En complément de l'écrit, Trafalgar réalise les déclinaisons audio du Portrait iconique de marque Lafuma Mobilier !

Afin d’envelopper les visiteurs de son musée d’Anneyron dans un cocon sonore, Lafuma Mobilier a choisi de nous confier la réalisation de deux déclinaisons audio – francophone et anglophone – du Portrait iconique de marque déjà rédigé par les équipes de notre Maison. Après l’adaptation du texte, sa distribution à trois comédiens, un travail préalable d’interprétation, six heures d’enregistrement en studio, et deux journées dédiées à l’esthétisation de l’audio grâce au travail des Sound-designers de l’atelier de création sonore Nuits Noires, le Portrait de marque de Lafuma Mobilier se dote de nouvelles ailes, et se déploie désormais dans l’air. Merci aux équipes de Lafuma Mobilier et à son dirigeant de nous permettre de produire et de faire entendre ce Portrait sous la forme d’un bel objet acoustique, à même de parler à l’oreille de ses collaborateurs, partenaires et clients !


La Maison Trafalgar lance son offre vidéo - Ateliers Jouffre

Pour répondre à la demande croissante de nos clients, la Maison Trafalgar a travaillé en profondeur une offre Portrait vidéo aussi singulière que sa signature textuelle.

Un format « Portrait iconique », promettant une immersion complète dans l’histoire de chaque talent, artisan, collaborateur, mais aussi un format « 2’00’’ avec », afin de présenter autrement les métiers d’une entreprise.

La création vidéo réclame aussi une écriture. Après avoir réalisé le Portrait écrit des Ateliers Jouffre et trois Portraits écrits des talents de l’entreprise à l’occasion de leur départ à la retraite, Les Ateliers Jouffre nous renouvellent leur confiance avec deux vidéos ! Un grand merci aux équipes, à Charles Jouffre, Romain Jouffre, Jade Nguyen, Lionel et Amel, pour leur fidélité.


Reportage photographique Pothier Productions. Le groupe Poncin Métal renouvelle sa confiance envers notre Maison ! 

Après le Portrait croisé, en mots et en images, de son Président Jean-Charles Valet, et de son prédécesseur Pascal Mortreuil, le groupe Poncin Métal a souhaité nous confier le reportage photographique de l’une de ses entités : Pothier Productions. Réalisé in situ durant une journée complète, ce reportage tient sa promesse de plonger dans le décor industriel de l’usine et le quotidien des équipes qui y œuvrent ; des photographies qui soulignent ici les reliefs et la force des matières, distinguent là les gestes, les techniques et les métiers qui se trouvent au cœur de l’activité. Merci à notre client pour sa confiance renouvelée et pour cette belle aventure qu’il nous permet de vivre à ses côtés et aux côtés des talents de l’entreprise. 


Écrits et photographies. Le groupe Maped fait à nouveau appel à la Maison Trafalgar pour photographier les membres de son comité de direction !

Dans la continuité d’une première collaboration avec notre Maison, dédiée au sujet de la transformation managériale et à l’écriture d’un livre blanc inventif, le groupe Maped, leader mondial des fournitures scolaires et de bureau, a souhaité nous confier les Portraits photographiques de son comité de direction. L’occasion d’installer un studio éphémère au siège annécien afin de réaliser de beaux Portraits d’intention en noir et blanc, et de réunir la deuxième et la troisième génération du groupe Maped ! Merci à Antoine, Romain et Jacques Lacroix pour leur confiance, ainsi qu’à tous les membres du comité de direction.


La Maison Trafalgar signe le Manifeste et le Portrait iconique de la marque Lafuma Mobilier !

