception de celui qui aime que tout soit fait à sa manière. 

 


Écrits couture et viticulture. En Alsace, le Domaine Schoepfer choisit la Maison Trafalgar

La refonte du site internet de l’entreprise fut l’occasion pour la Maison Trafalgar, de faire vagabonder sa plume en Alsace, et plus précisément à Eguisheim, sublime petite bourgade médiévale, où se niche en son centre le Domaine Schoepfer. Vincent, dirigeant et représentant de la quinzième génération, ainsi qu’Étienne, son second d’exploitation, avaient à cœur de soigner la rédaction de cette histoire familiale, et de présenter leur philosophie de vigneron, autant que les coulisses de leur savoir-faire séculaire.

Jetzt geht’s los ! 

Retour client d’Etienne E., second d’exploitation :

« Trafalgar nous a offert une expérience unique et riche en émotions. Tout au long du projet, l’équipe s’est montrée à notre écoute et très impliquée pour cerner à la fois nos besoins, la philosophie de notre exploitation et la fibre familiale de notre histoire. Le résultat surpasse nos attentes. Bien loin des standards, les textes sont justes, profonds et harmonieux. Comme quoi l’écriture est aussi capable de sublimer l’agriculture. »

Extraits des trois Écrits couture : 

Notre histoire

Dans le sillage de ses parents Michel et Marguerite – la belle fleur des champs –, c’est à Vincent, le représentant de la quinzième génération Schoepfer, qu’échoit à présent la perpétuation de l’excellence de ce savoir-faire. Et c’est peu dire qu’une enfance buissonnière passée avec eux, au milieu des treilles, surclasse toutes les grandes écoles en termes de bons conseils. C’est là que son grand-père Alphonse lui enseigna aussi cette philosophie viticole et les subtilités d’un geste auguste, sculptant la vigne au plus juste.

Notre domaine 

Baignant au milieu des effluves d’acacias, de châtaigniers, de mousse et de sous-bois, se déploie notre vignoble sur une douzaine d’hectares. Véritable mosaïque d’une quarantaine de lots épars, exposés au sud-est pour la plupart, certaines parcelles demeurent peu domptées par la main de l’Homme : chez nous, c’est souvent la nature qui dicte ses dogmes. Dans cette riche variété géologique, sous l’égide d’un microclimat qui motiva la culture de la vigne depuis la Rome antique, s’épanouissent nos sept cépages sur nos deux grands crus : le pfersigberg – « la colline aux pêchers » –, et le eichberg, – « la colline aux chênes ».

Notre savoir-faire 

Quand sonne l’heure des vendanges, c’est à la manière des anciens, avec nos bras pour seules mécaniques, que nous récoltons le raisin, concentré et unique. S’ensuit dès lors notre travail au chai pour une composition délicate et méticuleuse ; c’est au sein d’une cave séculaire, aux conditions idéales, que le jus des grappes s’agrippe au prochain sarment de son histoire vineuse. Maturant en cuve ou dans des fûts en bois de chêne, il s’enrobe peu à peu de cette structure tannique, forge sa substance tout en équilibre et en harmonie. Entre la passion que l’on embrasse et le temps qui passe sans hâte, se révèlent des nectars qui nous ressemblent, et pour peu que l’on contemple la grâce de leur robe, c’est toute l’Alsace qui s’y miroite.


Vivlio célèbre ses 10 ans et choisit Trafalgar pour mettre à l’honneur ses équipes  

En confiant à la Maison Trafalgar la réalisation d’une galerie de Portraits écrits et photographiques des membres de leurs équipes, Guillaume Decitre et David Dupré, Président et Directeur général de la start-up française Vivlio, ont souhaité mettre à l’honneur ces talents aux profils hybrides, évoluant aussi bien dans la sphère littéraire que dans les nouvelles technologies. De la Responsable communication et marketing à la Responsable contenus et services, du Développeur en passant par le Product owner, le Directeur R&D ou encore le Sales manager, tous ont pu revenir sur ce riche quotidien qui a forgé l’avant-gardisme de l’entreprise lyonnaise sur le marché du livre électronique. Un terrain sur lequel elle a su se distinguer tant par son ADN de libraire que par l’excellence de ses solutions numériques !


