Un mot comme de la glaise
Comment un Portraitiste Trafalgar manipule-t-il les mots ? Faisons un exercice avec « président ». Commençons par raboter la fonction de sa première lettre : le « président » français n’est-il pas le « résident » de l’Élysée ? Voyons ce qu’il advient quand on le débite en petits bouts : un pré si dent ? L’on se demande alors si le berger d’un cheptel trop nombreux ne serait pas le président d’un pré si dense. Changeons d’approche, inversons deux lettres ; nous obtenons « prséident ». Coupons encore : « séide ». Ma question pour vous, alors : qui préside aux séides ?
Rabe de fromage
Rabe de fromage
« En tant qu’amateur de fromages, je ne pouvais être plus ravi que d’écrire des Portraits pour des Meilleurs Ouvriers de France Fromagers. L’un d’entre eux, épicurien devant l’éternel, tenait à m’offrir quelques gourmandises lors de mon prochain déplacement à Paris. Comme notre client était souvent sur les routes et difficile à voir, il m’avait proposé un stratagème pour honorer sa promesse : « Je pars demain de gare de Lyon, si tu veux, je peux mettre le fromage dans une consigne et te transmettre le code. Si tu arrives quelques heures plus tard, cela devrait le faire, OK ? » OK ! »
Ne pas louper le coche avec Henri Cochet
Ne pas louper le coche avec Henri Cochet.
Certains noms obligent au trait d’esprit ; le fameux tennisman Henri Cochet en fait partie. Alors que je travaillais un Portrait de marque, j’ai été « confronté » à ceux que l’on appelait « les Mousquetaires » de la grande époque – René Lacoste, Jean Borotra, Jacques Brugnon, et, donc, Henri Cochet. Comment ne pas louper le coche avec le dernier ? On aurait pu faire d’une pierre deux coups, on aurait pu, peut-être, imaginer que quelque chose clochait avec Henri Cochet, ou même qu’il avait fait office de cocher pour l’équipe française. Mais c’eût été trop « sur le nez », comme disent nos amis d’outre-Manche, alors j’ai opté pour un talent qui faisait des éclaboussures !
Abécédaire : Durable versus éphémère
Il y a ce mot délicat qui s’enfile comme un gant, celui dans lequel on se sent à l’étroit, plus distant. Il y a ce mot-valise, ce mot sur le départ qui ne nous dit trop rien, puis celui qui nous parle, à peine l’a-t-on croisé, et dont la nuance infime ne se laisse remplacer par aucun synonyme.
Durable versus immédiat : le « D » est à l’honneur dans notre Abécédaire !
Abécédaire : Visionnaire versus immédiat
Il y a ce mot délicat qui s’enfile comme un gant, celui dans lequel on se sent à l’étroit, plus distant. Il y a ce mot-valise, ce mot sur le départ qui ne nous dit trop rien, puis celui qui nous parle, à peine l’a-t-on croisé, et dont la nuance infime ne se laisse remplacer par aucun synonyme.
Visionnaire versus immédiat : le « V » est à l’honneur dans notre Abécédaire !
Abécédaire : Immersif versus superficiel
Abécédaire : Référence versus référencement
Il y a ce mot délicat qui s’enfile comme un gant, celui dans lequel on se sent à l’étroit, plus distant. Il y a ce mot-valise, ce mot sur le départ qui ne nous dit trop rien, puis celui qui nous parle, à peine l’a-t-on croisé, et dont la nuance infime ne se laisse remplacer par aucun synonyme.
Référence versus référencement : le « R » est à l’honneur dans notre Abécédaire !
Abécédaire : Rare versus abondant
Il y a ce mot délicat qui s’enfile comme un gant, celui dans lequel on se sent à l’étroit, plus distant. Il y a ce mot-valise, ce mot sur le départ qui ne nous dit trop rien, puis celui qui nous parle, à peine l’a-t-on croisé, et dont la nuance infime ne se laisse remplacer par aucun synonyme.
Rare versus abondant : le « R » est à l’honneur dans notre Abécédaire !