Marque iconique du savoir-faire français, son Dirigeant Arnaud du Mesnil a souhaité que Lafuma Mobilier se dote d’un Portrait à la hauteur de ses engagements. Notre Maison a été sollicitée pour unifier une histoire riche d’innovations, et qui, depuis sa genèse, reste fidèle à la commune d’Anneyron. Si la rétrospective de cette aventure entrepreneuriale a été nourrie par le précieux témoignage de Jean Lafuma, membre de la famille fondatrice, ce Portrait s’est aussi appuyé sur la réflexion de son Directeur général, de son Directeur marketing et collections, puis de son Responsable développement produits. Fibre industrielle, audace technique, implications sociales et environnementales sont autant de socles de cette réalisation, qui fait la part belle aux différentes étapes menant des ateliers de fabrication, tout d’acier et de toile, aux intérieurs de la clientèle Lafuma Mobilier. Il a également été confié à notre Maison l’écriture d’un Manifeste dédié au bien-être et à la durabilité – deux vertus cardinales qui s’expriment à la fois dans la conception même du mobilier, et dans les actions concrètes de l’entreprise.

Extraits du Portrait iconique Lafuma Mobilier :

Dans les années trente, trois frères conjuguèrent leur ingéniosité et commencèrent leur affaire avec le sac tyrolien. L’intégration des armatures a permis de suivre l’arrivée des congés payés et l’expansion du tourisme pédestre. Puis ce fut l’avènement du « septième jour », qui amena tant de campeurs et de flâneurs endimanchés sur les routes. Les partenaires de la marque appréciant l’excellence des matières et ses manières de faire, ils lui posèrent le défi de répondre à une habitude qui se dessine : élaborer du mobilier tenant dans le coffre d’une Renault Dauphine. Si cet esprit d’aventure et d’audace a d’abord fait loi, en 1954, voilà que Lafuma Mobilier est créée pour répondre aux attentes de consommateurs en quête de praticité et de fiabilité. Cette idée d’avant-garde devint synonyme d’une marque de liberté, qui a saisi l’essor des loisirs. D’innombrables familles purent alors baguenauder à Deauville, ou tirer l’escapade jusqu’à Saint-Tropez par la mythique Nationale 7, et profiter des réjouissances des années soixante. C’était l’époque où Belmondo trônait de tout son flegme sur l’un de nos fauteuils Dagobert, où la couleur « bronze or » distinguait Lafuma Mobilier des concurrents dans la mise au vert ; c’était l’époque de toutes les conquêtes, jusque sur la Lune, l’époque où Miss France était l’égérie d’une marque tricolore qui s’affirmait déjà dans l’imaginaire populaire.

Derrière le mobilier que vous voyez, et le Label Origine France Garantie, l’on ne saurait manquer de sentir l’implication émotionnelle présente partout, dans les deux sites de production et de conception, dans les six ateliers constituant une fresque complète de métiers. Après y avoir pénétré, quelques pas suffisent pour découvrir ces couturières appliquées à leur ouvrage de haute précision et à la finition des ourlets, ces soudeurs concentrés sur leurs opérations de suture, ces collaborateurs qui millimètrent le fixage des balancelles deux par deux, et ceux qui équilibrent la ouate, la mousse, convaincus qu’on ne fait pas meilleur instrument que les comparses du pouce. Ceux-là qui nous rappellent que les capteurs de sécurité et le digital ne remplacent ni la vigilance, ni la main, ni le cœur. Chez Lafuma Mobilier vous pouvez aussi rencontrer ceux qui découpent l’acier et l’aluminium, les écrasent, les cambrent, les poinçonnent ; ceux qui les nettoient, les poudrent, les passent au four ; ceux qui les emboutissent pour que chaque pièce aboutisse.

Extrait du Manifeste :

Fière de son histoire qui a su durer, et de son développement durable,

Lafuma Mobilier a très tôt questionné, contesté la culture du jetable.

Outre l’association du tube et de la toile, duo que rien ne remplace,

L’écologie s’est inscrite dans les gènes, elle y tient toute sa place.