Transformation managériale - Le leader mondial Maped choisit la Maison Trafalgar pour conduire ses entretiens et réaliser, avec justesse, un solide socle textuel

Composé de plus de deux-cents talents en France, et mille-huit-cents à l’international, le groupe Maped, leader mondial des fournitures scolaires et de bureau, a tenu à ce que l’évolution de ses modes de management soit accompagnée par un solide socle textuel : des écrits allégoriques sur la souplesse d’une règle ou les vertus d’une gomme, en passant par une Ode à l’audace et à la créativité ou encore par les témoignages de plusieurs collaboratrices et collaborateurs. Afin d’expliciter avec justesse toute la portée de cette réflexion, la commission transformation managériale, ainsi qu’Antoine et Romain Lacroix, les deux frères et dirigeants du groupe, ont choisi la Maison Trafalgar pour penser, rédiger et formaliser un livre Blanc on ne peut plus coloré ! Si cette réalisation ancre les valeurs et la philosophie de cette entreprise à mission, elle s’éloigne volontiers des codes formalistes et corporate qui structurent habituellement ce type d’ouvrage. Le graphisme ludique et inventif, pensé dans ses moindres détails pour coller à l’univers de l’enfance, est porté par des photographies et un corpus de textes littéraires déjà très appréciés des équipes Maped. 

“Nous venons de distribuer le Livre Blanc à une grande partie des collaborateurs. Les réactions sont vraiment positives ! De mon côté, j’ai tourné les pages, parcouru et lu avec beaucoup de plaisir et, je dois le dire, avec un peu de fierté et aussi d’émotion. Nous vous remercions encore pour la qualité du rendu général. BRAVO à vous, et à vos équipes pour cette plume inspirée et inspirante qui retranscrit à merveille ce qu’est Maped, ce qui nous réunit, et notre vision du management et du « travailler ensemble » pour les années à venir.” Thibault de Sacy, Directeur commercial France Maped

“Il est de ces projets dans lesquels la collaboration prend tout son sens, qui nous font grandir parce qu’ils nous sortent de notre cœur de métier et nous challengent.Trafalgar Maison de Portraits a été le partenaire idéal pour la réalisation de ce bel objet aussi riche qu’original. Nous avons officiellement sorti notre Livre Blanc, et on a vraiment hâte que tous les Mapediens s’y plongent et y trouvent des clés pour toujours mieux travailler ensemble.” Virginie Queyrel, Responsable Trade marketing et Communication Maped

Un grand merci aux équipes du groupe Maped pour leur confiance, ainsi qu’à nos talentueux partenaires. Romain Chambodut à la photographie et Loïc Cardon studio:mate à la conception graphique.  

Écrits coutures 

Extrait : La souplesse d’une règle

Il paraît que c’est l’exception qui confirme la règle. Face à une Twist’n Flex, tout Mapédien pourrait s’interroger : une règle doit-elle être droite ou tendre vers la flexibilité ? Est-elle pensée pour être rigide ou se contorsionner, pour instaurer l’obéissance ou faire preuve de souplesse en questionnant les limites et le sens ? Sa transparence autorise-t-elle à jouer avec, à détendre les positions, à faire que chacun adapte ses règles de conduite à sa façon ? Tour à tour antisèche ou catapulte, la règle rappelle ce penchant cher à l’enfance, à vouloir faire comme les grands mais pas comme les adultes. Force est d’admettre que les règles dépendent de l’enjeu : dans une moindre mesure, il s’agit de trouver le juste milieu. L’on peut être obligeant sans se sentir obligé, l’on peut être exigeant en étant affable et bienveillant. Qui a encore envie de se faire taper sur les doigts, juste pour que cela file droit ? Une fable contait déjà les vertus de la plasticité : ce qui plie ne rompt pas.

Extrait : Les vertus d’une gomme 

Ronde, blanche ou colorée, en forme de parallélépipède ou d’animal à pieds palmés, si la gomme ne se tient jamais loin du crayon, c’est bien que recommencer est le propre de l’innovation. Plutôt que de l’utiliser, l’on pourrait se contenter de rayer à l’infini, mais puisqu’une gomme s’érode dès qu’elle se frotte au papier, c’est comme si elle refusait que l’on puisse faire fausse route indéfiniment. Il est humain de se tromper, d’avoir conscience de ses limites, le tout est de s’assurer que la gomme ne s’use pas plus vite que le crayon. Car à chaque fois que la paume donne un coup sec et mesuré, à chaque fois que le souffle repousse les pelures sur le côté, un enseignement indélébile imprègne le brouillon : l’on ne repart pas de zéro, les yeux fermés, mais bien sur un socle de réflexions chaque fois alimenté.