La durabilité est dans l’acier, mais aussi dans d’autres matières grises :

Ce sont plusieurs générations de talents fidèles à notre entreprise

Qui nous ont permis d’élaborer des techniques respectueuses,

D’économiser les matières, de promouvoir une alchimie vertueuse.


Passation. La Maison Trafalgar réalise le Portrait croisé du président de Poncin Métal, et de son prédécesseur

En confiant leur Portrait croisé à notre Maison, Jean-Charles Valet, président de Poncin Métal, a tenu à ancrer sa vision de l’entreprise tout en rendant hommage aux années de travail et d’investissement de Pascal Mortreuil, son prédécesseur. De leur attachement commun au continent africain à leur parcours entrepreneurial, en passant par leurs personnalités qui parfois les dissocient mais souvent les réunissent, ce récit entrelace tout ce que les deux présidents successifs de Poncin Métal ont apporté pour construire, et parfois reconstruire, cette réussite industrielle française. Ces deux cheminements impriment en creux tout ce qui fait la singularité du groupe au sein de son secteur. Une conception iconoclaste de la métallurgie et ce désir d’être toujours là où on ne l’attend pas.

Extraits du Portrait croisé :

Fidèle à sa propension de tailler un avenir aux larges proportions, Jean-Charles lança des chantiers d’envergure sitôt qu’il prit officiellement les rênes de Poncin Métal ; avec un rachat en pleine crise sanitaire, il brava un timing que d’aucuns jugeraient intimidant. Aux côtés des plieurs, du BE et des deviseurs, soutenu par l’engagement des monteurs-soudeurs, des laséristes et autres directeurs de site, c’est en emmenant avec lui tous les collaborateurs que l’adepte des sports de contact changea de statut ; que le « sensible aux causes perdues » exprima ce caractère combatif tatoué à même les bras, sous les traits d’un célèbre samouraï et d’une citation d’Albert Camus. Entre celui qui intériorise sans jamais se relâcher et l’épicurien au sang chaud de dix ans son aîné, les affinités et les cheminements semblent se répondre en miroir, sans laisser refléter le décalage de l’âge et ces tempéraments qui s’opposent parfois comme le blanc et le noir. 

S’ensuivirent huit années durant lesquelles les deux hommes apprivoisèrent une relation de confiance que les mots et les bas n’étiolèrent pas. Huit années, surtout, durant lesquelles, chaque fois qu’une flèche était décochée, Jean-Charles ne fléchissait pas devant ce « mentor » au management qui ne faisait pas dans le ménagement. Montant dans la hiérarchie comme au capital, prenant peu à peu la main sur la gérance et les dossiers qui étaient jusqu’ici l’apanage de Pascal, l’actuel Président de Poncin Métal refondit l’identité de marque du groupe et renforça le développement commercial. Cette transmission sur la durée donna matière à changer progressivement la perception de celui qui aime que tout soit fait à sa manière. 

 


Écrits couture et viticulture. En Alsace, le Domaine Schoepfer choisit la Maison Trafalgar

La refonte du site internet de l’entreprise fut l’occasion pour la Maison Trafalgar, de faire vagabonder sa plume en Alsace, et plus précisément à Eguisheim, sublime petite bourgade médiévale, où se niche en son centre le Domaine Schoepfer. Vincent, dirigeant et représentant de la quinzième génération, ainsi qu’Étienne, son second d’exploitation, avaient à cœur de soigner la rédaction de cette histoire familiale, et de présenter leur philosophie de vigneron, autant que les coulisses de leur savoir-faire séculaire.

Jetzt geht’s los ! 