Extrait : L’adaptabilité du compas 

Compagnon de la première heure des astronomes, des cartographes et des explorateurs, il est des symboles que peut revêtir le compas, dont les premiers exemplaires en laiton remontent jusqu’aux origines de Maped. Il s’inscrit dans nos valeurs comme dans notre histoire, et s’il accepte de ne pas tout savoir, il est cette boussole qui montre la voie, toujours à la pointe lorsqu’il s’agit de concevoir. Dans une ère où le management est une question centrale, quand le compas délimite des cercles vertueux autour de son axe, il prouve que l’équité préside à tout. Si l’on ne peut incliner l’une de ses jambes sans que l’autre ne se déplace selon le même degré, c’est bien que l’autonomie dépend de l’adaptabilité. Il faudra toujours que la première branche pique un point précis pour que la seconde brosse des ronds à l’envi. Et à trop les éloigner, l’instrument se met à plat, incapable de tracer quoi que ce soit !

Extrait : De la mission d’entreprise à la vision du management

Que vous soyez technicien, as de la conception, prem’s au support ou sur la ligne de production ; que vous soyez la turbulente, le résistant, le petit malin aux récits truculents, la timide du fond, l’éternel retardataire, l’attentif toujours partant pour aider, que vous soyez manager ou managé, adepte des initiatives verticales, transversales ou horizontales ; celui qui trouve tout génial ou qui doute de l’intérêt d’une telle évolution managériale, celle qui prône l’exemplarité, la méritocratie, l’autorité ou même l’entreprise libérée, celui qui se projette – persuadé que le changement se concrétisera –, ou celle qui ne croit que ce qu’elle voit : chacun chez Maped peut contribuer à l’avancée Technique, Humaine, Entrepreneuriale ou Organisationnelle, au renouvellement du management qu’il soit hiérarchique ou fonctionnel. Qu’importent le caractère, la couleur du col, le diplôme ou l’école, qu’importent les facultés, le métier, le niveau d’ancienneté, dès aujourd’hui et pour demain, la transformation managériale est entre vos mains.

Extrait : Ode à la créativité 

Pour redessiner le monde, établissez un cahier des charges, mais avant d’en remplir les pages, autorisez-vous à griffonner dans les marges. Notez tout ce qu’il vous passe par la tête : des mots à la queue leu leu, des remarques que vous pensiez bêtes, des adages, des idées qui ne sont pas à l’abri de compter dans le prochain virage. On se fiche du prétexte ou du motif, ce n’est pas en restant sage que l’on devient audacieux et créatif ! Créatif, comme à l’âge où il était valorisé de lever la main pour participer, à l’âge des cartables et des craies ; audacieux, quand de la pointe d’un crayon indomptable, vous barbouilliez déjà au-delà des traits pour réinventer votre rapport à autrui. Vous vous plaisez aujourd’hui à transformer, crobarder, raturer, effacer, puis à refaire, loin des courants et au plus près des rêves d’enfant. Pour en remonter le flot : foncez tout droit, en pas chassés, en pas de travers, puis recommencez encore une fois, mais à l’envers.


10 ans du Fonds Decitre ! La Maison Trafalgar signe le Portrait iconique du Fonds Decitre, et une galerie de Portraits écrits et photographiques

Le dixième anniversaire du Fonds Decitre a été l’occasion pour ses équipes de retracer la fabuleuse démarche de la structure lyonnaise dans son ambition de faciliter l’accès au livre et à la culture pour tous. Le Portrait iconique du Fonds Decitre, comme les différents Portraits de personnalités et de bénévoles engagés, ont permis aux collaboratrices permanentes, aux bénévoles, aux bénéficiaires et aux mécènes, de se retourner sur dix années ponctuées d’actions – les Boîtes à Lire®, Les Maraudes Littéraires, le Prix du Petit Libraire, Lire & Sourire –, de moments partagés et d’expériences concrètes sur le terrain, pleinement dévouées à l’éducation, au plaisir, mais aussi aux nécessités de la lecture !


Guillaume Decitre, ancien dirigeant du groupe de librairies et Président de Vivlio, confie son histoire à la Maison Trafalgar 

Sensible à la mission littéraire de la Maison Trafalgar et à l’expérience singulière de l’entretien d’extraction, Guillaume Decitre a profité du double anniversaire – 10 ans du Fonds Decitre et 10 ans de l’entreprise Vivlio –, pour s’autoriser à arrêter le temps, vivre cet exercice de réflexion aux côtés de nos équipes, et leur confier la rédaction de son histoire. Afin de dépasser l’unique facette de dirigeant que l’on retrouve dans pléthore d’articles de presse, d’entériner l’entrée du patrimoine littéraire dans l’ère du tactile et du pixel, de ses premiers élans d’entrepreneur aux États-Unis à la création de Vivlio, en passant par la direction des librairies Decitre et ses engagements plus personnels, le Portrait de Guillaume Decitre s’attache moins à la chronologie qu’au fil rouge émotionnel qui a su coudre ses initiatives plurielles.  