Retour client d’Etienne E., second d’exploitation :

« Trafalgar nous a offert une expérience unique et riche en émotions. Tout au long du projet, l’équipe s’est montrée à notre écoute et très impliquée pour cerner à la fois nos besoins, la philosophie de notre exploitation et la fibre familiale de notre histoire. Le résultat surpasse nos attentes. Bien loin des standards, les textes sont justes, profonds et harmonieux. Comme quoi l’écriture est aussi capable de sublimer l’agriculture. »

Extraits des trois Écrits couture : 

Notre histoire

Dans le sillage de ses parents Michel et Marguerite – la belle fleur des champs –, c’est à Vincent, le représentant de la quinzième génération Schoepfer, qu’échoit à présent la perpétuation de l’excellence de ce savoir-faire. Et c’est peu dire qu’une enfance buissonnière passée avec eux, au milieu des treilles, surclasse toutes les grandes écoles en termes de bons conseils. C’est là que son grand-père Alphonse lui enseigna aussi cette philosophie viticole et les subtilités d’un geste auguste, sculptant la vigne au plus juste.

Notre domaine 

Baignant au milieu des effluves d’acacias, de châtaigniers, de mousse et de sous-bois, se déploie notre vignoble sur une douzaine d’hectares. Véritable mosaïque d’une quarantaine de lots épars, exposés au sud-est pour la plupart, certaines parcelles demeurent peu domptées par la main de l’Homme : chez nous, c’est souvent la nature qui dicte ses dogmes. Dans cette riche variété géologique, sous l’égide d’un microclimat qui motiva la culture de la vigne depuis la Rome antique, s’épanouissent nos sept cépages sur nos deux grands crus : le pfersigberg – « la colline aux pêchers » –, et le eichberg, – « la colline aux chênes ».

Notre savoir-faire 

Quand sonne l’heure des vendanges, c’est à la manière des anciens, avec nos bras pour seules mécaniques, que nous récoltons le raisin, concentré et unique. S’ensuit dès lors notre travail au chai pour une composition délicate et méticuleuse ; c’est au sein d’une cave séculaire, aux conditions idéales, que le jus des grappes s’agrippe au prochain sarment de son histoire vineuse. Maturant en cuve ou dans des fûts en bois de chêne, il s’enrobe peu à peu de cette structure tannique, forge sa substance tout en équilibre et en harmonie. Entre la passion que l’on embrasse et le temps qui passe sans hâte, se révèlent des nectars qui nous ressemblent, et pour peu que l’on contemple la grâce de leur robe, c’est toute l’Alsace qui s’y miroite.


Vivlio célèbre ses 10 ans et choisit Trafalgar pour mettre à l’honneur ses équipes  

En confiant à la Maison Trafalgar la réalisation d’une galerie de Portraits écrits et photographiques des membres de leurs équipes, Guillaume Decitre et David Dupré, Président et Directeur général de la start-up française Vivlio, ont souhaité mettre à l’honneur ces talents aux profils hybrides, évoluant aussi bien dans la sphère littéraire que dans les nouvelles technologies. De la Responsable communication et marketing à la Responsable contenus et services, du Développeur en passant par le Product owner, le Directeur R&D ou encore le Sales manager, tous ont pu revenir sur ce riche quotidien qui a forgé l’avant-gardisme de l’entreprise lyonnaise sur le marché du livre électronique. Un terrain sur lequel elle a su se distinguer tant par son ADN de libraire que par l’excellence de ses solutions numériques !


Transformation managériale - Le leader mondial Maped choisit la Maison Trafalgar pour conduire ses entretiens et réaliser, avec justesse, un solide socle textuel

Composé de plus de deux-cents talents en France, et mille-huit-cents à l’international, le groupe Maped, leader mondial des fournitures scolaires et de bureau, a tenu à ce que l’évolution de ses modes de management soit accompagnée par un solide socle textuel : des écrits allégoriques sur la souplesse d’une règle ou les vertus d’une gomme, en passant par une Ode à l’audace et à la créativité ou encore par les témoignages de plusieurs collaboratrices et collaborateurs. Afin d’expliciter avec justesse toute la portée de cette réflexion, la commission transformation managériale, ainsi qu’Antoine et Romain Lacroix, les deux frères et dirigeants du groupe, ont choisi la Maison Trafalgar pour penser, rédiger et formaliser un livre Blanc on ne peut plus coloré ! Si cette réalisation ancre les valeurs et la philosophie de cette entreprise à mission, elle s’éloigne volontiers des codes formalistes et corporate qui structurent habituellement ce type d’ouvrage. Le graphisme ludique et inventif, pensé dans ses moindres détails pour coller à l’univers de l’enfance, est porté par des photographies et un corpus de textes littéraires déjà très appréciés des équipes Maped. 

“Nous venons de distribuer le Livre Blanc à une grande partie des collaborateurs. Les réactions sont vraiment positives ! De mon côté, j’ai tourné les pages, parcouru et lu avec beaucoup de plaisir et, je dois le dire, avec un peu de fierté et aussi d’émotion. Nous vous remercions encore pour la qualité du rendu général. BRAVO à vous, et à vos équipes pour cette plume inspirée et inspirante qui retranscrit à merveille ce qu’est Maped, ce qui nous réunit, et notre vision du management et du « travailler ensemble » pour les années à venir.” Thibault de Sacy, Directeur commercial France Maped

“Il est de ces projets dans lesquels la collaboration prend tout son sens, qui nous font grandir parce qu’ils nous sortent de notre cœur de métier et nous challengent.Trafalgar Maison de Portraits a été le partenaire idéal pour la réalisation de ce bel objet aussi riche qu’original. Nous avons officiellement sorti notre Livre Blanc, et on a vraiment hâte que tous les Mapediens s’y plongent et y trouvent des clés pour toujours mieux travailler ensemble.” Virginie Queyrel, Responsable Trade marketing et Communication Maped

Un grand merci aux équipes du groupe Maped pour leur confiance, ainsi qu’à nos talentueux partenaires. Romain Chambodut à la photographie et Loïc Cardon studio:mate à la conception graphique.  

Écrits coutures 

Extrait : La souplesse d’une règle

Il paraît que c’est l’exception qui confirme la règle. Face à une Twist’n Flex, tout Mapédien pourrait s’interroger : une règle doit-elle être droite ou tendre vers la flexibilité ? Est-elle pensée pour être rigide ou se contorsionner, pour instaurer l’obéissance ou faire preuve de souplesse en questionnant les limites et le sens ? Sa transparence autorise-t-elle à jouer avec, à détendre les positions, à faire que chacun adapte ses règles de conduite à sa façon ? Tour à tour antisèche ou catapulte, la règle rappelle ce penchant cher à l’enfance, à vouloir faire comme les grands mais pas comme les adultes. Force est d’admettre que les règles dépendent de l’enjeu : dans une moindre mesure, il s’agit de trouver le juste milieu. L’on peut être obligeant sans se sentir obligé, l’on peut être exigeant en étant affable et bienveillant. Qui a encore envie de se faire taper sur les doigts, juste pour que cela file droit ? Une fable contait déjà les vertus de la plasticité : ce qui plie ne rompt pas.

Extrait : Les vertus d’une gomme 

Ronde, blanche ou colorée, en forme de parallélépipède ou d’animal à pieds palmés, si la gomme ne se tient jamais loin du crayon, c’est bien que recommencer est le propre de l’innovation. Plutôt que de l’utiliser, l’on pourrait se contenter de rayer à l’infini, mais puisqu’une gomme s’érode dès qu’elle se frotte au papier, c’est comme si elle refusait que l’on puisse faire fausse route indéfiniment. Il est humain de se tromper, d’avoir conscience de ses limites, le tout est de s’assurer que la gomme ne s’use pas plus vite que le crayon. Car à chaque fois que la paume donne un coup sec et mesuré, à chaque fois que le souffle repousse les pelures sur le côté, un enseignement indélébile imprègne le brouillon : l’on ne repart pas de zéro, les yeux fermés, mais bien sur un socle de réflexions chaque fois alimenté.