Extraits du Portrait de Guillaume Decitre :

Si le livre papier a longtemps imprégné sa fibre d’entrepreneur, lui a ouvert un parcours fait de reliures et de reliefs, le Président fondateur de Vivlio et du Fonds Decitre ne peut s’empêcher de suivre son goût pour l’initiative qu’il ne considère qu’au multiple ; traversées à la voile et projets philanthropiques, engagement écologique et détermination à transformer le secteur du livre. Durant son enfance, Guillaume furetait alors dans la bibliothèque parentale parmi des ouvrages qui promettaient une jolie pause, entre les vers et les proses ; s’immisçait avec quelques petits fours dans le repas des grands et y restait jusqu’au dessert, bercé par les anecdotes des écrivains à qui les Decitre proposaient gîte et couvert.

L’ancien spécialiste en capital-risque a de toute façon toujours mesuré les paris qu’il prenait en écoutant aussi bien les tendances et les indicateurs que les battements de son cœur. La frustration d’avoir perdu sa bibliothèque numérique en changeant de pays suffit d’ailleurs à amorcer l’odyssée Vivlio qui, depuis plus d’une décennie, s’assure que la légitimité de sa marque de liseuses et d’ebooks ne fasse plus aucun doute. Dans la même lignée, une virée épatante en parapente a mené Guillaume à sauver de la faillite le magazine référence de la discipline, et la disparition brutale de son ami d’enfance Christophe Mérieux, qui s’était consacré tout entier à la médecine, l’a marqué jusqu’à donner au deuil la forme d’un fonds de dotation. Il créa le Fonds Decitre pour rendre une part de ce qu’il avait reçu sans l’avoir demandé et faciliter l’accès au livre auprès d’un large public : personnes à la trajectoire cabossée par la rue, lecteurs en herbe ou qui s’ignorent, écoles, hôpitaux et établissements accueillant les seniors.

En dépit de sa discrétion et d’une retenue ne laissant pas souvent transparaître tout ce qui le passionne et le secoue de l’intérieur, c’est à travers cette promesse que la suite sera romanesque que l’esprit du dirigeant s’aligne, que l’homme se livre. Pour Guillaume, l’histoire se poursuit de la manière dont il anime ses conférences littéraires – habité qu’il est, chaque fois qu’il s’éloigne de la trame. Car aux récits rectilignes et aux périphrases qui tournent en rond, il préférera toujours le panache d’autres figures de style. Des partis pris qui s’évasent en oxymores à ces allégories, ces rêves un brin échevelés, son cheminement n’est autre qu’une gradation singulière, écrite à main levée.


Sortie du livre de Portraits écrits dédié aux 25 ans de FormaSup !

L’ouvrage 25 ans, la belle histoire est imprimé ! Un écrin élégant, tout en noir en blanc, qui valorise ces années consacrées à soutenir le développement de l’alternance dans l’enseignement supérieur, et s’intéresse au regard de celles et ceux qui ont participé à la construction mais aussi à la transformation de ce CFA d’exception. Un ouvrage qui se feuillette autant qu’il se dévore d’une traite, et que la Maison Trafalgar est fière d’ajouter à sa grande bibliothèque composée de livres qu’elle a écrits et élaborés.

Un grand merci à la direction de FormaSup ARL pour leur confiance, ainsi qu’à nos talentueux partenaires : Romain Chambodut à la photographie et Loïc Cardon studio:mate à la conception graphique. 

Retours de l’équipe FormaSup :  

“Je redoute de ne pas avoir le propos approprié pour exprimer toutes les émotions suscitées par le livre des 25 ans depuis notre échange dans votre Maison, jusqu’à la réception de l’exemplaire dans mon bureau. Le tout est simplement magique ! J’ai été très touchée par ce portrait, c’est vraiment de la haute couture, d’une beauté extraordinaire. Je souhaite témoigner que vous êtes les maïeuticiens discrets et ô combien bienveillants de cette « Betty insoupçonnée ». J’ai surtout été agréablement surprise par les réactions unanimes de mon environnement familial et professionnel. J’ai le désir ardent d’exprimer à toute la talentueuse équipe de la Maison Trafalgar, ma sincère gratitude.” Betty Ba