Extrait : L’adaptabilité du compas 

Compagnon de la première heure des astronomes, des cartographes et des explorateurs, il est des symboles que peut revêtir le compas, dont les premiers exemplaires en laiton remontent jusqu’aux origines de Maped. Il s’inscrit dans nos valeurs comme dans notre histoire, et s’il accepte de ne pas tout savoir, il est cette boussole qui montre la voie, toujours à la pointe lorsqu’il s’agit de concevoir. Dans une ère où le management est une question centrale, quand le compas délimite des cercles vertueux autour de son axe, il prouve que l’équité préside à tout. Si l’on ne peut incliner l’une de ses jambes sans que l’autre ne se déplace selon le même degré, c’est bien que l’autonomie dépend de l’adaptabilité. Il faudra toujours que la première branche pique un point précis pour que la seconde brosse des ronds à l’envi. Et à trop les éloigner, l’instrument se met à plat, incapable de tracer quoi que ce soit !

Extrait : De la mission d’entreprise à la vision du management

Que vous soyez technicien, as de la conception, prem’s au support ou sur la ligne de production ; que vous soyez la turbulente, le résistant, le petit malin aux récits truculents, la timide du fond, l’éternel retardataire, l’attentif toujours partant pour aider, que vous soyez manager ou managé, adepte des initiatives verticales, transversales ou horizontales ; celui qui trouve tout génial ou qui doute de l’intérêt d’une telle évolution managériale, celle qui prône l’exemplarité, la méritocratie, l’autorité ou même l’entreprise libérée, celui qui se projette – persuadé que le changement se concrétisera –, ou celle qui ne croit que ce qu’elle voit : chacun chez Maped peut contribuer à l’avancée Technique, Humaine, Entrepreneuriale ou Organisationnelle, au renouvellement du management qu’il soit hiérarchique ou fonctionnel. Qu’importent le caractère, la couleur du col, le diplôme ou l’école, qu’importent les facultés, le métier, le niveau d’ancienneté, dès aujourd’hui et pour demain, la transformation managériale est entre vos mains.

Extrait : Ode à la créativité 

Pour redessiner le monde, établissez un cahier des charges, mais avant d’en remplir les pages, autorisez-vous à griffonner dans les marges. Notez tout ce qu’il vous passe par la tête : des mots à la queue leu leu, des remarques que vous pensiez bêtes, des adages, des idées qui ne sont pas à l’abri de compter dans le prochain virage. On se fiche du prétexte ou du motif, ce n’est pas en restant sage que l’on devient audacieux et créatif ! Créatif, comme à l’âge où il était valorisé de lever la main pour participer, à l’âge des cartables et des craies ; audacieux, quand de la pointe d’un crayon indomptable, vous barbouilliez déjà au-delà des traits pour réinventer votre rapport à autrui. Vous vous plaisez aujourd’hui à transformer, crobarder, raturer, effacer, puis à refaire, loin des courants et au plus près des rêves d’enfant. Pour en remonter le flot : foncez tout droit, en pas chassés, en pas de travers, puis recommencez encore une fois, mais à l’envers.


10 ans du Fonds Decitre ! La Maison Trafalgar signe le Portrait iconique du Fonds Decitre, et une galerie de Portraits écrits et photographiques

Le dixième anniversaire du Fonds Decitre a été l’occasion pour ses équipes de retracer la fabuleuse démarche de la structure lyonnaise dans son ambition de faciliter l’accès au livre et à la culture pour tous. Le Portrait iconique du Fonds Decitre, comme les différents Portraits de personnalités et de bénévoles engagés, ont permis aux collaboratrices permanentes, aux bénévoles, aux bénéficiaires et aux mécènes, de se retourner sur dix années ponctuées d’actions – les Boîtes à Lire®, Les Maraudes Littéraires, le Prix du Petit Libraire, Lire & Sourire –, de moments partagés et d’expériences concrètes sur le terrain, pleinement dévouées à l’éducation, au plaisir, mais aussi aux nécessités de la lecture !