“L’exercice était vraiment très intéressant, car il permet une vraie prise de recul sur sa personne et sur son parcours. Tout est fidèle, vous êtes très doués ! L’expérience m’a beaucoup touché.” Jacques Comby

“Chapeau et félicitations pour ce portrait que je n’attendais pas ! Je ne me permettrais pas de toucher à la moindre pierre de cet édifice. C’est ce que j’ai dit en confiance au portraitiste, c’est ce qu’il a entendu et transcrit ; c’est vrai, et cela doit rester ainsi. J’ai hâte d’avoir votre livre entre les mains !” Max Marcadet

“Ces témoignages et portraits sont excellents : touchants, sincères et engagés. Bravo à vous pour votre travail sur cet ouvrage fantastique !” Abdeltif Mezziouane

“Just one added thing : Trafalgar has won this magnificent battle ! Remembering our history…” Olivier Marion


FormaSup célèbre son 25e anniversaire avec l’écriture d’un livre de Portraits Trafalgar !

Pionnier de la création et de la promotion de parcours d’apprentissage dans l’enseignement supérieur, FormaSup Ain-Rhône-Loire a confié à la Maison Trafalgar la réalisation d’un ouvrage anniversaire dans le cadre des vingt-cinq ans du CFA. Afin de prendre le contrepied du recueil historique, ce livre de Portraits et de témoignages dresse une fresque vivante, et surtout émouvante. Fondateurs et collaborateurs, anciens présidents ou nouvelle équipe dirigeante, partenaires économiques ou académiques, professionnels aguerris formés en apprentissage, ou alternants fraîchement diplômés – tous participent à la construction de cette singulière épopée. Un ouvrage qui ancre des histoires individuelles, en donnant du sens et de l’épaisseur à celle qui a démarré il y a déjà un quart de siècle.  

Retours de l’équipe FormaSup :  

“Je redoute de ne pas avoir le propos approprié pour exprimer toutes les émotions suscitées par le livre des 25 ans depuis notre échange dans votre Maison, jusqu’à la réception de l’exemplaire dans mon bureau. Le tout est simplement magique ! J’ai été très touchée par ce portrait, c’est vraiment de la haute couture, d’une beauté extraordinaire. Je souhaite témoigner que vous êtes les maïeuticiens discrets et ô combien bienveillants de cette « Betty insoupçonnée ». J’ai surtout été agréablement surprise par les réactions unanimes de mon environnement familial et professionnel. J’ai le désir ardent d’exprimer à toute la talentueuse équipe de la Maison Trafalgar, ma sincère gratitude.” Betty Ba

“L’exercice était vraiment très intéressant, car il permet une vraie prise de recul sur sa personne et sur son parcours. Tout est fidèle, vous êtes très doués ! L’expérience m’a beaucoup touché.” Jacques Comby

“Ces témoignages et portraits sont excellents : touchants, sincères et engagés. Bravo à vous pour votre travail sur cet ouvrage fantastique !” Abdeltif Mezziouane 

“Chapeau et félicitations pour ce portrait que je n’attendais pas ! Je ne me permettrais pas de toucher à la moindre pierre de cet édifice. C’est ce que j’ai dit en confiance au portraitiste, c’est ce qu’il a entendu et transcrit ; c’est vrai, et cela doit rester ainsi. J’ai hâte d’avoir votre livre entre les mains !” Max Marcadet

“Just one added thing : Trafalgar has won this magnificent battle ! Remembering our history…” Olivier Marion


Après le succès d’une première galerie de 10 Portraits de talents, le groupe Bon Marché poursuit sa collaboration avec notre Maison !

De la vente au rayonnage, du marketing à l’efficacité énergétique en passant par la formation, il affleure des parcours et des aspirations qui appartiennent à l’histoire de chacun et renforcent l’âme et le bouillonnement de ce premier grand magasin parisien. Après une première galerie de dix Portraits, qui a valu au Bon Marché de recevoir le LVMH Inclusion Index Awards, le travail de fond mettant en lumière les talents et les savoir-faire insoupçonnés du Bon Marché Rive Gauche et de la Grande Épicerie de Paris se poursuit ! En complément de cette seconde galerie de Portraits, l’équipe de la communication interne nous a également confié la rédaction d’un Écrit couture tout à fait singulier. L’Effet Marguerite, Manifeste inspiré par l’incontournable fondatrice Marguerite Boucicaut, ancre ses mesures pionnières, mais aussi l’esprit d’initiative qui a toujours su se déployer sous le dôme du Bon Marché.